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    La Banque du Canada met en circulation le nouveau billet de 100 $ en polymère, qui coûte deux fois plus cher à fabriquer, mais qui est au moins deux fois plus résistant que l'ancienne coupure.

     

    Banque du Canada - Le nouveau 100 $ en circulation

    La Banque du Canada met en circulation le nouveau billet de 100 $ en polymère, qui coûte deux fois plus cher à fabriquer, mais qui est au moins deux fois plus résistant que l'ancienne coupure.

    Le billet coûte 19 ¢ à produire, contrairement à 10 ¢ pour l'ancien billet. Sa texture cireuse le rend difficile à froisser et impossible à déchirer. La Banque du Canada estime qu'il devrait survivre 2,5 fois plus longtemps à son séjour dans les poches des consommateurs.

    Mais surtout, la Banque du Canada compte mieux déjouer les faussaires, grâce aux nouvelles fonctions de sécurité. On a notamment inséré de l'encre en relief, des chiffres dissimulés et des images métalliques dans la conception.

    « On a vu que les propriétaires de dépanneur hésitent à accepter les billets de 50 $ et de 100 $. On espère que ça va changer et qu'ils vont avoir plus confiance en ce nouveau billet de 100 $ », affirme Yves Leblanc, sergent d'état-major à la section contrefaçon de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).

    Toutefois, les commerçants devront mettre à niveau leurs équipements pour intégrer la nouvelle coupure. « Il faut recalibrer certains de nos appareils, comme les compteurs de billets. Il y aura aussi une portion de formation pour éduquer le personnel à mieux comprendre les changements », affirme de son côté Michel Mercier, de la direction de la prévention des pertes au Conseil québécois du commerce de détail.

    Michel Lebeau, analyste sénior à la Banque du Canada, estime que l'introduction des billets engendrera des coûts de 75 à 100 millions de dollars auprès des détaillants, comparativement à 25 ou 30 millions de dollars lors du dernier changement apporté aux billets de banque.

    Selon les autorités, la contrefaçon de billets de banque est en baisse au Canada. La GRC a réussi à saisir quelque 3,3 millions de dollars de billets contrefaits sur une masse de billets en circulation totalisant 58 milliards de dollars.

    Le billet de 50 $ en polymère doit être lancé en mars prochain. Celui de 20 $ doit être mis en circulation en 2012 et ceux de 5 $ et 10 $, en 2013.

    Selon la Banque du Canada, il faudra au moins deux ans pour retirer les vieux billets de la circulation.


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    Appareils flexibles (©NEC)

     

     

    Les appareils courbés qui promettaient une expérience très intéressante pour l'usager étaient une grande nouvelle en 2008, mais hormis quelques grosses annonces - comme le CRV-43 de NEC (ci-haut) - le concept n'a jamais vraiment levé. Si la technologie est attirante, l'équivalent d'une télé de 43 pouces d'Ostendo Technologies vous coûtera 6500 $US.

    Ce n'est pas la fin des terminaux flexibles, même si la recherche actuelle se dirige vers les appareils plus petits. La recherche faite chez Samsung a récemment démontré un AMOLED flexible qui peut être plié plus de 100 000 fois sans créer de faux pli.

    Bing | Le CRV-43 de NEC


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    Que vous croyez ou non dans la vie en dehors de notre système solaire, le fait que nous sommes tous ici signifie que les choses que nous sommes en doit venir de quelque part. Après des études de météorites et de découvrir prêt-à-composantes de l'ADN présent, la NASA a conclu que les éléments constitutifs de la vie que nous connaissons peut-être se soit écrasé sur la Terre d'en haut.

    Des chercheurs du Centre de vol spatial Goddard a découvert des portions d'ADN sur les morceaux de roche de l'espace s'est écrasé en Antarctique et l'Australie. Les visiteurs extraterrestres contenues différents types de nucléobases, qui sont jugées essentielles à la création de l'ADN, et la vie en général.

    Les scientifiques ont été capables d'isoler les composés et de prouver qu'ils n'ont pas été créés ici sur Terre. Cela était particulièrement important, comme les critiques citent souvent la contamination que la raison de ces composés apparaissant sur ​​les météorites qui ont été étudiés dans le passé.

    L'équipe a également conclu que les roches certain espace - en fonction de leur composition et de la vitesse - fonctionnent comme des installations de fabrication de ces précurseurs biologiques. Les implications de la découverte sont profondes, et suggèrent que l'humanité peut devoir son existence à une météorite bien placé dans les premiers jours de la Terre, et que sans elle la planète pourrait être un rocheuses, friches larmoyants

    (Source)


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