• Message extrait du livre
    " Vers un Monde de Non Souffrance "

     

    La Flamme Violette est le plus merveilleux cadeau du Saint-Esprit à l'être humain. J'ai l'honneur et la joie d'être son gardien et dispensateur.

    C'est un instrument de purification d'une extrême puissance. Utilisé régulièrement, rien ne lui résiste.

    En très peu de temps, elle est en train de faire le tour du monde et a la faveur de la population partout. Mais tous ne comprennent pas ce qu'elle est. Il est donc important de savoir que la Flamme Violette ne crée rien et ne détruit rien ; elle transforme des énergies négatives en énergies positives. C'est tout, mais si vous en comprenez bien la portée, c'est immense.

    Elle doit être utilisée en conscience et pas comme des paroles répétées en pensant à autre chose. Elle doit être nettement demandée, par un énoncé aussi clair que possible. J'ai souvent donné des exemples de formules à employer dans cette demande, mais chacun peut y ajouter ou en retrancher des mots ou des paragraphes, selon son propre ressenti.

    La Flamme Violette exige des intentions pures et, si elle transforme des énergies négatives en énergies positives, elle ne fera jamais le contraire.

    Mais ne croyez pas que la Flamme Violette va vous purifier une fois et pour toujours, quoi que vous fassiez. Pour qu'elle soit totalement efficace, elle devra être pratiquée en complément de votre travail personnel de dépassement des peurs, des doutes, des colères, des haines et de tout le cortège de vos mauvaises habitudes, sans oublier l'indignation et le jugement des " fautes " des autres, qui sont aussi des émotions négatives.

    Je vous donne encore une métaphore pour mieux vous faire comprendre le processus.

    Supposez que, comme tant d'autres hommes (et aujourd'hui même les femmes) vous êtes un bricoleur. Vous avez installé un atelier dans la remise, à côté de votre garage, et vous y livrez à votre passe-temps favori. Cependant, vous salissez beaucoup cette pièce et vous la nettoyez rarement.

    Cela agace naturellement votre épouse, qui s'échine à nettoyer l'intérieur de la maison et qui la voit de nouveau salie chaque fois que vous rentrez après (ou au milieu) d'une séance de bricolage.

    Je pense que vous avez saisi l'idée. Cela ne sert à rien, ou à peu de chose, de nettoyer tous vos corps, si c'est pour les souiller de nouveau dès que l'opération est terminée.

    Si vous avez l'impression que la Flamme Violette ne produit aucun changement chez vous, ne l'accusez pas d'être un leurre. Regardez plutôt du côté de votre comportement, du travail sur soi, indispensable et irremplaçable, que vous ne faites peut-être pas ou pas de façon sérieuse.

    Mis à part ce travail parallèle, une intention pure, un énoncé bien net et des objectifs dignes de l'Être de Lumière que vous êtes, la Flamme Violette n'exige rien d'autre de vous.

    Il y a, bien sûr, des facteurs qui peuvent augmenter son efficacité. Certains préfèrent énoncer les décrets à haute voix, d'autres les ressentent mieux si formulés en silence, dans le cœur. Nombreux sont ceux qui accompagnent les décrets de visualisations, et c'est très efficace. De plus cela peut être très beau.

    Ma collaboratrice commence par m'appeler, appeler tous les Maîtres qui souhaitent collaborer dans le processus, les entités angéliques, les dévas, les petits peuples de l'air, de l'eau, du feu et de la terre.

    Lorsqu'elle est seule, elle se connecte ensuite à toutes les personnes qui, au même moment et dans le monde entier, font ce travail, qu'elles utilisent les mêmes mots ou d'autres, mais dans des intentions similaires, pour que nous, les Maîtres Ascensionnés, puissions réaliser avec ces énergies réunies une œuvre en profondeur.

    Ensuite, elle commence les décrets, visualisant le travail de la Flamme Violette, par bouffées ou en tourbillons, à l'intérieur de son corps, dans les centres, etc.

    Lorsqu'elle a finalement placé la Flamme Violette en son septième centre et vu se former le cône bouddhique, elle visualise à chaque décret un archange ou un déva venir chercher la Flamme sur son centre-couronne et la souffler dans les paumes des mains d'une légion d'anges, de sylphides, d'ondines, de salamandres ou de gnomes, selon les endroits à purifier.

    C'est là une bonne méthode et très efficace, bien qu'elle mobilise la moitié du Ciel (humour Céleste). Il y a d'autres méthodes également bonnes, et chacun doit adopter celle qui lui convient le mieux.

    Ne vous attendez pas à voir des miracles se produire instantanément. C'est vrai que des miracles sont toujours possibles, partout et en toutes circonstances, mais normalement la Flamme Violette exécute pendant quelque temps un travail invisible et indécelable, sauf pour des êtres dont la sensibilité est spécialement aiguisée.

    La durée de ce travail est variable. Un jour on s'aperçoit des changements qu'elle a produits, ou bien on commence à éprouver une vague de chaleur qui n'a rien à voir avec la température de la salle où l'on se trouve, une sensation de légèreté, ou bien d'autres manifestations qui ne sont pas forcément les mêmes pour tout le monde.

    Une sensation de légèreté est cependant la plus courante. Car, si vous remplissez les quelques conditions énoncées ci-dessus, si votre cœur est sincère et votre intention généreuse, la Flamme Violette exercera son action sur vous, sur votre entourage, sur la Terre et sur l'Univers, si vous le formulez. (Oui, j'ai dit et je répète : " Sur l'Univers ").

    Et que ceci se traduise pour vous en joie et fierté. Vous avez le droit d'être fiers de l'œuvre de Lumière que vous accomplissez.

    Nous, de nos plans, sommes fiers de vous et reconnaissants pour tout le bonheur que vous nous donnez. Soyez bénis.

    Maître Saint-Germain


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  • Après Toutatis qui nous a affolé à quelques jours de la prédiction Maya de fin du monde, c'est au tour d'Apophis de semer quelque peu la panique.

    Le diamètre de l’astéroïde serait en effet supérieure de 20% par rapport aux estimation faites en 2004. "L'augmentation de 20% en diamètre, de 270 à 325 mètres, se traduit par une augmentation de 75% dans nos estimations du volume de l'astéroïde ou de sa masse", explique Thomas Müller de l'Institut Max Planck de physique extraterrestre à Garching, en Allemagne.

    Si l’astéroïde venait à nous heurter, l'énergie dégagée serait équivalente à 25 000 bombardements atomiques type Hiroshima.

    Mais rassurez vous, si en 2009, la probabilité qu'Apophis nous touche était quelque peu inférieure à 3%, les chercheurs estiment aujourd'hui que le risque est nul !


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    Ce dossier présente les concepts de bases des armes électromagnétiques scalaires soviétiques, parmi les principaux types disponibles, ainsi que les preuves et les indices de leur utilisation largement répandue.

    L'Electromagnétisme scalaire, c'est l'Electrogravitation

    L'électromagnétisme scalaire est une extension de l'électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C'est une électrogravitation unifiée, et, ce qui est plus important, c'est une théorie unifiée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla.

    Dans l'extension EM scalaire, l'énergie du champ EM peut être transformée en énergie de champ gravitationnel et vice et versa. Cette transformation peut être structurée et localisée, dans des zones ou objets spécifiques. Un tel passage contrôlé de l'électromagnétisme  à la gravitation n'est pas possible dans l'EM normal ou la physique actuellement enseignée dans les manuels occidentaux.
    Cependant des fragments et morceaux de cette théorie ont été éparpillés à travers la littérature de physique depuis quelques temps, mais aucun scientifique orthodoxe de l'Ouest ne semble avoir réalisé que ces portions anormales pouvaient être intégrées en une nouvelle physique étonnante. Des expérimentateurs non-orthodoxes, des inventeurs, et des scientifiques ont réalisés des découvertes dans cette arène depuis plusieurs décades, mais de nouveau personne n'a réalisé les implications exactes ou la manière précise dans laquelle leurs résultats pouvaient être combinés avec la physique électrique actuelle.

    Fer-De-Lance

    Une telle léthargie n'est certainement pas présente en Union Soviétique. Depuis au moins trois décennies, l'Union Soviétique a développé l'électrogravitation et l'a appliquée pour développer d'étranges nouvelles armes secrètes d'une capacité et d'une puissance incroyable. Ils ont poursuivi le plus grand programme de développement d'armes jamais lancé par aucune nation et, de manière efficace, ils l'ont tenu caché des yeux occidentaux indiscrets. J'ai appelé ce programme "Fer-De-Lance", d'après le serpent mortel d'Amérique du Sud du même nom.

    Le redouté fer-de-lance est un serpent d'une grande agilité dont l'effet de la morsure est létale.
    Il dresse souvent une embuscade à sa proie infortunée, et frappe à l'improviste sans prévenir. Sa première frappe soudaine est habituellement mortelle à sa victime qui expire rapidement en se tordant de convulsions dans son agonie. Puisque le développement soviétique d'armes scalaires électromagnétiques a été prévu pour le même but, le nom semble approprié.

    Un effort équivalent à environ sept projets Manhattan a été placé dans Fer-De-Lance par les soviétiques, et le programme a réussi presque au-delà de l'imagination. Les sinistres armes sont maintenant développées, déployées, et testées. L'embûche est complète ; Fer-De-Lance est enroulé et prêt à frapper.

    Les armes "énergétiques" et "à énergie dirigée (DEWs)"

    Le nom soviétique ordinaire pour ce type de science de l'armement est, "énergétiques". A l'Ouest ce terme est habituellement associé aux armes à énergie dirigée conventionnelle (DEW) [Directed Energy Weapons] comme les armes à faisceaux de particules, lasers, systèmes d'énergie dirigée en radio-fréquences (RF), etc. Les Soviétiques ne limitent pas le terme de cette façon.

    Les scientifiques occidentaux se sont uniquement familiarisés avec les armes à énergie dirigée où, des fragments, des masses, des photons, ou des particules, parcourent l'espace et entrent en contact avec la cible pour délivrer leurs effets. A partir de là, dans leur pensée, ils limitent le terme soviétique "énergétiques" aux types d'armes qu'eux mêmes comprennent -- armes exotiques mais normales c'est-à-dire utilisant une énergie ou une masse traversant l'espace et allant impacter une cible.

    Cependant il est possible de focaliser un potentiel afin que les effets d'une arme aillent au travers de l'espace-temps lui-même, de manière que masses et énergies "ne parcourent pas l'espace" entre l'émetteur et la cible. Au lieu de cela, les ondulations et les structures dans la fabrique de l'espace-temps lui-même sont manipulées pour se rencontrer et interférer à, et dans, l'espace temps local  depuis une quelconque distance de la cible. Là, l'interférence de ces structures ondulatoires crée l'effet énergétique désiré (d'où le terme "énergétiques") dans et à travers la cible elle-même, émergeant de l'espace-temps (du vide) dans lequel la cible est incorporée dans le lieu où elle se trouve à distance. "Énergétiques", comme les soviétiques l'utilise, se réfère à ces sinistres nouvelles armes, ainsi qu'aux plus banales DEW connues à l'ouest.

    En conséquence de la découverte soviétique et de décennies de développement fébrile, des armes stratégiques monstrueuses insoupçonnées à l'ouest sont déjà dans les mains des Soviétiques. Un nœud coulant est lentement et fermement resserré sur nos gorges, et il est déjà la onzième heure.

    Les Soviétiques ont planifié une supercherie.

    Parallèlement à ce programme de développement super-secret, les Soviétiques ont développé et mis en oeuvre un plan de mystification pour dissimuler ces armes étonnantes, ainsi que leur nature, des regards occidentaux jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
    La mystification soviétique a si bien réussie que même lorsque les scientifiques occidentaux sont confrontés avec les tests réels de ces armes directement au dessus de leurs têtes, ils n'identifient pas l'arme de guerre ni la nature des effets produits.

    Dès le début de janvier 1960, Nikita Khrouchtchev a annoncé le développement en Union Soviétique d'une nouvelle arme fantastique.

    Le 10 avril 1963 l'une des premières nouvelles superarmes déployées opérationnellement a été utilisée pour détruire le sous-marin atomique U.S.S. Thresher en plongée, au large de la côte est des États-Unis.
    Le jour suivant, le 11 avril 1963, la même superarme déployée a été utilisée dans un mode différent pour produire une explosion sous-marine géante dans l'océan sur la Fosse de Porto Rico à 160 kilomètres au nord de Porto Rico.

    Au fil des années, différents avions ont subi des interférences ou ont été descendus par les essais de ces armes soviétiques. Un cas particulier concernait la perte mystérieuse de plusieurs F-111 dans le conflit du Vietnam. Au moins un équipage de F-111 descendu a été récupéré dans les échanges de prisonniers de guerre qui ont suivi.
    Sur cet avion tous les systèmes électriques se sont trouvés en difficulté simultanément. Cela était probablement dû aux équipes soviétiques spéciales convertissant des systèmes radars de missile nord-vietnamien SA-2 au mode EM scalaire, et employant une interférence de "faisceau scalaire" pour produire des bruits EM parasites dans les systèmes électriques et électroniques de l'avion.

    En fin avril/début mai 1985, l'armada entière des superarmes EM scalaires stratégiques soviétiques a été activée lors d'une célébration spéciale du 40ième anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale.
    L'activation de cette armada (qui comprenait probablement plus de 100 armes géantes), couplée à 27 générateurs géants et un grand nombre de commandes et de contrôles de transmissions, ont été surveillés sur un système de détection avancée appartenant à Frank Golden.
    Après le gigantesque exercice stratégique, qui a duré plusieurs jours, la plupart des armes et des sources d'énergie ont été désactivées pour se tenir prête à l'action.

    Les lancements de la navette de la NASA ont fourni une opportunité de choix  pour les tests soviétiques de ces superarmes en mode ABM dans la phase de lancement, là où un missile lancé peut être détecté et détruit peu de temps après le décollage [NDT : ABM pour anti-missile balistique]. Au début, les explosions de la pulsation électromagnétique (EMP) sur la trajectoire que la navette venait d'emprunter, ont été délibérément décalées dans le temps, pour empêcher en fait la destruction de la cible et éviter d'alerter les U.S.A. que quelque chose d'inhabituel était en train de se passer.

    Le tir de navette du 26 novembre 1985 a vu un test particulièrement significatif dans ce domaine.
    Dans ce cas, une très forte explosion ou "boum sonique" a eu lieu sur le site de lancement 12 minutes après le décollage de la navette, tandis que la navette était déjà au loin sur sa trajectoire prévue. Au moins deux lancements précédents de la navette avaient été utilisés comme pseudo-cibles, avec sur le pas de tir des boums décalés dans le temps qui retentissaient bien en arrière des véhicules.

    Après que l'absence de réaction américaine à ces tests ait montré que les U.S.A. n'avaient encore aucune connaissances de cette nouvelle technologie et n'identifiaient même pas son emploi, les soviétiques ont apparemment décidés d'effectuer des tests où la cible serait réellement détruite.

    Le 12 décembre 1985 la même arme soviétique testée contre les lancements de la navette de la NASA a délibérément interféré avec les contrôles d'un DC-8 Arrow décollant de la base Gander Air Force à Newfoundland. A une altitude de 30 mètres, l'avion transportant plus de 250 soldats américains et les membres de l'équipage civil, a perdu sa puissance et s'est écrasé au sol, tuant tout le monde à bord. Trois Canadiens témoins du crash ont été interviewés aux informations télévisées de la Canadian Broadcast Corporation le 8 avril 1986 à 22 heures. Aucune flamme ou fumée n'est sortie de l'avion avant sa chute et son crash. Cependant l'avion a été vu mystérieusement illuminé d'une lueur jaune.
    Cela est la signature d'un obusier scalaire dans le mode "émergence EM continue", similaire à la manière dans laquelle les F-111 ont été descendus au Vietnam. En résumé, les systèmes électriques du DC-8 ont subi une interférence avec un bruit électromagnétique créé à travers l'espace-temps occupé par l'avion.
    La charge puissante créée dans et autour de l'avion a aussi causé apparemment la perte des deux moteurs, l'un après l'autre. Avec ses contrôles inopérants et sa puissance considérablement réduite, l'avion est retombé au sol, encore dans sa configuration de décollage "nez en l'air, queue en bas", et s'est crashé et a brûlé. La "lueur jaune" était un halo électrique dû à l'acquisition d'une haute charge électrique par la paroi de l'appareil.

    D'autres facteurs ont pu contribuer au crash en perturbant le décollage, la faiblesse de la maintenance des moteurs, le poids accru de l'avion dû à la glace et à la forte charge.
    Jusqu'à présent personne n'a identifié la "lueur jaune" ou ce qu'elle implique, ou la possible connexion entre la perte de l'avion et le test soviétique précédent d'un système ABM en Phase de Lancement contre les tirs de navette américaines...

    En septembre 1987, les deux derniers missiles Titan 34-D de l'Air Force mis à feux à la base de Vandenburg Air Force en Californie se sont désintégrés peu après le lancement. Le premier s'est désintégré le 28 août 1985 juste après le décollage. Cette perte a été attribuée a une panne d'une pompe de carburant haute puissance, provoquant une fuite massive de comburant et une fuite moindre de carburant. La seconde perte de Titan a eu lieu le 18 avril 1986 quand le missile s'est désintégré 5 secondes après le décollage. Son échec est encore sous investigation et aucune cause n'a été déterminée. Apparemment la navette et le Titan sont actuellement les seuls lanceurs viables pour le lancement des satellites américains "spy". La perte de ces satellites sensitifs -- si vraiment ils constituaient les charges utiles  -- n'aide pas mais peut être dommageable à notre capacité stratégique. Selon le Los Angeles Times (en 1986) l'unique rescapé, le satellite KH-11 a été lancé en décembre 1984 et, avec une espérance de vie de deux à trois ans, pourrait arrêter de fonctionner à la fin de cette année.

    Pour le moment nous ne savons pas s'il a existé ou non une activité significative de la grille/réseau "Pivert" dans le voisinage du lancement du Titan en août 1985. Cependant, une activité significative a eu lieu manifestement dans le réseau avant le désastre du Titan du 18 avril et le jour même.

    Le dimanche de Pâques 30 mars 1986, l'ingénieur Ron Cole a observé une interférence significative qui corrélait avec les mesures du Pivert soviétique. Le 18 avril, T.E. Bearden, peut-être le chef de recherche SEM aujourd'hui, a observé des traces d'un nuage radial sur Huntsville en Alabama et en a pris des photographies. Des rapports préliminaires de Thousand Oaks en Californie indique à nouveau une activité importante du réseau le 18 avril, le jour où  le second Titan a explosé.

    La seconde au moins de ces deux destructions de missiles peu après le décollage est suspicieuse, puisque le réseau était positivement actif à ce moment là. Il y a également une preuve claire de l'existence de systèmes ABM en Phase de Lancement, depuis le grand exercice scalaire d'avril/mai 1985. Donc la première explosion de Titan en août 1985 tombe dans la période soviétique "maintenant testons les contre les lanceurs américains". La perte du second Titan suit les pertes hautement suspicieuses du DC-8 Arrow du 12 décembre et de Challenger du 28 janvier 1986. La même arme soviétique qui a détruit ces cibles peut aussi avoir détruit l'un ou les deux Titans incriminés.

    Les Soviétiques furent capables également de manipuler significativement le climat sur l'Amérique du Nord depuis plus de dix ans sans être découvert. Ils ont testé une gamme fantastique d'armes de défense anti-missiles balistiques (ABM) depuis plus de deux décennies, et personne n'est plus avisé dans l'Ouest.

    Comme cela a été dit précédemment, avant la fin novembre 1985, au moins trois essais "tirs à blanc" soviétique d'un "système ABM en phase de lancement" contre les lancements réels de la navette américaine avaient été effectués directement sur Cap Canaveral lui-même et personne encore n'avait identifié ce qui se passait ou quelle sorte d'arme était en train d'être testée. Le 12 décembre, la destruction du DC-8 Arrow à Newfoundland n'à apporter aucun indice que les américains et les canadiens savaient quelque chose sur la nature de l'arme probablement employée.

    Par conséquent, après un temps d'attente suffisant pour tester nos réactions (s'il y en avait), les soviétiques se sont préparés à détruire réellement une navette après son lancement...

    Destruction de Challenger, Janvier 1986

    Comme le monde entier le sait, la navette Challenger a été lancé de Cap Canaveral en Floride après exposition à des conditions climatiques défavorables, et a explosée désastreusement peu après le décollage. L'évidence semble indiquer que, alors que le véhicule était en train de s'élever en condition difficile, une extrémité de son booster droit s'est brisée, a été projetée contre le réservoir principal provoquant sa rupture, une fuite importante de carburant, et une explosion catastrophique. Plusieurs autres anomalies existe encore cependant, et il est clair qu'un problème a existé avec au moins un des joints de booster. Les sept astronautes à bord du vol ont tous été tués dans la destruction violente du véhicule.

