-
La chaîne de restauration présente au Japon a fait des milliers d'heureux avec un concours qu'elle a organisé dans ce pays où les gagnants ont eu la chance de recevoir un baladeur MP3 contenant 10 chansons en cadeau. Celui-ci semble cependant avoir causé des problèmes auprès de plusieurs gagnants qui ont détecté un logiciel espion (spyware) dans le baladeur.
QQpass est en circulation sur Internet et reconnu par les logiciels antivirus depuis 2003. Ce logiciel espion agit comme un cheval de Troie et peut récupérer des informations personnelles enregistrées sur le système infecté pour les transmettre à un serveur distant. McDonald's n'a pu expliquer d'où provenait ce logiciel espion, mais il est tout probable qu'il ait comme source la machine du fabricant ayant téléchargé sur les baladeurs les morceaux de musque. Cet incident n'est pas le premier du genre au Japon puisqu'une situation semblable est survenue en septembre 2005 avec la compagnie Creative dont quelques 4 000 baladeurs infectés par un virus avaient été mis en vente
votre commentaire -
Après avoir acquis l'édifice dans lequel il était locataire au coût de 319 millions de dollars américains, le fameux Googleplex deviendra producteur d'énergie solaire. Une puissance de 1,6 Mwatt qui pourrait fournir l'électricité à environ 1 000 maisons.
Le tout devrait être finalisé au printemps prochain et le coût du projet n'a pas été dévoilé lors de l'annonce faite lors d'une conférence sur l'énergie solaire tenue à Silicon Valley.
votre commentaire -
Une jeune femme de Bulgarie doit sa vie à ses seins en silicone. En effet, lors d'un accident elle aurait pu être blessée gravement, voire tuée ne fût été de ses seins qui ont agi comme coussin gonflable.
Le quotidien rapporte : « Selon les témoins, les deux voitures ont été rendues méconnaissables par la collision, mais la femme a eu la vie sauve grâce à ses seins siliconés ». À noter finalement que les prothèses ont éclaté au moment de l'impact.
votre commentaire -
Le populaire site MySpace permet de créer rapidement et facilement sa page personnelle sur Internet, et chacun peut y diffuser et écrire ce quil veut. Il faut cependant faire attention de ne pas dépasser une certaine limite comme celle qui na pas été respectée par une jeune américaine.
Julia Wilson, âgée de 14 ans, est une passionnée de la politique qui naime pas, comme beaucoup de gens, la guerre en Irak. Pour démontrer son mécontentement face à la situation actuelle concernant lIrak, elle a publiée en avril dernier sur le site de MySpace une photo du président américain accompagnée dun titre provocateur «Kill Bush» (« tuez Bush ») et dun dessin où lon peut voir lhomme politique avec un poignard planté dans sa main.
Bien que la jeune fille ait retirée cette page du site peu de temps après grâce à son cours dhistoire qui lui a appris que ces menaces constituaient un délit, elle a eu la visite surprise récemment de deux agents fédéraux qui sont venus la chercher pour un interrogatoire en rapport avec sa page quils ont visiblement eu le temps de voir.
Les parents, non contents de navoir été prévenus de cette interrogation, ont reçu les deux agents à la maison qui leur ont pausé quelques questions, mais sans savoir quils iraient rendre une petite visite à leur fille en plein cours de biologie. La mère de la jeune fille lui a envoyé un SMS à ce sujet, mais il était déjà trop tard puisque les deux agents lavaient déjà sorti de classe en la menaçant de lenvoyer dans une maison de correction.
Julia Wilson a répliqué à cette mésaventure : « Je n'étais pas dangereuse. Vous voyez, regardez ce qui est (dessiné) sur mon sac à dos, c'est un cur. Je suis une amoureuse de la paix ». La jeune femme, qui a la ferme intention daller plus loin en raison de cet interrogatoire, prévoit mettre en ligne sur MySpace une nouvelle page qui incitera les gens à laccompagner dans une manifestation d'étudiants contre la guerre en Irak.
votre commentaire -
Les statistiques sont formelles: les ventes de préservatifs et les réservations de chambres de motel ont explosé en Corée du Sud dans la foulée du premier essai nucléaire nord-coréen, le 9 octobre dernier.
Une enseigne de grandes surfaces sud-coréenne a ainsi annoncé jeudi qu'elle avait vendu 1.930 préservatifs par jour en moyenne durant la semaine qui a suivi le test de Pyongyang, contre 1.508 entre le 1er janvier et le 30 septembre.Les ventes quotidiennes ont reculé à 1.772 unités au cours de la semaine du 16 au 21 octobre, mais restaient largement au-dessus de la moyenne habituelle.
Une autre chaîne de magasins a fait état de ventes de préservatifs d'une valeur de 3,54 millions de wons (2.957 euros) chaque jour de la semaine qui a suivi l'essai nucléaire, soit une hausse de 14,8% par rapport aux chiffres du mois dernier.
Un site web de réservation de chambres en "love motels", établissements spécialisés dans les rendez-vous intimes, a de son côté annoncé une forte progression des demandes après le renforcement du niveau de menace sur le pays.
"Les gens ont tendance à avoir envie de procréer dans les périodes de situation extrême", analyse Seong Gyeong-won, la directrice de l'Institut coréen d'éducation sexuelle à Séoul. "Le stress est évacué grâce au sexe. C'est une des dix raisons pour lesquelles le sexe est bon pour le corps..."
votre commentaire