    Bien sûr personne n'avait pris conscience que les Soviétiques avaient déjà testé un système anti-missile balistique en phase de lancement (LPABM) contre trois de nos précédents lancements de navettes. Ces "tirs à blanc" ont utilisé délibérément un "time-offset" pour décaler l'émergence explosive de l'énergie électromagnétique dans un lieu situé sur la trajectoire de la navette qui venait de décoller. Les tirs des tests décalés ont eu pour résultats un très grand "boum" au dessus du site de lancement après que la navette soit sortie indemne de la zone, mais n'ont pas détruit les navettes elles-mêmes. Par exemple, le boum du tir décalé a eu lieu 12 minutes après le lancement au soir du 26 novembre 1985. Un faisceau traçant (grande lumière dans le ciel) a même été utilisé sur ce lancement peu après le décollage. Le faisceau traçant a été photographié. De plus  une autre photographie prise d'une séquence montre un autre éclair de lumière soudain, descendant et se terminant dans une explosion de lumière. C'était probablement un test déplacé spatialement du "mode pulsé" pour la destruction de la navette. L"explosion lumineuse" a dû être détectée en Union Soviétique et repérée par rapport à sa position déplacée intentionnellement. Cependant, un autre mécanisme a été utilisé pour provoquer la destruction de la navette elle-même.

    Le 1er janvier 1986 la présence d'un signal réduisant la résistance des métaux, rajouté sur les émissions EM scalaires des systèmes LPABM soviétiques, a été  détectée par un Frank Golden tout surpris. Il a lui-même vérifié expérimentalement à ce moment-là, la capacité du signal détecté de réduire la résistance des métaux. Golden a également annulé localement l'action du signal EM scalaire dans un test assez concluant en établissant (1) qu'il a existé et (2) ce que c'était. Le signal avait été apparemment préparé pour être utilisé contre un lancé de navette imminent.

    Juste avant le lancé de la navette en fin janvier 1986, les soviétiques avaient accompli une manipulation climatique significative sur les U.S.A. Le Jet Stream avait été sévèrement détourné vers le sud dans le milieu des Etats Unis, se détournant encore vers la droite pour traverser le "panhandle" de la Floride. De l'air froid glacé du Canada a été aspiré très bas, en Floride sur l'emplacement de Challenger sur son aire de lancement. Cette exposition au froid en deçà de ses limites testées, fut probablement un facteur additionnel qui a contribué à la faillite de Challenger.
    Des signatures positives de la modification du climat et de la manipulation du Jet Stream par les Soviétiques ont été observées et photographiées par plusieurs personnes, particulièrement en Alabama et en Californie...

    Le 28 janvier 1986, le système d'arme EM scalaire soviétique a été soudainement localisé dans la zone de lancement. La localisation impliquait que des fréquences plus élevées étaient présentes; celles ci sont absolument douloureuses pour les petits cerveaux tels que ceux des oiseaux, dont les hémisphères fonctionnent comme un détecteur et un interféromètre scalaire. Comme cela a été commenté par les présentateurs des informations nationales, étrangement les oiseaux ne volaient pas ce matin-là. Au lieu de cela, ils restaient au sol ou évitaient la zone, puisque le ciel au dessus de la zone leur était néfaste.

    Alors que Challenger s'élevait, le signal réduisant la résistance des métaux a dû s'exprimer dans et autour des boosters peu après la mise à feu, puisque, la flamme du booster agit comme un détecteur/tuner spécial à "ion-plasma" pour le signal scalaire. L'effet de ce signal local est de "charger la masse dans le voisinage immédiat" avec le signal de résonance scalaire spécifique.

    L'infortunée Challenger était vouée à l'échec. Après la mise à feu, la flamme du booster a agit comme un détecteur/amplificateur de plasma pour le signal réduisant la résistance des métaux du réseau soviétique "Pivert". Le métal dans et autour de la flamme du booster s'est lentement et progressivement affaibli en raison de l'acquisition des caractéristiques visant à réduire sa résistance. Cela a contribué à la fuite du booster à partir de l'étanchéité déjà mise à mal par le froid. De la fumée s'est échappée puis des flammes, contribuant au désastre imminent.

    Des vents substantiels et des turbulences d'air au dessus du site ont accru le stress sur Challenger alors qu'il s'élevait dans cette zone. Cela aussi a contribué au désastre et a peut-être été créé délibérément par la manipulation soviétique du climat.

    Comme Challenger était stressée, en fait un ou plusieurs étriers fragilisés ont cédé, libérant partiellement l'extrémité du booster droit. Une autre flamme ou lumière anormale a été observée sur le véhicule, et peut avoir représenté une petite "forme d'énergie en mode pulsée" supplémentaire produite par l'arme qui attaquait déjà Challenger. Le booster a oscillé, pivotant dans le réservoir et le fracturant. Une violente explosion a résulté du contact de la flamme avec l'épanchement du carburant liquide, détruisant le véhicule et tuant ceux qui étaient à bord...

    En créant une exposition excessive de la navette au froid, en induisant une diminution de la résistance des métaux dans et autour des boosters mis à feux, et en ajoutant un "point intensivement chaud", les Soviétiques ont provoqué la fragilisation et l’autodestruction de Challenger peu après le décollage, d’une manière si subtile que les scientifiques de la NASA ne suspecteraient pas ce qui a provoqué réellement la mésaventure. Les Soviétiques avaient également reculé auparavant tous leurs chalutiers et navires qui normalement espionnent un tir de navette, pour prévenir une quelconque suggestion de présence proche ou implication soviétique dans l’accident catastrophique.

    Quelques jours plus tard, des "signaux dans une gamme de haute fréquence", sporadiquement intenses, étaient encore présents sur le réseau, au moins un "hinge-point( ?)" à Birmingham en Alabama a confirmé cela. Du 1 au 4 février 1986, de nombreux oiseaux volaient par inadvertance dans la zone lorsqu'une explosion intense eut lieu, et les oiseaux sont tombés morts du ciel en nombre important....

    Malheureusement, la suffisance bureaucratique des scientifiques orthodoxes d'occident a matériellement renforcé le processus de duperie soviétique. La plupart des cadres scientifiques d'occident - particulièrement dans les activités de développement des armes - ont continué à voir les Soviétiques comme des paysans ignorants, encore en train d'essayer de nettoyer la boue de leurs bottes. Ce point de vue est, bien sûr, totalement faux et injustifié.

    Quelques exemples suffisent pour réfuter cette attitude. Dans les mathématiques non-linéaires, l'ingénierie et la science, les Soviétiques ont devancé leurs homologues occidentaux depuis le début. L'effet (EMP) d'impulsion électromagnétique d'une explosion nucléaire est apparu dans la littérature scientifique ordinaire soviétique avant même que les scientifiques occidentaux soient conscients que l'effet existait.
    Les soviétiques continuent à être en tête au niveau mondial dans la soudure explosive, l'usinage et la soudure du titane, etc. Tandis que les scientifiques soviétiques montrent peu d'inclinaison à fabriquer des bonnes machines à laver, ils produisent certainement des chefs d’œuvre de technologie -- et au-delà -- dans n'importe quel domaine dans lequel ils ont focalisé leurs efforts principaux. (On devance les soviétiques dans certains domaines tels que le matériel informatique, les logiciels informatiques, miniaturisation, etc.).

    Une fois auparavant, une nation moderne, les Etats-Unis, avait développé secrètement une arme de grande capacité et l'a utilisée pour mettre à genoux un adversaire puissant, le Japon... Les frappes atomiques incroyables à Hiroshima, et Nagasaki, ont montré une fois pour toutes que dans l'age moderne la surprise technologique peut s'avérer désastreuse instantanément. Donc dans notre arrogance scientifique, nous avons présumé que cela ne pourrait jamais se passer pour nous, et que le scénario "arme secrète" ne sera jamais répété. Au contraire, il A EU LIEU de nouveau, quelqu'un d'autre l'a fait, et cela s'est passé pour nous.

    Il est également de bon ton à l'Ouest de croire que toutes les lois de la physique sont déjà découvertes. Nous affirmons que nous les connaissons toutes. Pendant que nous étions en train de chanter orgueilleusement cette mélodie, les soviétiques étaient en train de découvrir progressivement de nouvelles lois en secret, ainsi que de nouveaux moyens de faire échouer les anciennes lois. Notre défense est stratégique, nous comptons sur nos capacités d'attaque, notre énorme arsenal nucléaire...
    Si cette capacité d'attaque était annihilée ou détruite par les armes secrètes soviétiques, nous serions impuissants à prévenir notre propre destruction et la domination soviétique sur le monde.

    Nous nous sommes vu comme indestructible, confiant dans la force de notre défense. Donc littéralement nous avons été dépouillé de notre défense. Les armes énergétiques soviétiques sont maintenant vraiment capable de détruire notre défense, notre contrée, nos forces armées sur le champ de bataille, et notre population, rapidement et efficacement. Nous avons une nouvelle lacune de proportions monumentales: pas une lacune de missile, pas une lacune de bombardier ou de sous-marin, ni même une lacune de laser ou de rayon de particule. Nous avons une lacune "d'Electromagnétismes scalaires ou d'Electrogravitation".....

    Après 1895, les physiciens ne pouvaient plus utiliser les mathématiques des déplacements physiques continus pour modéliser l'Univers. La théorie quantique exigeait ce qui était alors des changements radicaux dans les hypothèses de causalité. Les atomes émettaient, ou n'émettaient pas, des radiations non sur des bases déterminées mais selon des probabilités; les constituants basiques de la matière et de l'énergie étaient soit des particules ayant des propriétés semblables aux ondes, soit des ondes ayant des propriétés semblables aux particules, selon comment et quand vous les mesuriez; position et vitesse ne pouvaient pas être mesurées simultanément à un degré de précision quelconque; l'état d'une particule est déterminé uniquement quand vous la mesurez, et cette mesure détermine aussi immédiatement l'état d'une particule reliée qui est si éloignée que l'information ne peut lui parvenir depuis la première particule. Ces difficultés ne signifient pas que la théorie quantique est imprécise; elle est hautement précise. Mais, à la différence de la théorie de la relativité, elle n'explique pas l'Univers par la voie déterministe classique.

    L'un des problèmes des physiciens pour la compréhension et l'assimilation de la théorie quantique était dû au fait que l'interprétation de toutes les mesures est complètement liée aux hypothèses théoriques concernant ces mesures. Si les hypothèses qu'on établi à propos des mesures au niveau microphysique (quantique) étaient des hypothèses classiques, les mesures n'auraient aucun sens. Eisenbud (8) disait cela.

    Finalement, la théorie devient si familière que nous ne réalisons plus vraiment son importance dans l'interprétation de l'observation... Lorsque la théorie échoue, cependant, les connections familières entre ses constructions mentales et ce qui est observé sont brisées. Nous devons retourner alors aux observations pures et à leurs interrelations observées, et essayer de construire à partir d'elles de nouvelles structures théoriques adaptées.

    L'Électromagnétisme scalaire c'est l'Electrogravitation

    L'électromagnétisme scalaire est une extension de l'électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C'est une électrogravitation unifiée et, ce qui est plus important, c'est une théorie unifiée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla.

    Que ceux qui ont des oreilles entendent.

    Voici le secret de l'antigravité.

    La "charge électrique" d'une particule chargée -- comme celle des particules chargées d'un atome ou celle des protons de son noyau -- représente une différence d'intensité (potentiel) de flux entre la particule locale et son vide environnant. C'est l'épanchement continuel de la charge gravitationnelle ainsi que de la charge électrique. Si cet épanchement est inversé ou arrêté, il s'ensuit un effet radical sur la charge gravitationnelle. Le potentiel-5 et la charge-5 sont devenus un potentiel-4-G et une charge-4-d respectivement. Donc "charger" un objet avec sa structure EM
    scalaire revient à le charger gravitationnellement. Maintenant le seul "canal d'épanchement" est à travers le champ de force 4-G. De plus, dans un noyau les nucléons vont et viennent continuellement entre proton et neutron, ce qui fait que la charge électrique est "éparpillée" à travers le noyau et partagée par tous les nucléons.

    On peut rajouter que chaque élément (en fait chaque isotope) a son propre et unique "pattern d'ensemble" de fréquences scalaires d'expansion de Fourier, d'amplitudes, etc. Ce pattern peut, bien sûr, être reproduit artificiellement et être émis par des émetteurs EM modifiés. Il y a, cependant, une sorte de pattern (EG) d'EM scalaire "clef maîtresse" pour les nucléons (protons et nucléons s'intervertissent en échangeant des courants de charge virtuels).

    Si on inverse la charge par l'inversion de cette structure, et puis on applique cette "charge inversée à une masse", pour l'observateur externe la masse ainsi chargée devient de plus en plus légère, et son inertie de moins en moins importante. En fait cela semble (à l'observateur) acquérir une masse négative et une inertie négative, et donc subit une accélération l'éloignant de la Terre. L'objet tombe vers le haut au lieu de tomber vers le bas.

    Il y a aussi des effets de temps étranges ; cette objet peut se déplacer plus lentement à travers le temps que l'observateur dans le laboratoire, ou même se déplacer en arrière dans le temps par rapport à l'observateur dans le laboratoire. Ne croyez pas tout ce qu'on vous enseigne sur la relativité ; aucune de ces personnes n'a jamais fabriqué une seule situation de relativité générale, et rien de ce qu'ils enseignent en relativité générale n'est basée sur l'expérience directe. Il a déjà été prouvé expérimentalement que ce qu'ils enseignent est erronée.

    Voici le concept d'un détecteur EG scalaire pour des ondes EG scalaires. Voici le détecteur d'onde scalaire Bendini, adapté d'un concept original par Dea et Faretto.

    L'idée est vraiment simple: installez une puissante barre aimantée à l'intérieur d'une cage de Faraday reliée à la terre. Ensuite installez une bobine ouverte aux extrémités longitudinalement au dessus de l'aimant de façon qu'une ligne qui traverse l'axe longitudinal de l'aimant passe au travers de l'axe longitudinal de la bobine au dessus de lui. L'extrémité ouverte de la bobine ne doit pas toucher l'aimant.

    Connectez l'autre extrémité de la bobine à un condensateur variable, afin que la bobine et le condensateur forment un circuit oscillateur-L-C-série réglable. La sortie du condensateur est connectée à un préamplificateur à l'intérieur de la cage. Une tige de réglage pour le condensateur est très soigneusement placée à travers un petit trou de la cage pour permettre le réglage depuis l'extérieur.

    La sortie du préampli est un câble blindé qui passe à travers un petit trou de la cage vers un oscilloscope adjacent. Le blindage du câble est aussi mis à la terre au potentiel de référence du sol.

    La théorie est celle qui suit: Supposez qu'une onde électromagnétique normale apparaisse à l'intérieur de la cage, au dessus de l'aimant ou juste à proximité, dans ce cas une oscillation accouplée apparaît dans le champ de l'aimant, et cette oscillation est transférée à la bobine qui est juste au dessus de lui. Si l'oscillation est à l'intérieur de la fourchette de fréquences sur laquelle le circuit oscillateur LC est accordé, une détection a lieu, celle-ci est amplifiée par le préampli puis elle arrive à l'oscilloscope, où elle est affichée sur l'écran.

    Remarquez que le détecteur détecte une onde EM normale. Maintenant notre problème est: Comment faire en sorte qu'une onde EG soit détectée? Et comment s'assurer que nous ne détectons pas une onde EM ordinaire venant de l'extérieur? En fait cela est simple. Les ondes ordinaires (excepté pour les très basses fréquences) seront mises à la terre  par le bouclier Faraday, et ne pénètreront pas la cage. Donc ces ondes EM normales ne peuvent pas entrer dans la cage et apparaître au dessus de l'aimant, elles ne seront pas détectées. Les ondes EG scalaires, à l'inverse, pénétreront dans la cage puisqu'elles ne se couplent pas avec les électrons conducteurs dans le métal de la cage. Au dessus du pôle de l'aimant, l'espace-temps est localement courbé, après tout, un pôle est un potentiel scalaire magnétostatique, qui est une partie du conglomérat appelé "potentiel-G". Le pôle représente une augmentation (ou une diminution, selon que ce soit un pôle nord ou un pôle sud) dans la composante magnétostatique du potentiel-G local. C'est une courbure de l'espace-temps. Une onde EG entrant dans cette région amène une variation de la composante du potentiel-G magnétostatique, qui s'épanche dans la bobine comme une onde EM ordinaire.

    Une autre façon de voir le détecteur est de modeler l'onde EG comme une onde longitudinale, et une onde EM ordinaire comme une onde transverse. Lorsque l'onde EG pénètre la région de l'espace-temps courbé au dessus de l'aimant, pour la bobine ("l'observateur" dans ce cas!) l'aspect longitudinal de l'onde EG apparaît comme un mouvement rotatif alterné, de telle sorte qu'une composante d'oscillation transversale est présente. Cette composante transversale apparaît à la bobine comme un champ EM ordinaire, et donc le circuit LC le détecte s'il est dans sa propre bande de fréquence.

    Une autre manière de voir la situation c'est de réaliser qu'une onde EG approchant l'aimant induit une oscillation qui a augmenté  le potentiel scalaire magnétostatique (force polaire) de l'aimant. Par conséquent, l'aimant est un receveur pour les ondes scalaires, lesquelles sont détectées lors de leur propagation, comme une oscillation de la puissance du champ magnétique de l'aimant. Le couplage de la bobine au champ magnétique oscillant crée un flux de courant oscillant dans le condensateur, cela fait osciller le voltage d'entrée au préampli, qui amplifie et génère le signal pour l'affichage à l'oscilloscope.

    Il est important de se rappeler qu'un potentiel magnétostatique et un potentiel électrostatique peuvent être mis en oscillation par une onde EG scalaire. En plaçant un matériel magnétique dans une cage Faraday, l'oscillation du potentiel scalaire magnétostatique (puissance polaire de l'aimant) peut être utilisée en tant que mécanisme de détection EG. En plaçant un matériel chargeable (électriquement) dans une cage de Faraday, l'oscillation du potentiel scalaire électrostatique peut être détectée. (Des exemples possibles des derniers types de détecteurs ont été donnés par Hodowanec, "Radio Electronics", Avril 1986.)

    Remarquez aussi qu'on peut détecter des ondes à un niveau de référence et pas à un autre. Le changement de potentiel de la référence zéro de la mise à la masse du détecteur Bendini affecte la détection. Pour regarder à l'intérieur d'une porteuse EM normale (telle que la porteuse du "Pivert" soviétique) et voir quels signaux scalaires elle apporte, la porteuse peut être utilisée pour référencer la mise à la masse du détecteur Bendini. Pour produire un analyseur de spectre, utilisez simplement des séries supplémentaires de circuits d'accords LC en parallèle (mettez plusieurs cosses de connexions sur la bobine, et reliez chaque cosse à un condensateur d'accord séparé de capacité différente). A nouveau, la variation du niveau de référence zéro est importante, tout comme la variation de la puissance de l'aimant. Frank Golden a aussi inventé une excellente série de détecteurs d'ondes scalaire basés sur des principes déposés complètement différents.

    Le résultat est: on peut vraiment détecter et mesurer rigoureusement des ondes scalaires EG, quand on considère les grandes sommes d'argent actuellement affectées pour enterrer de grands cylindres d'aluminium, on se demande pourquoi quelques fonds ne peuvent être alloués à quelques chercheurs non-orthodoxes par l'Académie Nationale des Sciences pour financer la détection et la création prouvées des ondes électrogravitationnelles...

    Voici expliqué un nouveau genre de résonance: la résonance électromagnétique scalaire, ou résonance électrogravitationnelle.

    En premier, imaginez que vous ayez une cavité résonnante standard, dans cette cavité on a une onde EM résonnante qui va et vient, selon les conventions, le vecteur de champ-E et le vecteur de champ-B sont à angle droit dans ce front d'onde en mouvement. Lorsque l'onde va et vient, les vecteurs varient en allant et venant ; cependant, à n'importe quel point entre les parois, les deux vecteurs ont toujours la même valeur. Donc notre onde EM résonnante forme une onde stationnaire dans la cavité.

    Maintenant imaginez qu'un second front d'onde, précisément comme le premier et de la même fréquence, est superposé au premier et voyage avec lui. Cette seconde onde -- "l'anti-onde" -- a ses vecteurs forces déphasés de 180 degrés d'avec les vecteurs forces de l'onde de référence. En conséquence la somme des champs-E et des champs-B des deux ondes superposées est toujours égale à zéro, en n'importe quel point de la cavité. Pour un observateur externe, la cavité contient des champs de forces électromagnétiques non-ordinaires, d'où une énergie EM non-ordinaire.

    Cependant la densité d’énergie d’une onde sinusoïdale EM dans le vide est donnée par :

    Densité 2 [E + B] / 8 Pi

    Cette densité d’énergie est toujours positive, de là la densité d’énergie des deux ondes en n’importe quel point entre les murs est égale à :

    2  2 [E +B] / 4 Pi

    où   E = E(x) ; B = B(x)

    Ainsi la densité d’énergie du vide varie avec X, rigoureusement, puisque la résultante des champs E et B est de zéro, cela décrit une onde gravitationnelle stationnaire. En conséquence nous avons une onde EG stationnaire existant dans la cavité, voici un exemple de résonance scalaire. Rigoureusement la cavité a une masse et une inertie, pour un observateur extérieur, en résultat des deux courbures d’espaces-temps qu’elle contient.

    Notez que dans un demi cycle la densité d’énergie du vide est plus grande qu’en ambiance, et dans l’autre demi cycle elle est moins grande ; dans la zone d’un demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus rapide que pour l’observateur ambiant, et dans l’autre demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus lent que pour l’observateur ambiant. Une moitié du cycle semble contenir la charge électrique et l’autre semble contenir la charge positive.
    Un demi cycle semble contenir un pôle nord (potentiel scalaire magnétostatique positif), et l’autre demi cycle semble contenir un pôle sud (potentiel scalaire magnétostatique négatif).

    Peut-être que maintenant on peut commencer à comprendre pourquoi un électron en continuelle accélération sur son orbite atomique n’émet pas d’énergie EM, en complète violation des équations de Maxwell, l’électron n’est pas comme tel mais un aspect complexe.

     La résonance scalaire n’est pas dans les manuels conventionnels.

    La résonance scalaire est une muli-résonance électromagnétique particulière de somme zéro, de sorte qu’elle n’agit pas d’une façon électromagnétique.
    Une résonance scalaire est une onde électromagnétique stationnaire, elle peut être produite électriquement, mais elle n’est pas électrique dans son comportement.
    Dans n’importe quelle résonance scalaire, l’espace-temps est courbé et c’est l’ampleur (et direction) de cette courbure d’espace-temps qui oscille sous forme « d’onde stationnaire ».
    Par rapport au stress du vide moyen, la moitié d’une onde sinusoïdale stationnaire est extensible, l’autre moitié est compressible. Cependant, cela est par rapport au stress ambiant local du vide.
    La « masse » d’une particule est juste une caractéristique exhibée par une résonance scalaire piégée, en fait ce piégeage est fait par le « spin » de la particule individuelle.
    Le concept de « masse » peut être comparé avec le concept de « capacité ». Ce qui signifie qu’une masse est un accumulateur d’ondes scalaires ; c’est-à-dire de résonances scalaires.
    Elle se « charge » et « décharge » continuellement par absorption et émission d’ondes scalaires depuis et vers le flux d’ondes scalaires du vide ambiant.
    En conséquence la magnitude d’une masse peut être définie en terme de valeur absolue de ce taux de « commutation » (absorption = flux entrant ; émission = flux sortant).
    Pour des détails sur cela voir (Bearden, T.E. « Quinton/Perception Physics : A Theory of Existence, Perception, and Physical Phenomena, » Mars 1973, AD 763210, disponible à NTIS).

    Dans l’espace-temps linéaire normal,  « charge » et « décharge » sont égales dans toutes les directions ; donc la masse exhibée est identique dans n’importe quelle direction.
    Par rapport à l’équilibre du flux de « l’observateur externe », un objet en mouvement rencontre une quantité accrue de taux de flux le long de sa ligne de mouvement, exactement comme un objet se déplaçant sous une pluie torrentielle rencontre plus de gouttes de pluie par seconde dans la direction de sa trajectoire, que ne le fait un objet stationnaire.
    La rencontre d’un flux accru d’ondes scalaire (par rapport à l’observateur externe) force l’objet en mouvement à absorber et émettre des ondes scalaires à un taux plus élevé le long de sa direction de mouvement que lorsqu’il ne bougeait pas.
    Donc pour l’observateur externe, la masse de l’objet s’est accrue, en ce qui concerne n’importe quelle force perturbante le long de sa ligne de mouvement.

    Cependant, orthogonalement à sa ligne de mouvement, le taux de flux est précisément le même que quand l’objet est au repos, donc, vu par l’observateur externe, la masse de l’objet en mouvement n’a pas changé par rapport aux forces perturbantes orthogonales.
    Ainsi se trouve expliqué les deux parties de l’un des grands mystères de tous les temps, la relativité : (1) comment la masse d’un objet s’accroît selon son mouvement et, (2) pourquoi la masse s’accroît par rapport à sa ligne de mouvement et pas orthogonalement à elle.

    L’inertie d’une particule est due à sa masse, c’est-à-dire à la magnitude totale de sa résonance scalaire piégée.
    L’attraction gravitationnelle entre deux masses est due à leur courbure d’espace-temps, de plus, la masse est comme une capacité, elle peut capturer des ondes scalaires complémentaires en tant que résonance piégée et de là accroître sa magnitude ou « charge inertielle » ; ou bien elle peut se décharger de plus d’ondes scalaire qu’elle n’en absorbe et de là diminuer sa magnitude ou « charge interne »...

    Ces ondes scalaires émises par la résonance sont émises comme un ensemble de patterns de la résonance, elles peuvent donc être considérées comme constituant un courant de résonances scalaires quittant l’objet accumulateur de masse. Les ondes scalaires absorbées dans une résonance piégée peuvent être considérées comme constituant un courant de résonance scalaire pénétrant l’objet accumulateur de masse, donc il est approprié de dire qu’une résonance scalaire est capable de « couler ».

    En conséquence, il est possible d’accroître directement la masse d’un objet, en lui transmettant des ondes EM scalaires pour qu’il les absorbe. (Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires à pénétrer l’objet qu’à le quitter, donc l’objet agit comme un accumulateur augmentant sa charge interne. Cela se fait en s’assurant que le potentiel de référence de l’émetteur d’onde scalaire est plus élevé que le potentiel de référence de l’objet irradié.)

    Il est également possible de diminuer directement la masse d’un objet en lui transmettant des ondes EM scalaires, de façon qu’il émette plus qu’il n’absorbe. (Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires à quitter l’objet qu’à le pénétrer, donc l’objet agit comme un accumulateur diminuant sa charge interne. Cela se fait en s’assurant que le potentiel de référence de l’émetteur scalaire est plus bas que le potentiel de référence de l’objet irradié.)

     Comme on peut le constater, « l’émetteur » d’onde scalaire est en réalité quelque peu comparable à une pompe à chaleur ; il peut agir soit comme un « émetteur d’énergie » ou soit comme un « extracteur d’énergie », selon la différence de potentiel entre « l’émetteur » et le « receveur ».

    Une résonance scalaire peut avoir une structure spécifique : tant dans ses aspects courbures spatiales et fréquences que dans ses aspects « débit d’écoulement du temps ». En effet, du point de vue scalaire chaque objet à son « modèle scalaire » individuel lequel est une empreinte digitale unique. Puisque cette empreinte est spatio-temporelle, c’est un produit de l’histoire passée entière de cet objet.
    Donc – d’un point de vue scalaire – deux objets ne peuvent être identiques.

    Cela montre un autre potentiel plutôt étonnant : si un modèle scalaire  suffisamment précis d’un objet peut être « irradié » et mis en résonance par des ondes scalaires, on peut, à distance, créer de l’énergie à l’intérieur de l’objet ou en extraire, tout comme un diapason stimulé peut en exciter un autre à distance par résonance sympathique. Je vous laisse vérifier le rapport de cette assertion à la clairvoyance, radionique, vision à distance, etc.

    Pour le sceptique, cependant, nous devons signaler que -- rigoureusement --  la mécanique quantique exige que, continuellement, dans n’importe quelle région localisée de l’espace-temps, le « pattern » de n’importe quel objet dans l’univers apparaisse momentanément en l’état virtuel, d’un point de vue purement statistique seulement. Aussi longtemps que la situation reste statistique, n’importe quel lieu dans l’univers peut continuer d’avoir les « fantômes » de tout ce qui est présent là, dans un pattern fin et éthérique, et le monde observable n’en sera pas affecté.
    Cependant si on peut distinguer et « charger » scalairement ou « décharger » des patterns individuels dans ce « royaume-fantôme », l’action à distance est directement possible, comme l’est la matérialisation et la dématérialisation. Si on accepte que même une pensée elle-même produit un tel « pattern-fantôme » virtuel dans le flot de particules virtuelles du vide, alors il est au moins théoriquement possible de matérialiser des pensées et des images pensées.

    Nous sommes entrés dans une nouvelle sorte de réalité où les anciennes règles et les anciennes limitations ne s’appliquent pas nécessairement.

    Comme signalé, nous pouvons grandement simplifier le problème en le considérant comme des « courants de résonances scalaires », ces courants coulent du potentiel le plus élevé vers le potentiel plus bas, indépendamment de ce que nous considérons « émission » ou « réception ». En effet, émettre à un potentiel plus bas c’est recevoir, et recevoir à un potentiel plus haut c’est émettre. Donc « l’émetteur-récepteur » est un système spécial où en biaisant simplement deux nœuds différemment on détermine dans quel sens la résonance scalaire s’écoulera. On peut augmenter et diminuer la masse et l’inertie d’un objet, simplement en biaisant d’une manière appropriée les deux nœuds de l’émetteur-récepteur.

    Lors d’une expérience accidentelle d’une durée de quelques heures, Golden a chargé une zone de sorte que, localement toutes les horloges ont été faussées, cela incluait des horloges électriques, des montres à piles et une horloge ancienne à pendule, le débit du flux de temps lui-même a été apparemment altéré dans la zone locale par la charge accumulée, laquelle a mis quatre jours à s’épancher et se décharger. Au bout de quatre jours de décharge, toutes les horloges et les montres sont revenues à la normale.

    Si nous faisons interférer deux émetteurs dans une région de grande énergie – telle que le noyau en fusion de la Terre elle-même – et réglons l’émetteur négativement, nous pouvons extraire une énergie énorme directement de cette source !

    En effet, c’est précisément par une légère variation de cet effet que les Soviétiques obtiennent l’énergie énorme avec laquelle ils alimentent leurs armes EM sacalaires stratégiques « continent-buster » incroyablement puissantes.
    Des paires de fréquences scalaires – séparées de 12 kilohertz – sont émises dans la Terre elle-même sur certaines portions de la courbe de fréquence de la « gigantesque résonance scalaire » de la Terre. Le positionnement approprié des émetteurs l’un par rapport à l’autre produit une haute différence de potentielle (voltage) entre eux. En les positionnant simultanément négativement par rapport au noyau en fusion de la Terre, il en résulte un courant de résonance scalaire depuis le noyau vers les deux émetteurs.

    Dans la « boucle extérieure » entre les deux émetteurs scalaires, apparaît un voltage gigantesque et un courant électrique gigantesque qui peut être capturé par des moyens appropriés, cette puissance électrique est capturée et transmise à des systèmes d’armes EM scalaires incroyablement puissantes. Là des accumulateurs spéciaux couplés à des commutateurs sont utilisés pour fournir d’énormes quantités de puissance à chaque arme.

    Juste avant le 1er mai 1985 l’Union Soviétique a effectué un test opérationnel de son complexe entier d’armes EM scalaires stratégiques.  Ce test a été détecté et surveillé périodiquement par Frank Golden, quelques 27 de ces « vannes géantes d’énergies » soviétiques ont été verrouillés dans le noyau en fusion de la Terre, produisant une résonance scalaire forcée de la planète entière sous nos pieds, sur 54 fréquences contrôlées. Le reste du spectre de fréquences scalaires était embrassé par littéralement des centaines d’émetteurs scalaires soviétiques : probablement la commande et le contrôle entier du système scalaire stratégique des sous-marins, les plus hauts centres de commandes, les commandes à distances, etc., étaient activés dans l’exercice gigantesque.

    Durant plusieurs jours le system était en action à une échelle époustouflante, apparemment faisant partie de la célébration hautement commémoré du 40ème anniversaire de la fin de la deuxième guerre mondiale.

    Ironiquement pas un seul service de renseignement, laboratoire, ou scientifique américain n’a détecté cet exercice monstrueux pour le nouveau leader soviétique, Gorbatchev. Pas un d’entre eux n’avait un détecteur de rayonnement EM scalaire, et aucun d’entre eux ne dira – officiellement – que l’exercice ait jamais eu lieu.

    Création d’énergie à distance

    Un dispositif plus utile est obtenu en utilisant un interféromètre scalaire où les deux émetteurs émettent des rayons qui se croisent à distance. Dans la zone d’interférence, une bouteille d’énergie est créée.

    En réglant les potentiels de référence de l’émetteur bien au-dessus de ceux de la bouteille d’énergie distante, une énergie EM émerge dans cette zone, dans ce cas l’interféromètre fonctionne dans le mode Exothermique.

    En réglant les potentiels de référence de l’émetteur bien au-dessous de ceux de la bouteille d’énergie distante, une énergie EM est extraite de la zone distante et émerge de l’émetteur, dans ce cas l’interféromètre fonctionne dans le mode Endothermique.

    Si l’émetteur émet continuellement, l’effet dans la zone distante est continu. Si les émetteurs émettent par pulsation et que les deux pulsations se rencontrent dans la zone d’intersection distante, alors une extraction ou émergence explosive d’énergie a lieu dans la zone d’interférence distante, selon que l’interféromètre fonctionne dans le mode endothermique ou exothermique.

    [Note de J.Frendelvel: un exemple photographique d'interférométrie scalaire est présenté en document annexe , ce lien est redonné à la fin de ce document]

    Mode exothermique (interféromètre scalaire)

    Pour un interféromètre scalaire, « del phi » (le gradient du potentiel) s’applique entre le site de l’émetteur et le site d’intersection distant, pas à l’espace existant entre les deux. Donc on parle du « flux d’énergie » existant entre l’émetteur et l’intersection – sans rien entre. Dans l’espace intermédiaire, toute l’énergie existe comme un potentiel artificiel verrouillé (potentiel d’écoulement du gradient).

    Dans le mode Exothermique le potentiel terre de l’émetteur est réglé bien au-dessus du potentiel terre du vide ambiant, l’énergie entre dans l’émetteur et « disparaît », pour « réapparaître » dans la zone d’interférence distante.

    Si une émission continue d’onde est utilisée, l’énergie apparaît de manière continue dans la zone distante.

    Si une émission pulsée est utilisée et prévue pour que les deux pulsations scalaires se rencontrent dans la zone distante, une énergie explosive y apparaît alors.

    Si des fréquences multiples sont émises à la manière d’une expansion de Fourier d’une forme géométrique particulière, alors une forme d’énergie tri-dimensionnelle apparaît à l’intersection distante. De cette façon une coquille (ou obus) sphérique ou hémisphérique (un globe ou un « dôme » d’énergie EM) peut être créé à distance, si une émission pulsée est utilisée, ce sera une émergence impulsive ou explosive de cette forme d’énergie, si une émission continue est utilisée, ce sera une forme rayonnante continue.

    En alimentant des émetteurs incroyablement puissants avec de grandes quantités d'énergie extraites du noyau en fusion de la Terre grâce à des « vannes d’énergies », de très vastes globes sphériques et dômes hémisphériques d’énergie EM peuvent être créés à distance. L’énergie dans la « coquille » d’interférence d’une telle sphère ou hémisphère, est suffisamment dense pour soulever le problème de Dirac depuis la mer de vide de Dirac, ainsi la coquille contient un plasma rayonnant.

    De telles signatures d’obusiers scalaires ont été vues de nombreuses fois sur les océans, particulièrement sur le nord Pacifique par des avions de ligne allant ou venant du Japon. (Rappelez-vous il y a quelques mois la grande histoire du vol JAL dans lequel tous les passagers et l’équipage ont vu un «OVNI » sphérique géant.) De tels globes et dômes de lumières ont été vus également bien à l’intérieur de l’Union Soviétique, par des observateurs en Afghanistan et par des pilotes d’avion atterrissant en Iran.

    Dans le mode exothermique impulsif, un grand flash visible peut avoir lieu si l’énergie EM est produite dans le spectre visible. Des flashes dans l’infrarouge peuvent également avoir lieu si l’énergie émergente est dans cette bande spectrale. En septembre 1979 nos satellites Vela ont détecté un tel grand « flash nucléaire » sur l’Atlantique Sud, au large des côtes du sud de L’Afrique, un second  « flash nucléaire » a été détecté par les satellites Vela en 1980 lequel était dans l’infrarouge uniquement. Il y a quelques années, une série de « flashes » et « boums » anormaux ont eu lieu au large de la côte est des Etats Unis, ils étaient dus à l’orientation, alignement et enregistrement, d’un ou plusieurs « obusiers scalaires » -- des interféromètres EM scalaires dans le mode exothermique.

    De grands « boums » ont eu lieu sur le site de lancement de la navette à Cap Canaveral, associés avec trois lancements de navettes avant la fin novembre 1985.
    C’étaient les essais  de ces obusiers EM scalaires exothermiques, qui étaient en train d’être testés en tant que système ABM en phase de lancement soviétique, dans ce mode, les pulsations scalaires des deux émetteurs sont injectées dans des « canaux » EM scalaires référence-zéro spéciaux lesquels sont établis dans les transporteurs EM des radars au-delà-de-l’horizon de Woodpecker (Pivert). Les pulsations scalaires voyagent par ces canaux, voyageant dans le rayon EM ordinaire de l’émetteur et le suivant dans sa courbure autour de la Terre dans le guide d’ondes ionosphérique terrestre. Les pulsations scalaires sont prévues, mises en phase, et orientées afin de rencontrer la navette s’élevant. Dans ces tests les émissions étaient décalées dans le temps afin que la navette ne soit pas détruite en fait, mais le système pouvait être testé contre des lancements réels de navettes aux U.S.
    Les utilisations spécifiques de ces différents modes exothermiques seront abordées dans des sections ultérieures de ce dossier.

    Dans le mode endothermique, le réglage de l’émetteur est tel qu’une énergie est extraite de la zone d’intersection distante, pour ré-émerger de l’émetteur, là l’énergie doit être capturée et déployée pour ne pas griller les émetteurs. Lorsque de très grandes quantités d’énergies sont extraites de zones distantes, les Soviétiques utilisent souvent une méthode « dépôt » de capture et stockage temporaire dans un accumulateur, l’énergie calorifique émergeant des émetteurs, un second obusier en mode exothermique est alors alimenté par une « vanne d’énergie scalaire » établie dans l’accumulateur. Cet obusier est focalisé sur le site dépôt distant – souvent Bennet Island, où des échappements sont continuellement observés par des satellites météorologiques américains.

    Dans le mode endothermique impulsif, l’énergie est extraite impulsivement de la zone d’intersection distante, le résultat dans l’atmosphère est un refroidissement très pointu ou « explosion froide », il en résulte aussi un type de boum et de grondement souvent associé au tonnerre après l’éclair de la foudre.

    Le 9 avril 1984 l’Union Soviétique a testé une telle « explosion froide » au large des côtes du Japon, près des îles Kuril, la « zone froide » a soudainement induit une basse pression, l’eau océanique a été brusquement absorbée de l’océan formant un nuage dense. Puis l’air s’est précipité dans la zone de basse pression et a forcé le nuage a s’élever en formant un champignon tout comme dans une explosion atomique excepté l’absence d’un flash et l’absence d’onde de choc se répandant depuis le centre de l’explosion.

    Lorsque le nuage s’élève, il augmente de volume par mixage – de la même façon qu’un cumulonimbus se développe, sauf qu’il est beaucoup plus rapide, dans ce cas le nuage s’est élevé à approximativement  18000 mètres en 2 minutes environ, en gonflant jusqu’à atteindre un diamètre d’environ 300 kilomètres. L’incident a été vu par les pilotes et les équipages de plusieurs Boeing 747, des avions de lignes qui voyageaient dans le voisinage. Quelques temps après, une photo du secteur est arrivée, prise par un satellite météorologique américain, le nuage dans cette photo avait une distribution de densité anormale, différente de celle de tous les autres nuages dans cette zone.

    Le « grand oeil » de Tesla pour la vision à distance

    Nikola Tesla a conçu une utilisation très spéciale pour son interféromètre scalaire endothermique, il l’a conçue pour produire son « grand œil pour voir à distance ».
    Le système utilisé pour réaliser cela est juste légèrement endothermique, de manière que seule une petite quantité d’énergie est extraite de la cible distante, au fur et à mesure un receveur ouvert « scanne » les rayons, temporellement, d’un côté à l’autre et de haut en bas. En scannant un autre rayon traversant la zone d’intersection, ayant des pulsations en phases, une représentation encore meilleure peut être obtenue. Finalement le receveur génère une représentation de l’énergie qui a été extraite de différents endroits de la zone endothermique distante, en affichant les signaux reçus sur un écran de scanner approprié, une représentation de la scène distante peut être créée. C’est un genre particulier « d’interféromètre micro-ondes », et – avec les techniques modernes – les images obtenues peuvent être étonnamment bonnes.
    Avec le développement, cela pourrait même devenir aussi bon que les images obtenues par les radars d’acquisitions en vue de côté.
    Il est assez intéressant de noter que, puisque les rayons scalaires pénètreront assez facilement sous la surface de la terre et des océans, on peut aussi regarder sous la surface de la terre et des océans avec ce type de scanner par interférométrie scalaire.

    L’importance de cette capacité de reconnaissance stratégique et tactique est évidente. Camouflage, couverture  et dissimulation n’ont plus aucun effet face à un tel système. On peut facilement observer l’intérieur des bâtiments et dans les équipements souterrains. Avec un petit système comme celui-là, les fusiliers marins américains à Khe Sahn n’auraient pas eu de grandes difficultés à situer les tunnels qui étaient creusés en permanence sous le périmètre par le Viet Cong, et les cibles sous les cahutes de la jungle sont directement visibles.

    Il est aisé d’imaginer que ce système est facilement adaptable à l’utilisation sous-marine. Un type de radar « sous-marin ».
    Avec un tel dispositif, le problème posé par les sous-marins nucléaires en plongée est résolu. Par exemple, une zone entière peut être continuellement fouillée, exactement comme des systèmes de radars d’acquisitions le font maintenant. Un sous-marin peut être détecté et suivi à la trace alors qu’aucun de ses détecteurs ordinaires ne détectera quelque chose de particulier. En utilisant une paire séparée de rayons dans le mode exothermique, de puissantes pulsations scalaires peuvent être envoyées au sous-marin, s’inter-croisant au niveau du sous-marin dans un violent effet EMP partout dans le sous-marin et son armement. Ainsi le sous-marin et tous ses missiles sont détruits instantanément.

    Ou bien, une transmission exothermique continue peut être employée par l’arme de visée à un niveau de puissance moindre, interférant progressivement avec les systèmes électriques du sous-marin et provoquant une perte de contrôle. Le sous-marin coule alors, puis est écrasé par la pression des profondeurs et implose.

    C’est précisément ce scénario qui semble être arrivé au sous-marin nucléaire américain Thresher. Il a laissé une signature : le sous-marin compagnon qui croisait dans son voisinage en surface, l’U.S.S. Skylark, était dans une « zone éclaboussée » par l’interférence scalaire sous-marine.
    C’est-à-dire qu’un bruit EM parasite a été généré dans tous les systèmes électriques du Skylark, dont certains ont été en fait mis hors service. Le « blocage électronique » était si intense qu’il a fallu plus d’une heure et demi au Skylark pour transmettre un message de secours au quartier général que le Thresher  avait un grave problème et que son contact avait été perdu. Certains des systèmes de communications du Skylark était en fait hors d’usage, mais sont redevenus fonctionnels plus tard de manière inexplicable, une fois que le blocage avait disparu. Ce type de « blocage » de bandes multiples et d’équipements électroniques multiples, tout comme le fonctionnement anormal de l’équipement électronique et son rétablissement mystérieux ultérieur, étaient les signatures directes de l’interférométrie scalaire contre la cible sous-marine dans le voisinage du Skylark.
    Le jour suivant, le 11 avril 1963, le même système d’obusier EM scalaire soviétique a été testé dans le mode pulsé « destruction de sous-marin ». Une énorme détonation EM sous-marine a eu lieu au large de la côte de Porto Rico, à environ 160 kilomètres au nord de l’île, l’explosion sous-marine a provoqué un énorme bouillonnement de la surface de l’océan, suivi par l’élévation d’un champignon géant d’eau d’environ quatre cent mètres de hauteur, le champignon d’eau est ensuite retombé dans l’océan, achevant la signature.

    Par chance tout l’incident a été observé par l’équipage effrayé d’un jet de ligne américain qui était en train d’effectuer son contrôle de position dans ce secteur. (Voir J. Durant, “An underwater explosion – or what?”, Pursuit, 5(2), Avril 1972, p. 30-31.)

    Ces deux incidents étaient des tests opérationnels en mode réel des superarmes nouvellement déployées de Khrouchtchev, il a probablement organisé ce coup de poing spectaculaire dans un effort désespéré de retrouver un prestige devant le parti communiste après sa désastreuse déconvenue face à Kennedy dans la crise des missiles cubains quelques mois auparavant seulement. Apparemment la tentative fut couronnée de succès, puisqu’il est resté au pouvoir encore un an avant d’en être écarté.

    Nuage en forme de champignon au large du Japon près de la zone de test Russe

    Ce qui suit concerne « l’explosion froide » du 9 avril 1984. Le site de l’explosion était seulement à environ 320 kilomètres du centre ville de Tokyo, il a été vu par les équipages de plusieurs avions de ligne, dont le vol 36 de la Japan Air Lines.

    Peu de temps auparavant les Soviétiques avaient annoncé à la hâte que des essais de missiles seraient menés dans une zone peu distante de l’ancien site d’explosion. Cela a pu être une tromperie pour couvrir cet incident, n’importe quelle nation dirait qu’elle savait ce qui était en train de se passer.

    C’était également un « stimulus » direct aux Japonais et au reste du monde. C’est-à-dire stimuler le système et voir si les scientifiques reconnaissent ce qui s’est passé. Si c’est le cas, alors ils connaissent les armes scalaires. Si ce n’est pas le cas, alors ces pays ne savent rien des armes EM scalaires, et ces pays sont sans défenses contre eux.
    Quoi qu’il en soit, vers 5 heures 14 minutes, temps standard du pacifique, le 9 avril 1984, un nuage géant en forme de champignon a surgit au dessus de l’océan au sud des îles Kuril. Le champignon s’est élevé rapidement, montant à une altitude de 18000 mètres et atteignant un diamètre de 320 kilomètres en 2 minutes.
    Un pilote de Boeing 747 qui a observé le nuage, était un ancien pilote de bombardier B-52. Il a décrit le nuage comme étant très similaire à celui d’une gigantesque explosion nucléaire, excepté qu’il n’y avait aucun flash de lumière visible. Optant pour une action d’évasion, il a dévié sa trajectoire pour s’éloigner de l’explosion, et il s’est préparé à encaisser le choc de la détonation qui n’est jamais venu...

    Un nuage en forme de champignon s’élevant de la mer (explosion froide)

    En effet, ce nuage fortement anormal était dû à une explosion froide – un test d’un obusier EM scalaire soviétique en mode endothermique pulsé. Ainsi un test et un beau « stimulus » ont été mené : seuls quelques avions de lignes ont été «alarmés», fournissant un stimulus de haut-niveau aux observateurs compétents. Il était certain que les informations soient rapportés de cette manière à différentes nations, il était certain que la presse s’empare de l’histoire, c’était un stimulus de niveau élevé pour voir si les Etats Unis, le Japon, ou d’autres adversaires potentiels de l’Union Soviétique reconnaissaient l’essai d’une arme à explosion froide.
    Par notre réaction nous les avons assurés (avec un indice de confiance élevé) que nous ne savions encore rien de l’interférométrie EM scalaire ou des explosions froides.
    Cinq Boeing 747 en route pour Anchorage en Alaska, ont volé au travers et à proximité du nuage, les avions ont été contrôlés à Anchorage pour la contamination radioactive, mais rien n’a été trouvé, cela démontrait que l’énorme explosion était non-nucléaire.
    La profondeur de l’océan dans cette zone est d’environ 6300 mètres, c’est en fait trop profond pour qu’un volcan sous-marin ait explosé et provoqué le nuage. (En plus un volcan aurait continué à renifler au moins un peu, ce qui élimine cette explication de l’incident.) Bref, un phénomène fabriqué par l’homme a tout lieu d’être.

    En conséquence, nous savons que c’était une explosion froide, en fait, l’effet de base a été reproduit en laboratoire sur une bassine d’eau, en utilisant un petit interféromètre scalaire dans le mode endothermique. Mais l’histoire ne s’est pas arrêtée là.

    Un géophysicien de l’université d’Hawaï, le Dr Daniel A. Walker, avec ses collègues, contrôlait un ensemble d’hydrophones sur le fond de l’océan, enregistrant les signaux tels que évènements sismiques, éruptions de volcan, etc.

    Le Docteur Walker et ses collègues ont effectué une analyse complète des données enregistrées par les hydrophones durant et aux alentours du moment de l’incident en question, les données montrent l’absence d’un quelconque séisme naturel ou évènement volcanique qui aurait pu provoquer le phénomène du 9 avril au large des côtes du Japon.
    Lui et ses collègues ont conclu que c’était soit un phénomène naturel inconnu, soit un phénomène d’origine humaine.
    Leur rapport est publié dans « Science ». (Dr Walker, « Kaitoku Seamount and the Mystery Cloud of 9 April 1984,” Science, 227 (4687), Feb. 8, 1985, p. 607-611.)

    Le bouclier Tesla

    L’obus hémisphérique d’énergie qui, il y a quelques années a été surnommé le « Bouclier Tesla », présente un intérêt particulier.

    Deux surfaces hémisphériques scalaires sont créées en utilisant des émetteurs à fréquences multiples et des expansions de séries de Fourier tronquées. L’interférence des deux hémisphères scalaires crée un grand obus hémisphérique lumineux d’énergie électromagnétique ordinaire, dans l’obus la densité d’énergie est suffisante pour soulever le problème de Dirac de la mer de vide de Dirac, l’obus est ainsi rempli d’un plasma rayonnant.

    Une telle coquille peut avoir plusieurs centaines de kilomètres de diamètre à la base. L’énorme énergie nécessaire pour former un tel bouclier de défense est obtenue par une « vanne d’énergie scalaire » dans le noyau en fusion de la Terre elle même comme cela a été expliqué précédemment. Fin avril début mai 1985, 27 de ces « vannes d’énergies » ont été placées dans la Terre par les Soviétiques, si chaque vanne est capable d’actionner 4 à 6 grandes armes EM scalaires, alors l’arsenal stratégique EM scalaire soviétique contient plus de 100 monstrueuses superarmes capables de produire des explosions exothermiques, des explosions endothermiques, de manipuler le climat, de localiser et détruire des sous-marins en plongée, de détecter et détruire des missiles balistiques très rapidement après le décollage, de détecter et détruire des bombardiers stratégiques à long rayons d’action aussitôt qu’ils sont en vol, etc.

    En tous cas, le bouclier géant de Tesla est utile contre n’importe quel véhicule essayant de pénétrer, si l’obus n’est pas si grand, sa densité d’énergie peut être très haute, dans ce cas, le chauffage intense du plasma fusionnera et vaporisera même des corps métalliques. De plus, n’importe quel véhicule rencontrant la coquille est soumis à un effet EMP extrêmement intense se générant partout à l’intérieur de ses circuits. Un blindage EMP est inefficace contre la création d’énergie à travers l’espace-temps de ses circuits ; un tel blindage protégera seulement contre un flux d’énergie circulant dans l’espace d’une manière conventionnelle.

    Donc l’électronique de n’importe quel véhicule rencontrant le bouclier est instantanément dégradé, qu’il soit ou non blindé contre les interférences électromagnétiques ordinaires (EMI). Cela inclut les systèmes électroniques des ogives nucléaires portées par un véhicule de rentrée, électriquement tout ce qui ce qui pénètre la coquille est totalement dégradé , ensuite les matériaux explosifs sautent quand un tel effet EMP est rencontré, et les matériaux combustibles se consument rapidement ou sont mis à feu. La protection d’ablatif subit une catastrophe intéressante, puisque l’énergie n’essaye pas de s’immiscer dans la protection mais y surgit partout simultanément, l’ablation a lieu partout à l’intérieur du matériau ablatif et le fait simplement exploser instantanément. De plus, pour les boucliers Tesla plus petits (disons de 80 kilomètres de diamètre) la densité d’énergie est suffisante pour fondre ou vaporiser les métaux tels que les structures de missiles.

    Avec un tel bouclier Tesla, il n’y a aucun besoin de distinguer les véhicules de rentrée portant de vraies ogives des leurres, balles, etc. Tout le « désordre » entrant dans le bouclier est simplement « nettoyé » et « stérilisé » ou détruit. Le bouclier peut s’occuper des ICBM/IRBM et leurs têtes nucléaires, des bombardiers stratégiques et leurs bombes nucléaires, des véhicules de rentrées et leurs ogives, des leurres, des balles, etc.

    Direction Saryshagan – septembre 1979

    Le journal “London Sunday Times” du 17 août 1980 contenait une information et une photo-croquis d’incidents dénotant les essais de très grands globes Tesla bien à l’intérieur de l’Union Soviétique, les observations ont été faites en Afghanistan par Nick Downie un caméraman de guerre britannique. Les phénomènes aperçus étaient dans la direction de la zone d’essais de missile de Saryshagan qui -- selon le Département de la Défense Américaine « la puissance militaire soviétique », 1986 – contient une ou plusieurs grandes armes à énergie dirigée (DEW).

    Bien que Downie voyait le globe de lumière depuis une grande distance, il s’est enflammé silencieusement sur l’Hindu Kush et s’est élargi jusqu’à sous-tendre un arc d’environ 20 degrés, s’atténuant au fur et à mesure de son extension. (Un arc de 20 degrés sous-tendu par un objet distant de plusieurs centaines de kilomètres indique un diamètre d’objet bien supérieur à 100 kilomètres, cela donne une certaine idée des énergies énormes qui sont contrôlées et manipulées par ces armes soviétiques.)
    Downie a vu le phénomène en plusieurs occasions en septembre 1979.

    En décembre 1979, un globe lumineux stationnaire contenant une raie noire verticale au centre a été vu dans le ciel de la côte de St. Petersburg en Floride, ce type particulier d’observation dans cette zone a été auparavant relié avec les périodes d’activités connues à Saryshagan. Plus tard, dans le même mois, les satellites américains Vela d’alerte nucléaire ont détecté un « flash nucléaire » sur l’Atlantique sud, au large de la côte d’Afrique. La controverse a fait rage jusqu’à nos jours dans les services de renseignements américains et dans les cercles scientifiques, à savoir si c’était une explosion nucléaire ou une autre sorte de mécanisme qui a produit le flash. En effet, le flash peut avoir été produit par un obusier EM scalaire depuis Saryshagan comme une « sonnette » de plus envers le système des services de renseignements américains, pour vérifier s’ils connaissaient quelque chose ou non à propos des obusiers EM scalaires, de nouveau la réponse négative leur a dit avec un grand indice de confiance que (1) Nous ne connaissions pas encore les « trucs » EM scalaires, et (2) Nous étions toujours totalement sans défense contre l’armement EM scalaire soviétique. En tous cas, selon les observations de Downie, il est fortement probable que l’armement DEW de la zone d’essais de missiles de Saryshagan était actif en septembre 1979, et qu’il produisait les grands globes Tesla, si les DEW à Saryshagan peuvent produire les immenses globes Tesla lumineux, ce sont presque certainement des interféromètres EM scalaires et peuvent alors également produire les boucliers Tesla géants. Downie a rapporté d’autres observations de phénomènes similaires, faites précédemment par les Afghans, au loin à l’intérieur de l’Union soviétique dans la même direction vers Saryshagan...

    Brièvement, abordons les utilisations d’un tel globe géant ou d’une coquille sphérique d’énergie EM et de plasma lumineux. En plaçant un tel globe géant à des centaines de kilomètres de distance du centre défendu, un arc entier du ciel peut être défendu contre l’attaque de missiles balistiques à longues portées, en plein milieu de leurs trajectoires, les missiles attaquants devront pénétrer deux fois la coquille globulaire, s’exposant deux fois aux puissants effets EMP internes. Il existe donc une très forte probabilité que tous les missiles traversant l’espace occupé par le globe sont mis hors service à l’entrée et/ou à la sortie, cela inclut les systèmes électroniques dans les ogives nucléaires elle-mêmes. Cela est donc particulièrement efficace contre les porteurs de missiles MIR V et MAR V puisque les multiples véhicules de rentrée sont normalement encore sur le véhicule principal durant la plus grande partie de la course, l’utilisation de ce globe de défense d’ABM en pleine course réduit fortement le nombre de véhicules arrivant à la dernière partie de leurs courses et à la phase terminale de leurs trajectoires.
    En utilisant un globe plus petit et plus intense, et en le plaçant à l’encontre d’objets isolés ou de groupes d’objets entrants, l’effet EMP et l’échauffement local agissent contre ces objets, cela est approprié dans la dernière partie de leurs courses et dans la phase terminale des ICBM, IRBM, SLBM et missiles de croisières. Il est également utile contre les bombardiers stratégiques entrants et leurs missiles air-sol balistiques ou de croisières.
    Deux modes peuvent être utilisés pour les globes – spécialement pour les petits – en premier le mode continu peut être utilisé pour « frire » ou vaporiser les objets entrants dans un volume relativement petit (disons 15 à 25 kilomètres de diamètre). En second, le mode « pulsé » peut être utilisé pour « assurer » tous les objets entrants, qu’ils aient ou non traversé la défense de pleine course « grand globe », cela fournit une garantie complémentaire de tuer les objets ; la discrimination n’est pas nécessaire, simplement de tous les avoir. L’exposition de tous les objets entrants aux attaques multiples élève la probabilité de destruction à quasiment 100%, ou bien d’être proche de ce que l’on souhaite, bien sûr le véhicule arrivant peut encore rencontrer une défense terminale consistant en un bouclier Tesla associé à des petits globes intenses mobiles à déploiement rapide.

    En bref, avec ces systèmes, une défense anti-bombe et anti-ABM est possible quasiment à 100%, par la suite, les Soviétiques ont possédé une telle défense effective durant deux décennies, tout comme ils l’ont ouvertement exposé depuis 1960 lorsque Khrouchtchev a annoncé ses « superarmes » !!

    Le globe EMP Tesla continu

    Voici un autre incident vérifié d’un essai gigantesque d’un obusier EM scalaire soviétique à l’intérieur de l’Union Soviétique. C’est un rapport de la C.I.A. sorti sous le Décret de la Liberté d’information. On peut être tout à fait certain que l’incident a eu lieu comme il est exposé. Le phénomène a été vu depuis deux avions approchant l’aéroport de Méhrabad à Téhéran en Iran le 17 juin 1966 et rapporté par leurs pilotes. Sur l’horizon lointain à l’intérieur de l’Union Soviétique, une intense boule de lumière sphérique est apparue, « assise sur l’horizon » pour ainsi dire. Le globe de lumière a augmenté jusqu’à une taille énorme, s’atténuant au fur et à mesure, remplissant littéralement un arc du ciel éloigné quand il s’est agrandi, le phénomène a été protégé de la vue de la plupart des observateurs au sol à l’aéroport lui-même à cause d’une chaîne de montagne qui s’intercalait et qui masquait la plupart du phénomène depuis le sol. Le globe en expansion silencieuse a été observé durant quatre à cinq minutes avant qu’il ne disparaisse. De nouveau c’est une preuve positive du test d’un interféromètre scalaire géant, dans le type d’action « globe ABM en milieu de course ».

    Cependant notez la date – le milieu de 1966 ! Les Soviétiques ont donc testé de telles armes scalaires de tailles et puissances énormes pendant au moins deux décennies, cela implique que le développement doit avoir commencé au moins une décennie plus tôt, soit au milieu des années 50.

     Précédemment encore, en janvier 1960 Nikita Khrouchtchev avait annoncé le développement d’une « fantastique » arme soviétique, laquelle pourrait même détruire toute vie sur Terre si l’usage n’en était pas restreint. En 1962 le bouillant Khrouchtchev a été obligé de céder et de baisser le ton avant John Kennedy, dans la crise des missiles cubains. Les missiles et bombardiers de Khrouchtchev étaient en piteux états, comme le savait bien Kennedy (par la courtoisie de l’espion russe, le colonel Oleg Penkovsky). Kennedy ne savait pas que les nouvelles superarmes de Khrouchtchev s’approchaient de leur déploiement, mais n’étaient pas tout à fait prête encore. Pour sauver la face et empêcher sa mise à l’écart immédiate, Khrouchtchev a apparemment effectué une double frappe en conduisant une démonstration ahurissante de ces nouvelles armes dès qu’elles sont devenues prêtes opérationnellement. Le 10 avril 1963 il a détecté et détruit le sous-marin nucléaire américain Thresher en utilisant un obusier EM scalaire en mode « continu » immergé dans l’eau. Le jour suivant il a démontré le mode destruction sous-marine « pulsé » pour les sous-marin en plongée en produisant une explosion sous marine géante à 160 kilomètres au nord de Porto Rico. Ironiquement, alors l’Atlantique était très fréquenté par les navires de la marine américaine qui effectuaient des recherches suite à la disparition du Thresher, un second test des armes qui ont anéanti le sous-marin, a eu lieu au sud d’eux, inaperçu et méconnu, bien que vu et annoncé au F.B.I. et aux Gardes Côtes américains par un pilote et un équipage d’un avion de ligne américain, qui ont observé l’explosion sous-marine.
    Nous pouvons donc cerner le développement de ces armes par les Soviétiques comme commençant bien avant 1960, le premier déploiement opérationnel de cet armement stratégique gigantesque a eu lieu au début de 1963. Remarquez que le test de 1966 observé ici est complètement compatible avec ce calendrier de développement estimé. Ainsi les grandes armes EM scalaires soviétiques ont été opérationnelles sur le terrain pendant 24 ANS !!! Cela implique qu’au moins trois générations complémentaires d’armes EM scalaires ont été développées et déployées à ce jour...

    Mystérieuses lumières sur le Pacifique nord

    Des incidents de tests soviétiques des armes globe Tesla et bouclier Tesla sont observés de manière routinière par des pilotes de ligne survolant le Pacifique nord en provenance du Japon ou y allant.
    En voici un exemple typique. Deux avions de ligne, les vols 403 et 421 de la Japan Air Lines, ont observé et rapporté un grand globe de lumière rayonnante posé juste au delà de l’horizon et s’étendant bien au-dessus de celui-ci. L’avion était aux environs de 42 degrés nord et 153 degrés de longitude à ce moment, l’observation était donc à environ 1100 kilomètres à l’est de Kushiro. Le diamètre de la boule a été estimé à au moins 18-27 kilomètres par les pilotes, selon la distance réelle de la sphère elle peut avoir été beaucoup plus grande. Cet incident a été rapporté dans le journal de Tokio « Asahi Evening News » le 22 juin 1982.
    De nombreuses observations similaires ont été rapportées par des pilotes d’avions de lignes survolant ces eaux.

    Une sphère blanche vue dans l’Atlantique nord en 1976

    Voici une autre observation plus proche de chez nous. Cet incident a été observé depuis un navire de passage le 22 juin 1976 dans l’Atlantique nord, dans la fourchette 21h13mn – 21h40mn, il a été rapporté dans le « Marine Observer » Vol.47, 1977, p.66.

    D’abord une lueur orange a été observée derrière des nuages éloignés, quelques minutes plus tard une sphère de lumière blanche lumineuse a été observée à gauche de la lueur orange, juste au-dessus des nuages, la sphère blanche s’est lentement agrandie jusqu’à devenir une sphère beaucoup plus grande, s’affaiblissant au fur et à mesure de sa croissance. A sa taille maximum le sommet de la sphère blanche a atteint un angle d’élévation par rapport à l’observateur d’environ 24 degrés et 30 minutes, le développement pour atteindre sa taille maximum a duré environ dix minutes. A 24h40mn la sphère  avait faibli et a disparu, la sphère était suffisamment ténue que les étoiles pouvaient être vues au travers à tout moment. De nouveau cet incident se conforme fortement au mode grand globe Tesla de l’interféromètre EM scalaire soviétique.

    La signification et le rôle de la lueur orange ne sont pas connus pour le moment.

    Boule de feu Tesla continue

    Voici un autre incident qui constitue un stimulus au gouvernement britannique, afin de voir si les Britanniques sont conscients de l’électromagnétisme scalaire. De nouveau c’est un rapport de la C.I.A. déclassiffié sous le décret de la Liberté d’Information, donc les détails sont fiables. Le 10 septembre 1976 le vol 831 de la British European Airways, reliant Moscou et Londres et volant au-dessus de la Lithuanie à ce moment-là, a observé une boule intense de lumière au-dessus des nuages sous l’avion, la lumière était si intense qu’elle a éclairé le ciel dans tout le voisinage.
    Le pilote concerné a rapporté l’objet lumineux aux autorités soviétiques au sol avec qui il était en contact, il a reçu des instructions sévères d’ignorer la lumière, et de continuer strictement son chemin pour sortir de là.
    Ici nous voyons un incident impliquant un intense petit globe Tesla du genre avec lequel la défense pourrait « assurer » les objets, qui auraient déjà pénétré en pleine course un grand globe, ou les avions approchant la zone défendue.
    Evidemment les Pouvoirs soviétiques suivaient l’avion à la trace et savaient qu’il était dans le voisinage, cela semble logique, alors qu’ils ont placé délibérément la boule fortement lumineuse sous l’avion afin que le pilote et l’équipage ne puissent pas ne pas la voir.
    L’étrange message au pilote a été simplement prévu pour accroître l’intensité du stimulus, le stimulus devait être quelque chose comme, « Les Soviétiques font quelque chose dans la recherche et le développement qui leurs permet de créer à distance d’intenses boules lumineuses, et de placer ces objets dans l’air dans le voisinage de l’avion, ou l’englobant, probablement pour l’intercepter ». Le but bien sûr était d’observer la réaction du gouvernement britannique après que le pilote ait rapporté l’incident à son arrivée à Londres.
    De nouveau la réaction des Britanniques – et celle des Etats Unis également – a été comme prévue, de nouveau nous avons montré que nous ne savions rien des armes électromagnétiques scalaires, et nous n’en avons pas reconnue une lorsque nous avons rencontré ses effets.

    Système ABM terminal

    Des choses très propres peuvent être faites si on « niche » plusieurs boucliers Tesla – disons trois ou quatre – concentriquement, l’un à l’intérieur de l’autre, dans ce cas même les radiations nucléaires (tels que les rayons gamma) issus d’une explosion nucléaire en haute altitude d’une défense-suppression peuvent être traités. Par exemple, supposez que trois de ces boucliers soient placés sur un grand secteur vital, ensuite, supposez qu’une explosion nucléaire de haute altitude ait lieu au-dessus du bouclier externe. La radiation gamma frappe presque instantanément le plasma dans la coquille externe, où elle est absorbée, dispersée et ré-émise à une température plus basse. (C’est après tout ce que le plasma fait.) A l’intérieur de la première coquille, la radiation dispersée est maintenant dans la gamme des rayons-X et ultra-violet. Suivons à la trace le composant le plus mortel, les rayons-X.
    Les rayons-X dispersés frappent ensuite la seconde coquille de plasma, et sont absorbés, dispersés et ré-émis à une température plus basse ; à l’intérieur de la seconde coquille la radiation dispersée est maintenant dans le domaine du visible et de l’infrarouge, avec un peu d’ultraviolet.
    Cette radiation optique frappe à son tour la troisième coquille de plasma, et est absorbée, dispersée et ré-émise à une température encore plus basse ; à l’intérieur de la troisième coquille, la majeure partie de l’énergie est maintenant dans la gamme des fréquences radio (RF), avec un petit contenu d’énergie dans les bandes spectrales du visible et de l’infrarouge.
    A ce point, la protection des interférences électromagnétique ordinaire (EMI) des équipements électroniques au sol à l’intérieur du troisième bouclier peut gérer n’importe quelle interférence résultant du bruit RF émergent.
    Comme on peut le voir, trois obus sont suffisants pour convertir le rayonnement gamma et X (et ultraviolet et infrarouge) principalement en énergie RF inoffensive avant que les trois coquilles ne soient pénétrées, donc la tactique de suppression délibérée de la défense par une explosion nucléaire préliminaire en haute altitude peut être contrée par des boucliers Tesla multiples.
    De plus, bien sûr, n’importe quels véhicules ordinaires pénétrant les trois boucliers sont exposés aux violents effets EMP successifs et sont presque certainement détruits électriquement. Les véhicules sont aussi soumis aux multiples périodes d’échauffement intense, donc combustibles, carburants, explosifs et ablatifs sont détruits, de plus, les structures métalliques peuvent être fondues ou vaporisées.
    Vu de cette manière : tout ce qui frappe un de ces boucliers Tesla part en pfffuuuit ! Exactement comme une mouche frappant la grille écran électrisée d’un destructeur d’insecte.
    Pendant des années des navires ont observé et rapporté de tels « phénomènes lumineux » de boucliers multiples au-dessus de régions éloignées de l’océan. Les services de renseignements américains, par routine, n’ont pas pris garde aux « lumières dans la nuit » sur les zones éloignées de l’océan, et donc de cette manière les tests soviétiques sont passés relativement inaperçus par la bureaucratie...

    Les rayons de Pivert se croisent au-dessus de l’Amérique du Nord

    En juillet 1976 les Etats Unis ont reçu des salutations très spéciales pour leur Bicentenaire de la part de l’union Soviétique. A ce moment, les systèmes de communications du monde dans la bande de 3 à 30 mégahertz ont soudainement rencontré une interférence substantielle en provenance d’émetteurs soviétiques extrêmement puissants qui ont été soudainement activés. Ces émetteurs continuent leurs émissions à ce jour. Les estimations de la puissance de ces émetteurs varient, mais l’échelle des valeurs s’élève à plusieurs centaines de mégawatts, avec une puissance nominal de 100 mégawatts.
    Ces puissants émetteurs ont été surnommés bien à propos les « Piverts » à cause du son caractéristique de la modulation du signal à la réception, c’est-à-dire que le signal reçu fait le son du « picotage »  très semblable à un Pivert frappant un morceau de bois de son bec.

    Plusieurs nations ont protesté, mais les puissants signaux ont continué jusqu’à ce jour, la seule réponse soviétique a été d’ajouter un système « spectre de diffusion », afin que l’émetteur ne demeure pas trop longtemps sur une fréquence spécifique, mais permute périodiquement à d’autres fréquences.
    Ces émetteurs n’ont apparemment jamais été localisés précisément par l’Intelligence américaine, mais leurs rayons comportent de nombreuses caractéristiques du radar au-delà-de-l’horizon [OTH, over-the-horizon], ils ont été classés radars OTH par l’Intelligence américaine, et peuvent sans aucun doute effectuer cette mission et d’autres très intéressantes que les services de renseignements américains n’ont pas étudiées.
    Le « Soviet Military Power » du département de la défense (1985, p.45) montre l’intersection directe au-dessus des Etats Unis des rayons radar de Pivert utilisés dans un rôle OTH. De plus il est montré un rayon de « scanner » supplémentaire lequel peut scanné à travers la « grille » d’intersections au-dessus des Etats Unis, formée par l’interférence d’onde de forme des deux rayons Pivert principaux.
    D’abord, ils peuvent être employés dans un mode radar OTH conventionnel, puisque leurs rayons suivent le guide d’onde de l’ionosphère terrestre et se courbent autour de la Terre. Dans ce mode ils peuvent détecter les bombardiers et les missiles, que ce soit dans leur phase de lancement ou dans leur course.
    Ces armes à grilles d’interférences scalaires peuvent être employées pour attaquer biologiquement des populations entières dans un secteur ciblé, cet aspect n’est pas développé dans ce rapport, je me contenterais de dire que des signaux de modulation ELF (extrême basse fréquence) verrouillés en phase de 10 hertz et moins sont souvent détectés sur des fréquences Pivert multiples simultanément. Dans un secteur ciblé, cette modulation – qui est suffisamment plus forte que la résonance Schumann du champ magnétique terrestre – entraînera un certain pourcentage des cerveaux en « entraînement forcé ». Dans ce cas, ces cerveaux humains sont « synchronisés » aux signaux de Pivert afin que des fréquences cohérentes multiples soient verrouillées en phase en eux. C’est-à-dire que des canaux EM cohérents et multiples existent maintenant directement dans ces cerveaux entraînés. A ce point, des expansions de Fourier peuvent maintenant être employés pour attaquer géométriquement des zones spécifiques du  cerveau. De plus, toujours avec les expansions de Fourier des patterns EM scalaires de maladies peuvent être modulés sur les [ondes] porteuses. Des effets biologiques spécifiques peuvent être induits à volonté dans les populations entraînées, limités seulement par l’état de l’art de la technologie soviétique utilisée pour les attaquer. Les effets possibles inclut : morts instantanées, crises cardiaques, perturbations émotionnelles sévères, pertes de contrôles des fonctions internes, maladies, déficience du système immunitaire, et même implantations de pensées, d’émotions, et d’idées qui sont interprétées par les sujets comme étant les leurs.
    Alors que la discussion de ce domaine est au-delà de la portée de ma connaissance, les aspects biologiques des émetteurs Piverts sont horribles. Je me bornerais à dire que, dans des milliers d’expériences, Kaznacheyev a démontré que presque n’importe quel genre de pattern de maladie et de mort cellulaire pouvait être transmis électromagnétiquement. Kaznacheyev a rapporté l’effet dans le proche ultraviolet, des expérimentateurs à l’Université de Marburg en Allemagne de l’Ouest ont répété les expérimentations dans l’infrarouge.

    Le résultat est que les photons eux-mêmes peuvent transporter des modèles de maladies et de mort entre les cellules. La technologie EM scalaire permet la synthèse du pattern potentiel réel (qui après tout représente le contrôle total de charge et la distribution de charge, et de là, la biochimie dans la cellule) d’une maladie particulière ou d’un mécanisme mortel. Les                                                              et d’autres mécanismes ont été induits par les expérimentations de Kaznacheyev.

    Le Dr Popp d’Allemagne de l’Ouest a publié une analyse du système de contrôle maître photon virtuel des cellules. Puisque l’EM scalaire représente l’ordre délibéré du flux de particule virtuel dans des modèles déterminés, le système de contrôle maître peut aisément être pénétré avec des techniques scalaires pour induire maladies et désordres à volonté...


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    George Noory (GN) : Il est médecin et s’appelle Steven Greer, et il a lancé voilà pas mal de temps le "Disclosure Project" ("Projet Révélations"), un projet de recherche qui vise à divulguer tous les faits concernant les OVNIs, l’intelligence extraterrestre et également des systèmes de propulsion et de production énergie classifiés et novateurs. Il a consacré son temps et sa vie à ce projet. Dans un instant, le Dr. Steven Greer…

    GN : Le Dr. Steven Greer est le fondateur et directeur de "Space Energy Access System" ("Systèmes d’Accès à l’Energie du Vide") et également le fondateur et directeur du "Disclosure Project". Il est médecin urgentiste et ancien président du Département de Médecine des Urgences du "Caldwell Memorial Hospital". Il est membre à vie d’"Alpha Omega Alpha", la plus prestigieuse Société Honorifique de Médecine de notre pays. Il est apparu dans plusieurs émissions nationales, parmi lesquelles Coast to Coast, bien sûr, et aussi le "Larry King Show", sur CBS, la BBC et NTV au Japon. Le Dr. Greer supervise des recherches à l’échelle mondiale sur des sources d’énergie alternatives, particulièrement celle qu’on appelle l’énergie du point zéro, ou sur des dispositifs surunitaires, avec pour objectif de découvrir et de développer des systèmes qui mettront fin aux besoins en carburants fossiles, alors souhaitons qu’il y arrive. Nous allons parler de plusieurs choses ce soir avec le Dr. Greer - de son Disclosure Project, bien sûr, et évidemment de SeasPower.com, la société qu’il dirige. Alors bienvenue sur Coast to Coast. Steven, comment allez-vous, mon ami ? Content de parler à nouveau avec vous.

    Steven Greer (SG) : Heureux de vous entendre. Merci à vous, et content d’être là.

    GN : Je voudrais vous demander la chose suivante, Steven, si vous nous le permettez : revenons tout simplement en arrière, juste un petit instant.

    SG : Pas de problème.

    GN : Quand vous avez développé le Disclosure Project et que vous avez commencé à réunir les personnes et le puzzle pour au minimum essayer de pousser le gouvernement à nous révéler quelques informations supplémentaires, qu’est-ce qui s’est passé dans votre vie pour que vous fassiez ça ? Je veux dire, voilà, vous êtes docteur, docteur en médecine. Et tout à coup vous vous êtes impliqué dans ce projet. Que s’est-il passé ? Comment est-ce arrivé ?

    SG : Eh bien, ça a évolué sur de nombreuses années depuis mon enfance. En fait, quand j’avais huit ou neuf ans, j’ai vu un de ces OVNIs pas loin de là où j’étais - là où j’ai grandi, à Charlotte, en Caroline du Nord, et cela coïncidait avec la période où mon oncle, le frère le plus âgé de ma mère, était un des principaux ingénieurs du projet concernant le module lunaire. Il a participé à la conception du module lunaire qui a emmené Neil Armstrong sur la Lune. Alors quand j’étais jeune homme, je me suis bien sûr beaucoup mis à m’intéresser pas seulement à l’espace, mais à ces trucs peu communs que les gens appellent des OVNIs, et c’est devenu la passion de ma vie. En 1990, un certain nombre de choses sont arrivées à l’occasion desquelles j’ai à nouveau pu observer ces objets, et j’ai de nouveau commencé à me pencher là-dessus, et j’en ai conclu qu’ils étaient non seulement réels, ce que j’ai bien sûr toujours su, mais qu’il était pour nous temps de faire deux choses. D’une, nous avons démarré le "Center for the Study of Extraterrestrial Intelligence" (ou SCETI) (Centre d’Etude de l’Intelligence Extraterrestre), et un projet qui est le Disclosure Project, et nous avions deux objectifs. Le premier était d’aller commencer à voir partout dans le monde où ces objets étaient signalés, de tenter d’établir le contact avec eux ou de leur faire des signaux, et c’est ce que nous avons fait, et ça a très rapidement attiré l’attention de gens comme le chef du Renseignement Militaire et des amis du Président des Etats-Unis, et le directeur de la CIA et d’autres gens, parce que même si beaucoup de gens pensaient que tout ça était peu plausible, ce qui s’est passé, c’est que nous sommes au fond arrivés à découvrir un morceau de la Pierre de Rosette, si vous voulez, concernant la façon d’entrer en contact et de communiquer avec ces objets. Ainsi, de 1990 à 1993, quand nous avons lancé ce projet de contact et de recherche en temps réel à travers le monde, ça a eu pour résultat un réseau de personnes qui sont venues à nous en disant : "Vous êtes sur la bonne piste, mais en plus de ça, voilà ce qui a déjà été fait de manière ultrasecrète, en réalité des projets clandestins menés illégalement." J’ai d’abord cru que tout ça n’était pas vraiment plausible jusqu’à ce que ces quelques personnages en place de l’armée et de l’Etat en arrivent à être une douzaine, puis quarante et ensuite plus de cent en 2001, et environ 450 à 500 actuellement, et on continue à les identifier au fur et à mesure que les semaines se succèdent. De fait, je vais ce soir faire profiter vos auditeurs de nouvelles informations, issues de personnes qui viennent de cette industrie aérospatiale dont mon oncle a fait partie pendant toute sa carrière. Ainsi, petit à petit, pour ainsi dire de mes huit ans aux quarante neuf que j’ai aujourd’hui [tous deux rient], toute cette question est devenue quelque chose qui a suscité une vague d’intérêt passionné, au point que j’ai effectivement, et ce en 1993 et 94, tenu des réunions d’information pour le directeur de la CIA du Président Clinton et ses principaux collaborateurs, et pour les gens du Pentagone qui voulaient connaître un tas de ces projets qui avaient été menés et qui examinaient tout ce domaine des technologies aérospatiales et de dispositifs de propulsion et de production d’énergie novateurs, comme de l’étude d’engins extraterrestres (ou "ETVs" (pour "ExtraTerrestrial Vehicles"), en fait la façon dont ils les désignent dans ces cercles-là) sauf qu’un tas de gens, bien sûr, n’arrivaient à l’origine pas à y croire, et je n’y croyais à l’origine pas moi-même, que des types comme le directeur de la CIA se voyaient catégoriquement refuser l’accès à ce type de projets, et qu’ils étaient si cloisonnés et que c’était si tortueux et pour être plutôt franc, si mafieux et illégal dans la façon dont c’était mené, alors que des membres très importants de notre gouvernement se voyaient empêchés d’en avoir connaissance. On a ainsi eu un groupe de gens qui sont en quelque sorte devenus des conseillers et des informateurs ad hoc, si je puis dire, pour des gens du Congrès et du Sénat, et j’ai rencontré des gens de la Commission Sénatoriale des Renseignements et des gens qui - par exemple le chef de la "Defense Intelligence Agency" et le directeur des renseignements pour le chef d’état-major adjoint et un tas de cette autre sorte de postes clés. Ça a par conséquent vraiment été un processus très long, et on en est aujourd’hui au point que nous avons, au fond, tout simplement une énorme banque de données concernant des documents et des personnes en place - des dénonciateurs, si on peut les appeler comme ça.

    GN : Sans problème.

    SG : Et c’en est maintenant arrivé au point qu’il est possible d’identifier des sociétés spécifiques et des individus, et des institutions qui gèrent ces projets et qui sont, pour être plutôt franc, en train de conduire le Navire de l’Etat droit sur un iceberg et ce, de manière plutôt tragique. Par conséquent, vous savez, nous sommes en train d’essayer de détourner le Titanic de tout ça, mais il y a malheureusement des gens qui se sont arc-boutés sur la trajectoire que nous suivons actuellement, mais nous pourrons en dire plus là-dessus par la suite.

    GN : Avez-vous senti de la frustration chez certains de ces chefs de département, par exemple, Steven, à qui cet accès était refusé et pour lequel ils pensaient probablement qu’ils étaient habilités ? Je veux dire, est-ce qu’on les sentait frustrés ?

    SG : Eh bien évidemment, je veux dire que moi, spécialiste en traumatologie dans la trentaine, je suis là, assis avec un directeur de la CIA, un directeur de la CIA en exercice, qui est quasiment en larmes à la fin des trois heures de rencontre parce qu’il est en train de me dire : "Eh bien, nous, on aimerait bien que ces informations soient divulguées, et ça intéresse le Président, et ça nous intéresse aussi, mais comment pouvons-nous divulguer quelque chose à quoi nous n’avons pas accès ?". Vous voulez du "par exemple" ? A l’époque, en 1997, nous avons réuni un nombre assez important de membres du Congrès avec leurs principaux collaborateurs, et nous avons présenté environ une douzaine de ces témoins de l’armée et du renseignement que nous avions identifiés (et les gens peuvent aller sur notre site internet DisclosureProject.org pour voir une grande partie de ce témoignage et se le procurer), et ce qui s’est passé, c’est que j’ai fait une récapitulation le jour suivant cette même rencontre avec les gens du Congrès, et j’ai terminé en donnant des informations à un amiral qui était à la tête du poste J-2, responsable des chefs d’état-major pour le renseignement. Et avant la rencontre (et il s’agit-là d’un petit détail vraiment intéressant) j’avais donné à cet homme, par le biais de mes conseillers militaires et de nos contacts avec lui, des numéros et des noms de code de projets spécifiques qui étaient alors en rapport avec ce sujet (et nous les avons), et il les a évidemment notés et il a fait une enquête, pour effectivement tomber sur une de ces opérations fantômes et hypercloisonnées, et bien sûr, à ce moment-là, ils n’ont pas pu nier leur existence -

    GN : Précisément !

    SG : - et ils se sont tournés vers l’amiral en disant : "Eh bien, Monsieur, vous n’avez pas de Droit de Savoir." Et il a dit : "Comment ça, je n’ai pas de Droit de Savoir, je suis le chef des renseignements pour l’état-major !" Maintenant, je suis assis là, ça m’est directement rapporté par quelqu’un de ce niveau-là, et je suis assis au Pentagone. Pour être plutôt franc, ça a fait basculer mon existence et c’est extraordinaire, mais ce que ça m’a appris, c’est que les suppositions que les gens font quand ils disent que "le gouvernement" est en train de nous cacher ça, eh bien c’est tout simplement vrai qu’il y a ce qu’on pourrait appeler des cellules hautement classifiées et illégalement gérées, ou projets cloisonnés, qui sont en rapport avec tout ça. Mais 99 % des gens du Pentagone, de l’"Agence" ou de la NSA n’ont aucune connaissance de ce sujet et, de fait, je vous le dis franchement, ils sont plus probablement qu’autre chose en train d’écouter cette émission pour découvrir ce qui se passe. Et cela touche malheureusement tous les niveaux du bas en haut de l’échelle, jusqu’à celui de la Présidence et de membres clés du Congrès qui sont supposés être au courant. Maintenant, là où nous en sommes de cette histoire - et cela a bien sûr évolué des années 40 jusqu’à ce jour - c’est que les véritables actions sont autant à un niveau transnational qu’à celui de sociétés. Les principaux agissements se font dans des opérations se déroulant chez Lockheed et chez Northrop, des fournisseurs en rapport avec ces gros projets clandestins, la "Science Applications International Corporation" (SAIC) et des gens que je connais, qui sont dans leurs conseils d’Administration et qui sont impliqués dans ces projets. Il y a par conséquent de vastes opérations de plusieurs milliards de dollars liées à ce sujet mais elles sont très, très énigmatiques et très difficiles à démêler. En 1994, j’avais un entretien avec le sénateur Byrd qui représente la Virginie de l’Ouest et fait partie du conseil général, qui avait un droit d’accès ultrasecret et un pouvoir d’assignation à comparaître, et j’avais un entretien privé avec lui dans la salle de réunion de la Commission des Finances du Sénat et il m’a
    dit : "Vous voyez, ce sujet-là…" (Il savait que ça existait) m’a-t-il dit, "Même avec un droit d’accès ultrasecret et une assignation à comparaître, je n’ai pas été en mesure de le percer à jour." Il m’a dit - et ici, je le cite… Cet homme-là m’a dit : "Vous avez affaire à l’équipe de première division de tous ce qui est projet hyper secret. Bonne chance à vous." [Rires]… Et c’est de cette façon-là que l’entretien s’est terminé. Par conséquent c’était en janvier 94 ou février 94, alors ça fait déjà un moment et je peux dire à mon tour que ça a été pour moi une frustration, mais que ça a également plutôt éclairé ma lanterne sur la façon dont le pouvoir est exercé, qui le détient et à quel ordre du jour il obéit, et c’est vraiment de ça qu’il faut qu’on parle. A quel ordre du jour il obéit et comment les gens qui sont en train d’écouter cette émission vont-ils influer sur son issue ?

    GN : Exactement, et comment pouvons-nous le changer avant qu’il ne soit trop tard ? Vous savez, ces plus de quatre cents témoins du gouvernement, de l’armée et du renseignement qui vous ont continuellement permis d’obtenir des informations, mériteraient d’être des héros, j’imagine ? Vous ne pensez pas ?

    SG : C’est bien ce qu’ils sont, et je dis aux gens - s’ils vont sur notre site internet DisclosureProject.org, et qu’ils voient ces types… J’ai eu un réalisateur de film, une personne des média à Londres, qui m’a contacté la semaine dernière qui disait qu’il n’imaginait pas que ce genre de preuves et d’indices tangibles, et ce genre de témoignages dénonciateurs à la "deep throat" ("gorge profonde", référence au Watergate) existaient, et il était tout simplement totalement - eh bien, c’était un Britannique, alors il a dit qu’il était "estomaqué" ("gobsmacked" en anglais typiquement britannique). J’ai ri et j’ai dit : "Eh bien, nous essayons de diffuser tout ça du mieux que nous pouvons et nous continuons à nous adresser aux gens qui - par exemple, ABC News est en train de faire une émission spéciale à ce sujet-là qui sera diffusée en février, comme vous savez, mais la chose la plus importante, c’est qu’il faut que les gens qui écoutent des émissions comme celle-ci, des personnes par millions, comprennent qu’ils peuvent agir pour contribuer à ce processus, et si nous n’agissons pas, à ce propos il y a un vieil adage, c’est, comme on dit, que la seule chose qui permette au mal de gagner, c’est que les gens de bien ne fassent rien, et il suffit tout simplement de jeter un œil rétrospectif à la seconde guerre mondiale et à l’ascension de Hitler et tout ces trucs-là, pour voir que tout ça est absolument véridique. Il faut par conséquent que les gens prennent effectivement leurs responsabilités et il faut vraiment que nous protégions notre démocratie. Eisenhower, qui est un de mes héros - bien sûr qu’il était républicain conservateur, mais ça ne veut pas du tout dire que je sois quelqu’un qui prend parti - mais il a vraiment enfoncé le clou en disant qu’il y avait ce complexe militaro-industriel qui saperait notre sécurité et qui serait, si nous n’étions pas vigilants, une menace pour notre démocratie. Et, comme vous le savez bien, un de nos témoins était un des assistants du Président Eisenhower - le général de brigade Lovekin, qui est avocat en Caroline du Nord, un de nos témoins, et il était jeune homme à l’époque, en 1959-1960, quand il a personnellement vu le Président des Etats-Unis recevoir des rapports concernant les OVNIs, avoir certaines de ces informations entre les mains, mais il s’est aussi aperçu qu’on lui a expressément (et il s’agissait là d’un général cinq étoiles et d’un Président républicain conservateur) menti et qu’on lui a bloqué et refusé l’accès à ces projets industriels qui avaient ces technologies et qui en étaient inondés, et ça a été pour lui une frustration totale, vous savez, il s’agit par conséquent d’un dysfonctionnement qui n’a pas cessé, au moins depuis les années 50.

    GN : Mais regardez, ces - ce sont des multinationales, je pense - elles savaient que ces Présidents allaient et venaient…

    SG : Bien sûr !

    GN : … tous les quatre ou huit ans, et elles, elles étaient celles qui voulaient rester en place pour une très longue durée.

    SG : C’est exact, et tout comme un directeur de la CIA va et vient simplement tous les deux à six ans, ou le chef d’état-major des armées ou - je me suis personnellement retrouvé assis au Pentagone avec le directeur de la Defense Intelligence Agency. Maintenant, j’ai des témoins au sein de cette agence, la DIA, qui ont manipulé des matériaux sensibles concernant cette question, pourtant quand le général responsable de cette agence faisait une enquête, la seule chose qu’il obtenait - et là, je ne plaisante pas - je suis assis là, au Pentagone, avec mon conseiller militaire, et le général se lève et se dirige vers sa bibliothèque, et il sort une petite figurine d’extraterrestre de sa bibliothèque et il nous l’apporte. Et il
    me dit : "Ceci, Dr. Greer, est tout ce qui soit jamais ressorti de mes enquêtes sur le sujet. Je n’ai rien obtenu d’autre que des rires et du ridicule". Et c’était à l’époque le général en charge de la Defense Intelligence Agency. Voilà, et je lui ai pourtant donné des documents et des témoignages qui venaient de la DIA. Par conséquent, toute l’histoire c’est - je vous dirai plutôt franchement qu’utiliser le terme de dysfonctionnement est complètement en dessous de la réalité.

    GN : Bien, et ces gens que vous avez fait participer, par exemple, à cette conférence de presse du 9 mai 2001, malheureusement, étant donné la tragédie du 11 septembre, ça a plutôt éclipsé l’effet d’annonce, mais je pense que vous êtes aujourd’hui en train de vous ressaisir, Steven, et que le mouvement est en train de reprendre, sauf qu’il s’agit-là de vrais individus ! Ce ne sont pas des acteurs d’Hollywood ! Je veux dire qu’ils sont là autour de nous, il y a des gens du gouvernement, des militaires qui ont choisi de dire : "Vous savez quoi ? Je ne vais pas garder ça pour moi plus longtemps ", et ils se sont présentés.

    SG : C’est exact, et nous avons le "DD-214" de tous ces gens-là (leurs avis de libération militaire), nous avons diverses corroborations de leur présence sur les lieux, une grande partie des catégories auxquelles appartiennent ces événements, nous avons un tas de témoins et de documents qui corroborent ce qui s’est passé, alors quand les gens disent : "Où sont les indices tangibles ? Où sont les preu-
    ves ?" Je dis : "Eh bien, nous les avons. Vous lisez l’anglais ?" J’ai dit ça une fois à un scientifique et il a ri. J’ai dit : "Eh bien, si vous lisez l’anglais, nous les avons, et même si vous ne le lisez pas, ça a aujourd’hui été traduit." Tout le livre qui contient la transcription des révélations que nous avons, qui fait presque six cents pages, a maintenant été traduit en français (aux Editions Nouvelle Terre)* et il est en ce moment même distribué dans toute la France. Mais je vous le dis, sur notre site internet, DisclosureProject.org, les gens peuvent voir cette conférence de presse de deux heures, mais vous pouvez aussi vous procurez, au choix, une cassette vidéo d’une heure, de deux heures ou de quatre heures de tous ces témoins de l’armée. Au passage, ce ne sont pas des gens avec une tache floue sur le visage et avec un faux nom. On a montré le nom, le grade et le matricule, on a mis le paquet.

    GN : Les vrais MacCoy.

    SG : Pas seulement un ou deux d’entre eux, mais des dizaines et des dizaines et des dizaines d’entre eux.

    GN : Et ils continuent de se présenter, et est-ce qu’il s’en présente tou-
    jours, alors ? Est-ce que vous avez d’autres gens qui aimeraient faire des révéla-
    tions ?

    SG : Oui. En fait, la semaine dernière, nous en avons eu plusieurs, et l’un d’eux est un important fournisseurs ultrasecret de Lockheed, du domaine de l’aérospatiale, et je vais vous faire profiter de vive voix de ce dont il nous a fait part, et je demanderai s’il y a d’autres personnes qui aimeraient se présenter pour corroborer ce dont je vais vous faire part. C’est une information très importante.

    GN : Quand nous ferons la coupure de la demie, Steven, et ensuite nous y reviendrons et nous parlerons de ça. Pourquoi ont-ils tant attendu ? Je veux dire, voilà, vous avez eu ce projet majeur de révélations en 2001, vous avez toujours de plus en plus de gens. Qu’est-ce qui fait qu’ils prennent conscience, du style "Je vais en informer la population" ?

    SG : Eh bien, il y a différentes questions. En premier, je pense qu’ils ont manqué de meneurs. Ce sont des gens qui ne se connaissaient pour la plupart pas entre eux - ils étaient isolés. Ils avaient besoin, en un sens, d’une structure qui les soutienne, et c’est ce que nous avons créé, et c’est moi qui ai en quelque sorte été à l’origine du mouvement, mais il y a ceux qui ont vraiment sorti la tête du rang. Je veux dire, je dis au gens que je ne suis qu’un médecin de campagne, ici en Virginie, qui a été impliqué dans tout ça. Mais ces types qui ont eu, qui ont encore dans beaucoup de cas, des droits d’accès ultrasecret, ont vraiment eu besoin d’être soutenus, et quand ça en est arrivé à cette masse critique de quelques-uns d’entre eux, pour des dizaines d’entre eux et ensuite pour quatre ou cinq cents de ceux-ci, ils se sont alors suffisamment sentis en sécurité pour le faire. Ils ont senti qu’ils ne seraient pas exposés au ridicule et ils nous ont fait confiance pour ne pas les embringuer dans un tas de trucs dingues et hypothétiques, qu’on s’en tiendrait strictement aux témoignages, aux preuves, aux documents, et c’était l’accord que nous avions passé, ils avaient confiance en notre action.

    GN : Ce qui m’a plu chez vous, Steven, dans les années où je vous ai même vu parler avec Art Bell, ça a été cette approche exempte d’absurdités que vous avez appliquée à ce sujet très sérieux, et je pense qu’il est on ne peut plus important qu’il y ait ce genre d’approche et, vous savez, on fera pour ça tout ce qui est en notre pouvoir pour vous ici, dans cette émission.

    SG : C’est un soutien nous apprécions.

    GN : Le Dr. Steven Greer, notre invité, sera de retour dans un instant. Nous en dirons plus sur certains de ces nouveaux témoins du Disclosure Project.

    [Pause publicitaire]

    GN : Et bienvenue à nouveau sur Coast to Coast. C’est George Noory qui vous parle avec notre invité de ce soir, le Dr. Steven Greer, Steven, vous nous parliez d’un fournisseur du secteur de l’aérospatiale qui est venu vous voir, je suppose, tout, tout au début de ce Disclosure Project, ou est-ce que c’était bien après ?

    SG : Non, tout ça se passait la semaine dernière.

    GN : Juste la semaine dernière ?

    SG : Exactement, et c’est pour ça qu’il me semble important de vous en faire part, et il voulait expressément que j’en fasse part parce qu’il s’agit d’une situation où le temps est précieux et qui évolue, et vous verrez pourquoi dans un moment. Par conséquent, je crois qu’il est important que les gens entendent ça, et je pense que d’autres gens qui sont à l’écoute le savent. Rappelez-vous qu’une des façons qui nous a permis de corroborer des choses était de savoir que nous nous retrouverions face au public dans une émission comme celle-ci pour dire : "Ecoutez, s’il y a d’autres personnes au courant de cet événement ou de ce projet,  vous êtes priés de me contacter directement par le biais de DisclosureProject.org, notre site internet, et nous travaillerons effectivement avec vous par tous les moyens possibles." Et c’est par conséquent important qu’un travail en réseau de ce genre s’établisse. C’est véritablement - c’est vraiment essentiel. Je veux dire que ce n’est pas comme si nous avions par hasard agité une baguette magique pour que tout ça arrive. C’est vraiment un travail et un travail en réseau difficile, et nous attendons du public et des gens qui nous écoutent ici, ceux qui sont concernés et intéressés par cette question, qu’ils fassent en sorte que tout ça survienne, et c’est vraiment comme ça que c’est arrivé. Vraiment.

    GN : Absolument, et une nouvelle fois, DisclosureProject.org représente le moyen de vous recontacter, exact ?

    SG : C’est juste.

    GN : D’accord, maintenant, cette personne, cet individu, comment est-il venu à vous ?

    SG : Eh bien, il nous a en fait abordé par l’intermédiaire du site internet, et nous avons eu plusieurs échanges et sommes entrés en communication avec lui, et c’est un type qui est chez Lockheed Martin et - voulez-vous que je vous fasse part de ce qu’il nous a dit ?

    GN : Tout à fait, Steven.

    SG : C’est vraiment assez fort. Il l’a dit mieux que je ne saurais le faire. C’est intéressant, parce que dans une des conversations successives que nous avons eues, il a dit : "Nous observons ce projet (il voulait dire le Disclosure Project) avec grand intérêt, et nous pourrions plus tard décider de révéler un plus grand nombre d’identités. Je suis vraiment très peu habitué à ce genre de choses. Il y a quelques semaines de ça, j’étais pratiquement certain que les OVNIs n’existaient pas, pas plus que des extraterrestres dignes de ce nom, et je pensais que les gens qui se présentaient étaient vraiment "atteints"" [petits rires]. Maintenant, il ne prend plus ça autant à la légère. C’est vraiment intéressant, à cause du projet dont il a aujourd’hui été informé, cet homme est par conséquent quelqu’un qui a fait carrière dans le domaine de l’aérospatiale, comme ça a été le cas pour mon oncle. Et ce qu’il dit, c’est (je vais tout simplement vous en faire part), il dit que : "Je suis quelque part mort de peur de me présenter avec des informations pareilles, mais j’ai l’impression qu’il est de mon devoir de patriote de faire ça. J’ai passé une grande partie de ma carrière professionnelle chez Lockheed Martin, dont une période importante à l’installation de Marietta, en Géorgie. Mon travail est en grande partie classifié et je refuse catégoriquement de divulguer mon identité maintenant. Je me préoccupe trop de la sécurité de ma famille et de celle de mes collègues pour ça." Ce qui est bien sûr compréhensible. [Continuant à lire] "Vous n’ignorez sans doute pas que Lockheed Martin a été impliquée dans divers stades de la mission Cassini vers Saturne. Les images du vaisseau sont développées et analysées au "Space Science Institute" de Boulder, dans le Colorado, là où se trouvent mes principaux contacts. Pour en venir directement au fait, certaines de ces images ont révélé la présence non seulement d’un, mais de plusieurs grands "engins" d’origine non terrestre. L’aperçu a directement été observé par… " [Les gens avec qui il travaille. Je ne donnerai pas de nom] "Les angles que présente l’"engin" sont de telle sorte qu’on ne les trouve généralement pas dans la nature et il est ainsi évident qu’il ne s’agit pas d’astéroïdes ou d’autres débris pris dans le champ d’attraction de la planète… " Ecoutez la description - c’est fascinant ! Les objets se présentent comme des "soucoupes striées, ayant la forme classique d’une soucoupe volante, avec plusieurs arêtes qui s’échelonnent en partant du centre pour créer une forme quasiment prismatique. Vues du dessus, ils ont une forme qui rappellerait quelque peu une toile d’araignée sphérique. Ce que j’appelle un échelonnement ne semble pas apparaître comme des structures séparées, elles sont au contraire constituées par l’enveloppe de l’engin : leur description rappellerait celle d’une aile de chauve-souris. Si vous êtes en mesure d’imaginer la peau d’une chauve-souris recouvrant ses doigts, et donnant leur structure aux ailes… "

    GN : Et c’est également une bonne analogie, parce que vous en avez vraiment une image [dans votre tête].

    SG : C’est vraiment intéressant. C’est une excellente description. [Continuant à lire] "Les photos sont nettes. Je n’en sais pas tellement plus sur ces objets ou ces engins, mis à part le fait que leur présence n’était pas totalement inattendue [ça, c’est vraiment intéressant] et qu’elles n’ont pas particulièrement alarmé les diverses agences. Mais la suppression des images a été considérée comme une chose qui allait de soi." Voilà en tout cas, et ça continue. Je ne veux pas prendre trop de temps parce que je pense qu’il n’est pas vraiment poli de lire, mais cela donne une idée du type d’informations. Maintenant tout ça est un truc en cours dont les images viennent d’être prises et il y a quelque chose qui se trouve maintenant sur internet, une image de Cassini, et dont on est quasiment certain qu’il s’agit d’un artefact. Et ça cependant, ce qu’il est en train de décrire, représente clairement des structures artificielles en mouvement là-bas. Maintenant c’est intéressant, parce qu’il dit que ce n’était pas inattendu, et ce que je fais remarquer aux gens, c’est que ça, c’est parce que depuis que nous envoyons n’importe quel truc en l’air en direction de l’espace, nous rencontrons ces objets, y compris pendant les atterrissages sur la Lune.

    GN : Eh bien, on dirait qu’ils nous suivent, n’est-ce pas ?

    SG : Oui, et ils, bien sûr, ils observent tout ce que nous faisons en tant que civilisation. Il est évident, à mon avis, qu’ils s’inquiètent du développement d’armes dans l’espace, du développement d’armes de destruction massive et d’une civilisation qui, à ce stade de notre évolution sociale et si vous voulez, spirituelle, provoque encore des millions de morts parmi ses propres populations, dans des guerres qui s’étendent jusque dans l’espace. Mais en tout cas, le fait, bien sûr, qu’il soit tombé sur cette [information] plutôt nouvelle - c’était quelqu’un qui n’a été impliqué dans cette sorte de chose que très récemment. Mais il est intéressant qu’il ait noté le fait que leur rencontre n’était pas inattendue, ce qui est, bien sûr, ce sur quoi je peux m’attendre à tomber aujourd’hui, de beaucoup, beaucoup de témoins de divers organismes et sociétés qui ont corroboré des rencontres avec ces objets, pas seulement sur une orbite proche de la Terre, mais aussi près de la Lune, de Mars, et de certaines des planètes extérieures, au cours de missions spatiales de reconnaissance et que sais-je encore.

    GN : Et ce qu’il dit-là, même si ces informations sont nouvelles à propos de Cassini et de Saturne, ce qu’il dit-là n’est donc pas différent de ce que ces autres témoins vous avaient dit avant.

    SG : Exactement. C’est une trame identique et qui corrobore tout ça, et ça n’a de sens, à mon avis, que si c’est évidemment le cas. Nous avons par exemple deux ou trois témoins qui participaient à "Lunar Orbiter". Il s’agit, vous le savez bien, de l’opération de repérage et des sondes que nous avons envoyées vers la Lune avant d’y atterrir vraiment en juillet 1969, et un de nos témoins se trouvait à Langley où il y avait une installation secrète, gérée à l’époque par la National Security Agency, qui avait un personnel international, mais hyper secrète, où ils prenaient des images et les gardaient cachées, qui avaient - qui montraient - des objets et des structures artificielles déjà sur la Lune, et c’était des clichés de Lunar Orbiter qui dataient du milieu des années soixante, avant que nous n’alunissions en 69. Par conséquent - et on les développait, et c’était vraiment de la routine, et ce témoin que nous avons était là-bas et a vu ça, et il travaillait avec un homme qui a sorti ces énormes clichés qu’il développait, sur lesquels il travaillait, qui lui a montré ces structures. Et ce témoin figure évidemment dans le livre "Disclosure" et sur les vidéos que les gens peuvent voir sur DisclosureProject.org, mais la façon dont c’était traité et la façon dont cet homme, des années plus tard bien sûr (je veux dire qu’on en a parlé quarante ans plus tard), a décrit ça aujourd’hui est vraiment, vraiment, vraiment ressemblante.

    GN : Comment avez-vous été en mesure, parce qu’il n’a pas révélé qui il était et c’est une chose que je peux comprendre -

    SG : Oh si, il l’a fait. Nous le connaissons parfaitement.

    GN : Oh vous savez qui c’est, mais vous ne pouvez pas nous le dire.

    SG : Oui.

    GN : D’accord, très bien, c’est une bonne chose parce que je m’apprêtais à dire, vous - vous avez donc le sentiment qu’il est authentique.

    SG : Oh oui, et il n’y a aucun doute là-dessus et - mais ce qu’il veut que nous fassions et c’est pourquoi je vous fais part de ça, c’est qu’il y a d’autres gens qui ont à mon avis certainement connaissance de ça et qui ont une expérience similaire de cette question, et nous aimerions que ceux-là sortent la tête du rang et entrent en contact avec nous, et c’est ce que j’invite les gens à faire, qu’ils nous mettent au courant s’ils ont des informations supplémentaires là-dessus, et sur des questions liées à ça.

    GN : Bien, vous parlez du rôle que jouent certaines de ces sociétés, Steven. Que font-elles ? Je veux dire, est-ce qu’elles essaient de reproduire ces objets ? Est-ce qu’elles développent des systèmes qui ont un rapport ou un autre avec eux ? Quel est exactement leur rôle ?

    SG : Eh bien, elles ont divers rôles, qui dépendent de la société concernée. Les véritables agissements, les agissements vraiment importants qui perdurent depuis les années 40 et 50, objets de frustration pour le Président Eisenhower, aussi bien que pour le Président Clinton et pour d’autres - c’est tout autant un programme clandestin de ce genre-là, quand on parle d’agissements mafieux, et ce, jusqu’à récemment. Maintenant je ne sais pas si vous voulez qu’on aborde ça, mais -

    GN : Parlons-en un peu, pas de problème.

    SG : Et bien, c’est là quelque chose de difficile, et tous ceux qui me connaissent savent que je suis quelqu’un qui n’a absolument pas de parti pris et, mais pour être plutôt franc, ce n’est pas l’actuel Président, mais ceux qui sont derrière lui qui sont au centre de ce groupe, qui sont au centre de cet ordre du jour, et c’est là la situation la plus dangereuse qu’aient connue les Etats-Unis depuis leur fondation.

    GN : Et il pourrait être tout à fait possible qu’il ne sache même pas ce qui est en train de se passer à ce sujet.

    SG : Eh bien, le problème, c’est que - c’est pour moi vraiment difficile à dire parce que les deux tiers des gens qui me soutiennent sont des républicains conservateurs, mais si nous remettons George W. Bush et cette Administration aux affaires jusqu’en 2009, il est pratiquement certain que nous allons nous engager encore plus avant dans un ordre du jour globalement militariste, qui va se terminer par une tragédie ayant des proportions incalculables. Malheureusement, l’actuel Président… Maintenant, son père est profondément impliqué dans ces questions. Comme Cheney, et comme Rumsfeld. J’ai des documents et des gens qui peuvent établir ça. Maintenant les gens vont être perturbés en entendant ça. Je demande toujours aux gens : "Vous voulez vraiment entendre la vérité ou
    pas ?" Je me sens comme dans (c’est quel film, déjà ?), "Des hommes d’honneur", quand Jack Nicholson dit : "Vous ne supporterez pas [la vérité]." Mais il faut que je vous dise que ce que j’ai appris sur le détournement de l’actuelle Administration, pour être plutôt franc, particulièrement ce Président-là et pour un tas de factions du parti républicain, c’est que 99,9 % d’entre eux ne sont pas au courant de ces trucs, pourtant on les a floués et on les a utilisés et à mon avis, pour être plutôt franc, corrompus pour un ordre du jour qui est une condamnation totale de la démocratie américaine.

    GN : Bien, mais vous ne pensez pas que même si c’est une autre Administration qui arrive, ces maniaques du pouvoir seront capables d’adapter leur influ-
    ence ?

    SG : Non, pas de la même façon. C’est là toute la différence. Clinton, par exemple, a été complètement mis sur la touche sur ce plan-là. Maintenant, il n’a pas fait quoi que ce soit pour y remédier, et c’est pour ça que je rouspète contre l’Administration Clinton. Je joue sur les deux tableaux - [rires] vous savez, je vais me retrouver cerné de tous les côtés à propos de tout ça, et tout le monde va probablement m’en vouloir - mais j’ai été fortement déçu que le Président Clinton, qui a expressément été informé à ce sujet par notre équipe et à qui on a donné toutes les preuves de ça, et à qui on a demandé de faire jouer l’exécutif pour résoudre le problème avant qu’il ne soit trop tard, n’ait pas, pour être plutôt franc, eu le courage de le faire. Mais c’est en fait vraiment une différence d’être le renard qui guette devant le poulailler, et d’arriver à pénétrer dans le poulailler. C’est ce que nous avons avec l’Administration actuelle. C’est à mon avis la plus grande menace qui pèse sur la démocratie américaine, sur notre environnement et sur l’avenir de cette planète depuis que les Etats-Unis ont été fondés, et il y a des gens de la famille de ma mère qui ont fait partie des fondateurs originaux des Etats-Unis. Alors regardez, je ne cherche pas à tout prix à descendre les libéraux en flammes, mais je vous dis que si cette Administration particulière ne se fait pas museler, nous nous préparons à de très gros ennuis, et oubliez le 11 septembre comme la guerre en Irak. On parle là de choses qui seront cent fois pire que ça.

    GN : Il va alors falloir que je vous demande, Steven, de vraiment me dire ici de quoi vous êtes en train de nous parler.

    SG : Je suis en train de parler du fait que l’Administration Bush, pas le Président lui-même, parce qu’il est, franchement, à mon avis, "W" est la terrible victime d’un ordre du jour à long terme qui implique une cabale ou un groupe de gens qui comprend son père, Cheney, et Rumsfeld et tout un tas d’autres gens, comme tous ces larbins de l’industrie dont je parle, qui ont exercé des manipulations qui ont fait que le Président ait pris des décisions qui se sont révélées désastreuses. En d’autres termes, je déteste utiliser le mot "pigeon", mais il a été mal servi, profondément mal servi par ces gens-là. Le problème, c’est que s’il est réélu, ces mêmes gens se retrouveront là avec lui et…

    GN : Mais qu’est-ce que tout ça a à voir avec ce sur quoi vous enquêtez avec le Disclosure Project, l’énergie du point zéro ? Voilà ce que je voudrais savoir. J’ai besoin de savoir comment faire le lien.

    SG : Le lien avec ça, c’est que les gens qui sont au centre de la situation actuelle, avec l’Administration actuelle, sont des gens qui sont depuis longtemps liés à la dissimulation qui touche la question des OVNIs, la gestion illégale de ces opérations concernant l’industrie, l’armée et les renseignements. Ce sont ces gens qui…

    GN : D’accord, admettons -

    SG : Ils font ça sous notre nez.

    GN : Admettons que tout ça soit vrai.

    SG : Mais, c’est vrai.

    GN : Mais ça fait maintenant soixante ans que ça dure, avec divers groupes de gens.

    SG : Mais pas à ce niveau de pouvoir. Vous voyez, si c’est un pouvoir clandestin et que c’est manipulé en coulisse, c’est une chose. Mais c’est une autre chose si ce pouvoir clandestin émerge et opère une mainmise directe sur le pouvoir qu’a la branche exécutive du gouvernement des Etats-Unis. Et c’est ça qu’on a. Je ne peux pas être plus clair que ça. J’ai de très bons amis qui savent ce que je viens de vous dire, et ce sont de vieux républicains, qui ont collecté de l’argent pour le parti républicain, et ils m’ont dit : "Tu as tout à fait raison. Je ne peux pas voter pour Kerry, mais je ne tirerai pas le levier pour Bush et pour Cheney", quand ils ont appris ce qui se passait. Maintenant, c’est un truc étonnant. Je veux dire, ce n’est pas moins que le fils de Dwight Eisenhower lui-même, qui est un vieux républicain, qui s’est exprimé pour en dire autant, sauf que ce n’était pas lié à cette question. Mais un tas de gens en place savent que c’est lié à cette question, qu’il y a un ordre du jour transnational qui est global, militariste et extrêmement dangereux, et ça s’est accru. Ça s’est considérablement accru au cours des 3 ou 4 dernières années, et je pense que ça va s’aggraver encore, à moins que le peuple américain n’apprenne tout ça et prenne la décision de changer les choses, et il faut que ça se fasse.

    GN : Que pensez-vous, si on fait rapidement le tour des aspects négatifs, que pensez-vous qu’il pourrait arriver ?

    SG : Franchement, je crois que si - eh bien, il y a cette merveilleuse expression chinoise qui dit : "Si nous ne changeons pas de direction, nous allons probablement nous retrouver là où nous allons." Pour être plutôt clair, la direction présente, que ces gens-là ont forcé les Américains à prendre, va nous mener à une situation de terrorisme considérablement aggravée. Mais au final, l’ordre du jour - maintenant, rappelez-vous que c’est ce que le porte-parole de Wernher von Braun nous a rapporté - le Dr. Rosin - ce que Wernher von Braun, l’inventeur des fusées, lui avait dit sur son lit de mort. J’ai de nombreux autres témoins qui corroborent ça, qui étaient dans la CIA, dans la NRO - l’agence de l’Air Force, et d’autres qui ont corroboré tout ça, que leur ordre du jour à long terme était de passer de la guerre froide au terrorisme global. Maintenant, souvenez-vous qu’on a rapporté ça avant le 11 septembre dans le Disclosure Project, que ça serait remplacé par la mise en scène d’une menace venant de l’espace, et que le monde s’unifierait autour d’une réponse militaire globale qui nous précipiterait dans un scénario du type Armageddon au niveau de l’espace. Ça peut sembler fou, mais si vous aviez dit à quelqu’un que le 11 septembre allait se passer comme il s’est passé, ou comme ils disent que ça s’est passé, les gens auraient dit que vous aviez fumé des trucs. Le fait est que les grandes lignes de cet ordre du jour ont été données dans les années 60, et il y a des gens de l’Administration actuelle qui peuvent faire le lien avec les années 60 et 70, ayant littéralement été impliqués dans l’élaboration de cet ordre du jour. Maintenant, la plupart des républicains savent-ils ça ? Absolument pas, mais il faut qu’ils le sachent, parce que leur parti a été utilisé et détourné de sa fonction par ces intérêts-là, et c’est là quelque chose de très, très dangereux. Maintenant, dans le passé, au niveau, disons, des années 50 et 60, il y avait une infiltration des deux partis qui était d’une certaine manière plus équilibrée, mais tout ça a radicalement basculé au cours des 5 à 10 dernières années, et c’est véritablement une tragédie. J’étais assis avec Barry Goldwater - je ne sais pas si vous vous souvenez du Sénateur Goldwater…

    GN : Certainement que si !

    SG : … qui s’est présenté pour les présidentielle en 64 - un type génial. J’étais personnellement assis chez lui et j’ai parlé de ça une après-midi entière avec lui.

    GN : Et il y a eu cette fameuse publicité à la télévision que LBJ (Lyndon B. Johnson, son adversaire) avait fait passer, qui fait qu’il a été éjecté. C’était cette image d’une explosion nucléaire.

    SG : Exact, et laissez-moi vous dire que Barry Goldwater était un grand supporter de ce que nous essayions de faire. J’ai une lettre de lui !

    GN : Exact, je me souviens de ça !

    SG : Oui, ah, absolument ! Maintenant, lui et moi, on a parlé de ça et il m’a dit à l’époque (et ça c’était en 1994 ou 95, je n’arrive pas à me souvenir, ça date du milieu des années 90) et Barry - le Sénateur Goldwater - m’a dit, il a dit : "Eh bien, Dr. Greer, il dit comme ça, vous savez que mon parti (que, vous savez, il était en quelque sorte le fondateur de l’aile néo-conservatrice du GOP (Grand Old Party, le parti républicain)), il dit comme ça : il a été détourné de sa fonction par ce genre d’intérêts." Je l’ai regardé. J’ai dit : "Qu’est-ce que vous en savez ?" Il a dit : "Eh bien, c’est absolument ce qui s’est passé !" Et c’était intéressant d’écouter son point de vue là-dessus, celui d’une sorte de descendant, avec cet espèce d’air de belle figure de lion de l’establishment républicain qui se lamentait devant moi. Maintenant je n’ai jamais raconté ça en public. On a beaucoup parlé d’OVNIs et de programmes clandestins, de gens qu’il connaissait, qu’il allait essayer d’apporter son aide, de nous aider, et ceux-ci ont fini par lui défoncer le crâne, on peut carrément le dire. Il les avait rendus fous furieux, mais - ’voulez des noms ? Je suis prêt à les donner.

    GN : Je veux que vous gardiez ça pour après, on va cependant faire cette pause, et nous reprendrons l’antenne ensuite. Je voudrais vous parlez un peu plus de ça, Steven, parce que vous savez, si presque chaque Président a pourtant été - avait la tête sous l’édredon, qu’est-ce qui vous fait penser qu’il ne va pas se passer la même chose si quelqu’un d’autre est élu, par exemple ? Mais je reviendrai là-dessus. Nous parlerons de sources d’énergie alternatives dès que nous serons à nouveau à l’antenne.

    [Pause publicitaire]

    GN : Bienvenue à nouveau sur Coast to Coast. C’est George Noory qui vous parle avec le Dr. Steven Greer. Steven, le point que je voulais faire remarquer avant le passage de l’heure, c’est que si ceux qui tirent les ficelles - peu importe qui ils sont censés être - sont là, peu importe de savoir qui est aux affaires parce ce seront toujours eux qui tireront les ficelles.

    SG : Eh bien, évidemment qu’ils vont tirer les ficelles, mais c’est une chose si celui qui tire les ficelles le fait clandestinement en coulisse, c’en est une autre d’arriver à savoir qu’ils ont été en mesure de prendre le contrôle direct et total des institutions de la branche exécutive du gouvernement. L’autre chose dont il faut se souvenir, c’est que "Nous, le Peuple" devons maintenir ces types sur le droit chemin et veiller à ce qu’ils restent honnêtes, et être aussi vigilants que possible sur ce qu’ils font. Rappelez-vous ce qu’Eisenhower disait. Il disait : "Seuls des citoyens vigilants, qui seraient actifs et aux aguets, seraient capable de prévenir de tels abus." Et si vous lisez son discours, le dernier discours qu’Eisenhower ait fait à notre pays avant de quitter ses fonctions en janvier 1961, il a vraiment insisté là-dessus avec force, et je pense que c’est ça que je voudrais faire remarquer, qu’il faut que nous soyons vigilants, que, vous savez, encore une fois, je ne me suis jamais mêlé de politique politicienne. Je n’aime pas la politique, mais le fait est que la branche exécutive du gouvernement est vraiment puissante. Maintenant elle a seulement le pouvoir que la personne à ce poste est décidée à exercer. Maintenant, dans le cas du Président Clinton par exemple, il avait ce pouvoir, mais il a eu peur de l’utiliser. Un bon ami à lui est venu me voir chez moi à brûle-pourpoint et m’a dit : "J’ai peur que - on a peur que si le Président fait ce que vous préconisez, il finisse comme Jack Kennedy." Et j’ai éclaté de rire. J’ai littéralement éclaté de rire. J’ai cru que le type plaisantait parce que ça se passait en 94, et il dit comme ça : "Non, je ne plaisante pas". Et  j’ai bien sûr été sidéré. J’ai dit : "Là, vous me faites marcher !" Et il s’agit-là d’un ami très proche du Président Clinton. Et j’ai dit : "Eh bien, regardez, je - encore une fois, je suis médecin de campagne en Virginie. Je suis au département des urgences, ici. Voilà ce que j’ai découvert. Lui, c’est le Président. La responsabilité commence là." Mais il faut que les gens gardent cette responsabilité à l’œil, est-ce qu’elle a vraiment tenu la route jusqu’à maintenant, ou est-ce qu’elle a plus ou moins été détour-
    née ? Dans le cas présent, vous avez une situation où vous avez un Président américain dont l’Administration est truffée de gens qui dirigent ce genre de cabale, qui font partie du complexe militaro-industriel-pétrolier-énergétique qui a gardé ces trucs secrets, et qui nous ont maintenus sur la voie que nous sommes en train de suivre. Par conséquent, je pense que c’est vraiment quelque chose, encore une fois, que "W" soit largement au courant ou pas de ça (je suis quasiment certain qu’il ne l’est pas parce que je connais des gens qui sont très proches de lui) mais c’est ce qui s’est passé, c’est une tragédie, et je ne crois pas qu’on puisse y remédier. Maintenant, admettons qu’une autre personne arrive là, mais que son Administration ne soit pas directement truffée de ce genre d’activistes. L’écart serait plus important et il serait plus difficile de faire progresser cet ordre du jour. C’est ça que je suis en train de faire remarquer. Et je ne fais pas remarquer quoi que ce soit d’autre en ce qui concerne les questions politiques, mais si les gens demandent, et vous avez demandé vous-même : "Qu’est-ce qui est en train de se passer ? Qui est derrière ça et pourquoi ?" C’est une grande partie de cet ordre du jour, et il a infiltré de nombreuses institutions, et le processus politique malheureusement, comme jamais jusqu’à ce jour, et c’est ça qu’il faut que les gens retiennent.

    GN : Et ça, est-ce que ce n’est cependant pas un problème d’envergure mondiale pour n’importe qui sur cette planète ?

    SG : Ça l’est bien, c’est éminemment transnational, et les Etats-Unis y jouent évidemment un rôle clé, mais rappelez-vous de l’ordre du jour en vigueur, même dans les années 50 et 60 - j’ai des gens qui m’ont certifié qu’il y avait des programmes clandestins aux Etats-Unis qui fonctionnaient en coopération avec l’Union Soviétique pendant les pires heures de la guerre froide sur ces mêmes questions, ça a par conséquent été quelque chose qui a été géré hors des écrans radar de manière vraiment mystérieuse, mais cette espèce de gouvernement mystérieux a maintenant pris pied dans le gouvernement légitime.

    GN : Eh bien voyez, mais revenons…

    SG : C’est là un processus de métastases. C’est une chose vraiment dangereuse.

    GN : Revenons cependant en arrière. A l’époque - Véritablement à l’époque de [l’incident de] Roswell, au sujet de quoi les révélations ne sont jamais venues -

    SG : C’est vrai et c’était Truman, rappelez-vous.

    GN : … et on continue d’en rajouter encore, encore et encore.

    SG : Exact.

    GN : Ma remarque, c’est qu’il importe peu de savoir qui est élu, les révélations se feront seulement si les gens continuent à se présenter…

    SG : Exactement.

    GN : … en grand nombre.

    SG : Mais à un moment donné, il faut que nous soyons certains que ce - que ce genre d’ordres du jour véritablement effrayants, à forte composante, disons-le carrément, eschatologique, ne soient pas investis de trop de pouvoirs - et moi je vous dit qu’ils ont été largement investis de ces pouvoirs sur un mode bien plus grave au cours des quatre dernières années, que pendant les cinquante dernières années réunies. Il faut par conséquent que nous fassions attention, et c’est là un sujet dont on ne parle pas dans la sphère politique. Les gens ne veulent pas en parler et franchement, je n’aime pas la politique, mais le fait est qu’il faut que nous soyons comme Eisenhower le disait, il faut que les citoyens soient sensibilisés aux risques que court notre démocratie du fait que ce genre de choses arrivent, et elles sont arrivées. Tout ça a tragiquement été investi de pouvoirs qui se sont fortement accrus ces dernières années, et je pense que les gens qui sont là et qui écoutent ceci doivent comprendre qu’il faut en tirer les conséquences. Un tas de gens disent : "Oh, peu importe pour qui vous votez." Eh bien, il est plus que probable que cela ait de l’importance quand il y a des choses comme ça qui sont en jeu. Il y a par exemple des membres du Congrès des deux bords tout au long de cette histoire, dont je sais qu’ils ont été impliqués dans ces opérations mafieuses extrêmement mystérieuses. Un député de Californie du nom de Brown, qui était démocrate, a été très largement impliqué là-dedans, et j’ai des témoins qui se souviennent de lui dans une installation secrète alors qu’il trempait dans tous ces trucs avec un ancien Secrétaire à la Défense. De l’autre côté, on a aujourd’hui toujours des gens qui font partie du Congrès. Maintenant, vous savez, vous avez toujours un tas de gens qui disent : "Eh bien, Dr. Greer, mais de qui parlez-vous donc ? Tout ça est si vague." Et si je deviens plus précis, alors ça les fait chier, par conséquent vous savez, c’est comme ce que disait Brian O’Leary, mon ami qui était un des astronautes d’Apollo : "Tu sais, la vérité t’affranchira, mais il se pourrait bien qu’elle te fasse d’abord chier !" Le fait est que la plupart de ces trucs se déroulent pratiquement aux yeux de tout le monde, sauf que les gens n’ont pas fait le lien avec ce que cet ordre du jour représente, et c’est, comme vous l’avez justement fait remarquer, un ordre du jour qui est transnational et qui s’étale sur de nombreuses décennies, mais il a également été investi de pouvoirs largement accrus par l’Administration et la structure actuelles, et c’est par conséquent quelque chose qui me préoccupe et je suis complètement indépendant et sans parti pris.

    GN : Eh bien, ce n’est pas ce que vous paraissez être, Steven.

    SG : Mais je le suis ! Je veux dire que vous pouvez me croire, je le suis.

    GN : Je veux dire que personne ne penserait une chose pareille.

    SG : Eh bien, c’est parce qu’ils ne comprennent pas. Vous savez, c’est comme quand quelqu’un dit : "C’est une question partisane ?" Eh bien, il se trouve que ça implique le processus politique, alors comment voulez-vous passer à côté ? Ce n’est pas du tout que je pense que le fils de Dwight Eisenhower soit un militant anti-républicain. Mais il est concerné. Il y a là des choses qui devraient susciter une grande inquiétude.

    GN : Oui, mais depuis Eisenhower, on a eu, quoi, neuf Présidents si on les compte
    tous ?

    SG : Non, je parle du fils d’Eisenhower.

    GN : Non, je sais, mais je suis en train de dire que depuis Dwight Eisenhower, on a eu neuf Présidents, d’accord ? Y en a-t-il eu un seul - un seul qui ait contribué à ce qu’une des choses sur lesquelles vous enquêtez, qui sont les OVNIs, soit révélée ? Pas un seul.

    SG : C’est vrai, et ceci a été un - vous pouvez me croire, c’est une affirmation tout aussi valable quant à la nature du problème. Ce sont deux domaines. L’un est - c’est comme pécher par omission, je déteste utiliser ce terme, mais dans le cas de l’Administration Clinton, ils ont à mon avis négligé de prendre la question en charge et de faire ce qu’il fallait, comme on l’a vu pour d’autres Administrations qui se sont élevées contre ça et qui ont ensuite fait marche arrière. Maintenant c’est très différent, et c’est une question de courage et de ce que j’appelle un vrai leadership, cette sorte de leadership dont John McCain parle, un homme que j’admire énormément. Cette sorte de courage-là. Maintenant c’est très différent d’investir des gens de pouvoirs alors qu’ils participent activement à la promotion de cet ordre du jour, un ordre du jour qui est une nuisance pour le monde, une nuisance pour la sécurité nationale des Etats-Unis.

    GN : Mais c’est ce qu’ils font tous. C’est ça ma remarque. Ma remarque, c’est qu’aucun d’entre eux n’a fait quoi que ce soit pour apporter son aide.

    SG : Eh bien, c’est une chose que de ne pas apporter son aide. C’en est une autre que de faire activement du mal. Vous voyez ce que je veux dire ? Je veux dire que c’est une chose si je suis médecin et que je passe à côté d’un accident de la route, et que je ne m’arrête pas pour porter assistance. C’est terrible, bien sûr, et personnellement, je m’arrête toujours. Mais c’est autre chose que de provoquer volontairement l’accident ! Vous voyez ce que je veux dire ? Ça fait par conséquent une différence notable. Ce n’est pas sans conséquence. Mais en fin de compte, les gens vont devoir apprendre qui est impliqué, quelles sociétés, quels groupes d’intérêt, et quels sont les ordres du jour en vigueur, afin de se creuser la tête sur la façon de remédier au problème et une des choses qui a constitué une avancée à vraiment  faire froid dans le dos, que mes amis de l’aile conservatrice du parti républicain (et je ne parle pas de la droite religieuse, mais des gens de l’aile conservatrice traditionnelle, comme Barry Goldwater) - ça a été la confiscation de la plupart des ordres du jour par des gens qui sont réellement en train d’essayer de promouvoir une quasi-théocratie.

    GN : Eh bien, je crois…

    SG : Une théocratie d’un genre vraiment étrange.

    GN : Je crois que ce que vous essayez de dire, et vous ne l’avez pas encore dit, alors je vais vous paraphraser, c’est que l’actuel Président s’est entouré de gens qui ne sont pas les bons.

    SG : Oui, et il a été mal servi. J’ai dit ça tout à l’heure. Il a tragiquement été mal servi.

    GN : Et pas besoin d’être un scientifique de pointe pour comprendre, avec Halliburton par exemple, où le FBI est maintenant en train d’enquêter sur les affirmations d’un dénonciateur, du fait de toutes les atrocités qui sont en train de se passer et ainsi de suite, vous savez, et je ne veux pas m’étendre plus longtemps sur des échéances électorales, spécialement quelques jours avant une élection nationale.

    SG : C’est vrai, mais ce sont-là le genre de sujets qui accompagnent toujours des trucs comme Halliburton, mais ce genre de corruption-là est endémique, malheureusement, dans le système et le système a réellement - il faut que les gens - vous m’avez demandé tout à l’heure pourquoi il y a tant de ces types de l’armée qui se présentent et ce sont là - celui dont je viens de vous faire part, il a commencé en disant : "Il est de mon devoir patriotique de faire ça." Ce sont là des hommes et des femmes de bien qui comprennent que les choses qui sont en train de se passer ne sont pas seulement en train d’affecter le monde, mais spécifiquement les Etats-Unis qu’ils ont servis en risquant leur vie, et je pense qu’il faut que les gens soient conscients qu’il y a énormément de choses en jeu et que si nous ne changeons pas d’orientation, tout ça va se terminer d’ici quelques temps sur cette même voie plutôt désastreuse.

    GN : Eh bien, il va probablement falloir autre chose qu’un simple changement de direction, Steven, parce qu’il est évident qu’aucune Administration, par exemple, ne va contribuer à ce que nous ayons des énergies alternatives. Ils peuvent toujours nous dire ça depuis des années. Je veux dire que je me souviens de Jimmy Carter qui disait dans les années 70 : "Il faut qu’on change tout ça." Et rien n’est arrivé. Ça fait trente ans de ça !

    SG : Eh bien, ils ont inversé la vapeur dans les années 80, mais ce que je veux faire remarquer… Regardez, voilà l’autre chose que je veux faire remarquer. Disons que Kerry se pointe. Je joue sur les deux tableaux - vous savez - il faut se mouiller. Il y a des gens qui veulent nous diriger. Demandons-leur de le faire ! Si Kerry se pointe et qu’il s’en tient à la même direction et qu’il n’apporte pas son soutien à des recherches sérieuses dans le domaine de l’énergie du point zéro, de nouveaux systèmes de propulsion, il faudrait qu’il soit viré de son poste - absolument ! Et je crois que c’est ça, la question. Il faut que le peuple américain apprenne quelles sont les vraies questions et qu’il fasse en sorte que nos dirigeants nationaux s’attachent à diriger ! Et ça ne s’est pas fait parce qu’il y a malheureusement cette immense passivité. Je veux dire que vous n’allez jamais faire passer ça dans les principaux média, malheureusement, parce que la seule chose qui soit à mon avis plus corrompue que Washington, ce sont les grands média, malheureusement. Mais - et je crois franchement que c’est vrai, mais je crois que le peuple américain a besoin de comprendre que nous avons-là une situation urgente, si ce n’est cruciale, avec l’énergie et l’environnement et un tas d’autres questions qui ont été négligées de tous les bords, mais qui ont été - le rythme des dégâts s’est - considérablement aggravé sous cette Administration au cours des quatre dernières années.

    GN : Je pense qu’en terme d’énergie, et vous serez d’accord avec ça, ce qui s’est passé dans le domaine de l’énergie est abominable. C’est…

    SG : C’est très corrompu.

    GN : … Et environné de cupidité. Je veux dire, nous voilà maintenant en Irak à contrôler les champs pétroliers irakiens…

    SG : Exact.

    GN : Et le prix du pétrole échappe à tout contrôle !

    SG : Et trônant dans une mystérieuse boîte noire des ateliers interdits ("Skunkworks" en américain, littéralement "ateliers moufette") de chez Lockheed (je sais qui a travaillé là-dessus, messieurs dames), il y a des dispositifs de production d’énergie et de propulsion qui pourraient totalement remplacer tout le pétrole, le gaz et le charbon de la planète, et nos pauvres gars qui sont là-bas en train de se faire tuer. Vous savez, un ami de Jeb Bush, qui a apporté son soutien à ce qu’on est en train de faire, le genre de type qui est dans la finance, m’a dit en février 2003 (je crois que j’en ai parlé à Art Bell une fois, peut-être hors antenne, je ne suis pas sûr) - mais en février 2003, il a dit : "Vous savez, on ne trouvera pas d’armes de destruction massive en Irak." Et ça m’a sidéré. J’ai dit : "Qu’est-ce que vous voulez dire ?" Je veux dire que c’est ce que le bon sens dictait de tous les côtés, de chaque bord du Congrès comme d’un point de vue international. Et il
    dit comme ça : "Oh non. Ça n’a rien à voir avec ça. Il faut que nous libérions la deuxième plus grande réserve de pétrole avérée du monde, parce qu’avec la Chine qui s’industrialise et l’Inde qui s’industrialise aux rythmes de dix et de quinze pour cent par an, tout le monde se retrouve à la bourse des marchandises et il ne va pas y en avoir assez pour tout le monde, et on va voir les prix arriver à soixante et à cent dollars le baril de pétrole." J’ai ri, parce qu’à l’époque ils étaient aux alentours des vingt dollars, et il dit comme ça : "Non, c’est vraiment de ça dont il est question." Il dit : "Mais ça, on ne peut pas le dire."

    GN : Eh bien, il ne s’agissait pas que de ça, si -

    SG : C’est vraiment une tragédie, quand nous avons ces opérations mafieuses qui recèlent la solution.

    GN : Je suis d’accord, mais il ne s’agissait pas que de ça. C’était un double coup du sort. Je veux dire qu’il n’y a pas de doute que nous avions besoin et que nous voulions reprendre ces champs de pétrole, et en faisant tomber Saddam au passage, c’était deux trucs en même temps.

    SG : Ouais, c’est vrai.

    GN : On s’occupe de deux choses à la fois, et c’est ce qu’ils ont fait. Maintenant, dites-moi, si on revient environ un an et demi en arrière, quand vous étiez avec moi en janvier, vous parliez de - vous étiez très proche de découvrir le "saint graal" des énergies alternatives.

    SG : On en a vu une démonstration, ça c’est certain.

    GN : Qu’est-ce qui lui est arrivé ? Où est-elle, cette machine ?

    SG : [Petits rires] Eh bien, d’abord le type - c’est intéressant. Des gens venant de sociétés et de la justice ont intercepté ce type le jour avant - deux jours avant - on avait un jet privé moteurs en route pour aller le récupérer, lui, et cette technologie qui était à l’étranger, et ensuite, ils ont menacé de le mettre en prison et ils avaient toutes sortes de trucs, s’il n’arrêtait pas de coopérer avec nous pour la diffuser. C’était la pagaille la plus complète qu’on ait jamais vu. Je veux dire que vous pourriez écrire tout un livre là-dessus, mais c’est pratiquement l’archétype du genre de pagaille monstre qui a entouré toute cette question des nouvelles énergies. Je veux dire, n’importe qui qui a travaillé là-dedans plus ou moins longtemps, et vous savez, mon bon ami Gene Mallove…

    GN : Ouais, vous savez, j’allais juste vous posez la question là-dessus. Un meurtre qui n’a toujours pas été résolu, je pense.

    SG : Oui, Monsieur !  Et, eh bien, je rechigne toujours à faire part de ça, parce que je ne suis pas sûr…

    GN : Vous feriez aussi bien, vous nous avez fait part de tout le reste !

    SG : Eh bien, non, ce n’est pas le cas. Mon ami, je ne vous ai pas dit le dixième de ce que je pourrais vous dire, mais on en aurait pour toute la nuit. Voyez, un homme qui a un de ces dispositifs vraiment similaire à celui que nous avons vu à l’étranger, et au sujet duquel nous nous efforçons toujours de faire revenir cet inventeur aux Etats-Unis pour arriver à le terminer, qui travaille avec nous, avait donné les plans et avait tous les matériaux pour ça, et ils étaient dans la voiture de Gene Mallove quand il a été assassiné…

    GN : Hmm.

    SG : … Et quand ils ont bouclé le lieu du crime, ces trucs-là avaient disparu.

    GN : Ils avaient disparu.

    SG : Je suis actuellement en train de travailler avec cet homme. Il - nous l’encourageons à mettre ceux-ci en sécurité dans divers endroits. Gene ne disposait pas pour ce qu’il faisait de la sécurité dont nous disposons, que je n’évoquerai pas dans le détail sauf pour dire qu’elle est étendue et que c’est un niveau de sécurité du type "initié". Mais ça m’a embêté quand cet homme nous a envoyé cette lettre qui disait que ce truc-là était arrivé, et ses plans et ce sur quoi il travaille m’ont effectivement l’air d’être quelque chose de très solide. Nous espérons que dans les soixante jours à venir, il y en aura un qui sera fini et que nous serons en mesure de le tester, et il y a quelque chose de nouveau et de complètement enthousiasmant sur la côte ouest à propos d’un homme qui travaillait pour le projet Apollo (pas avec mon oncle, mais il le connaissait) qui a développé un moyen de collecter une résonance de type "champ magnétique". C’est un processus de type "surunitaire" et ils ont déjà un prototype construit qui produit cent kilowatts d’énergie libre et ça, c’est une avancée vraiment significative. On espère faire une visite de l’installation dans les trente prochains jours et apporter notre assistance pour que cette technologie soit diffusée, parce que c’est-là le type de technologie qui pourrait totalement remplacer le réseau électrique, et qui pourrait éventuellement être miniaturisée pour fournir du courant à des véhicules.

    GN : Il faut que je vous dise une chose, Steven, ça ferait une sacrée différence si nous pouvions tout simplement échapper à notre dépendance du pétrole étranger.

    SG : Oui. Si on pouvait tout simplement en économiser autant que ça, on serait dans un - on pourrait dire : "Vous savez, regardez, les gars (les cheiks là-bas au Moyen Orient). Vous pouvez avoir tout le pétrole que vous voulez. On n’en veut pas." [Tous deux rient]

    GN : Prenez ça et au revoir. Vous savez, amusez-vous bien, c’est fini pour vous.

    SG : Tu parles ! Je pense que c’est là - et tout le monde reconnaît que la question est cruciale. Vous savez, on est en train d’étendre - la CIA et d’autres agents ont étendu notre influence à l’Azerbaïdjan et à quelques-unes des anciennes républiques soviétiques pour obtenir des champs de pétrole. Ils sont en train de travailler durement à une tentative de rapprochement avec la Libye, parce qu’ils ont besoin qu’une plus grande partie de ce pétrole soit mise à la disposition du marché, et depuis qu’on a en quelque sorte eu ce rapprochement, il y a eu cette percée des grosses compagnies pétrolières américaines en Libye. Tout le monde sait que c’est un problème et que c’est une crise bien plus grave que tout le monde ne veut vraiment le reconnaître, parce qu’il ne veulent pas que les gens aient "peur". Mais même le gouvernement saoudien a dit cette semaine que les Etats-Unis avaient largement exagéré l’étendue des réserves saoudiennes en pétrole et que c’était considérablement inférieur à ce qu’on nous avait dit. Alors c’est quelque chose que - on a six milliards d’individus sur cette planète qui veulent vivre comme vous et moi. Vous savez, le Dr. Bearden, qui est un de mes bons amis, et moi, on a parlé de tout ça. Lui, il dit : "Ils veulent tous avoir des voitures et des réfrigérateurs, et manger et travailler."

    GN : C’est ça le problème. Ils commencent à rattraper le stade où nous nous trouvions il y  a, disons, vingt ou trente ans de ça et ils sont en train de commencer à utiliser des ressources qu’on pensait qu’ils n’utiliseraient jamais, et aujourd’hui ce sont tous les gens de cette planète qui les utilisent.

    SG : Exact. J’ai rencontré un homme à Washington qui travaille - son partenaire en affaires est l’homme le plus riche de Chine - et ils sont en train de construire mille cinq cent nouveaux villages. Ils sont en train d’essayer de calculer comment ils vont les électrifier sans totalement engloutir toutes les matières premières disponibles et causer une crise, et on a par conséquent parlé pendant un long moment, et il dit comme ça : "Vous savez, dès que vous serez en mesure de découvrir quelque chose de ce genre qui soit valable", il dit comme ça : "On a besoin de savoir ce qu’il en est, parce que c’est une situation désespérée qui n’est pas seulement propre aux Etats-Unis, c’est aussi un problème planétaire."

    GN : Quand nous reviendrons à l’antenne, Steven, dites-nous à quel point nous sommes proches d’une machine à énergie du point zéro et de sa mise sur le marché.

    [Pause publicitaire]

    GN : Bienvenue à nouveau sur Coast To Coast, c’est George Noory qui vous parle, avec le Dr. Steven Greer. Steven, je pense que si Nikola Tesla était toujours vivant, il ne serait pas impossible qu’on ait cette énergie libre quelque part autour de nous, vous ne croyez pas ?

    SG : Eh bien, effectivement, et quand Nikola Tesla était encore vivant, il avait, j’en suis quasiment certain, un de ces systèmes, et il n’a pas été autorisé. Ainsi, vous savez, Le Dr. Bearden et moi, on a rassemblé des documents sur une période qui va littéralement jusqu’aux années vingt, où les gens avaient fait des avancées considérables en ce qui concerne ces dispositifs électromagnétiques qui auraient pu, à l’époque, remplacer les besoins en pétrole et en carburants fossiles. Mais vous ne pouvez bien sûr pas mettre de compteur là-dessus ! Et je crois que c’est J. P. Morgan qui avait dit : "Eh bien, je ne veux pas quoi que ce soit qui ne puisse pas recevoir de compteur et qui ne soit pas payant."

    GN : Exactement ! Exactement.

    SG : Par conséquent, vous savez, le monde est tel que nous l’avons créé, que ce soit par laisser-faire, ou par manque de courage, ou par manque de leadership, ou quelle qu’en soit la raison, ou tout simplement de par cette bonne vieille cupidité humaine, mais nous en sommes aujourd’hui au point, dans notre évolution en tant que civilisation, où nous allons avoir à faire face à ces questions, et nous sommes malheureusement la génération qui est la dernière à recevoir cette patate chaude sur les genoux, et c’est nous qui allons devoir nous en occuper.

    GN : En admettant que les économies de la planète dépendent, disons, des revenus de l’énergie, est-ce que nous serions encore prêts à dépenser de l’argent pour ça ? Peut-être le même argent que nous sommes en train de dépenser aujourd’hui, juste en admettant que ce soit simplement un carburant alternatif ? Ou pensez-vous vraiment que ça devrait être presque gratuit ?

    SG : Eh bien, ça - ça sera libre au sens où le dispositif lui-même - par exemple, ceux que nous avons vus, comme celui que nous avons vu il y a un an et demi de ça qui a été enlevé, celui dont nous essayons encore de retrouver la piste pour le ramener dans ce pays, c’en était un que nous pouvions prendre pour le sortir sur le trottoir et le faire marcher. Il produisait des centaines de watts de courant à partir du - il faisait marcher des trucs vraiment utilitaires comme des ventilateurs et des appareils stéréo, des ampoules électrique et que sais-je encore. Maintenant, il n’y a évidemment pas de débit électrique que l’on puisse mesurer, mais le dispositif lui-même ne serait pas vendu pour rien. Mais les énormes voies de ravitaillement en carburant de plusieurs milliards de dollars, pour ainsi dire, ou l’électricité produite qui est distribuée à partir de centrales électriques - oui, ça, ça deviendrait superflu et inutile. Mais je rappelle aux gens que les ordinateurs ont remplacé les machines à écrire et que les voitures ont remplacé les voitures à cheval. C’est un gros problème, mais ce n’est pas insurmontable. Je pense que c’est une question de personnes décidant que tout ça doit arriver et qui l’introduirait progressivement et avec sagesse. Malheureusement - maintenant c’est moi qui vois ça comme ça. Un tas de gens disent : "Bon dieu, les trucs dont vous parlez sont vraiment futuristes." Moi, je dis : "Non, ce n’est pas futuriste. Ce sont des trucs qui auraient dû être révélés dans les années cinquante…"

    GN : C’est sûr.

    SG : …à l’époque où je suis né, et de fait, nous avons dévié pendant un demi-siècle de la voie d’évolution naturelle que notre civilisation aurait dû suivre. Et c’est pour ça que nous voyons l’environnement subir tant de dommages, qu’il y a tant de pauvreté dans notre civilisation, et ce genre de chaos et de folie, si vous voulez, ne cessera pas de s’aggraver tant que nous n’aurons finalement pas accepté le fait que ce type de changement doive bel et bien être géré, géré avec sagesse et fait de façon à ce qu’il soit le moins perturbateur possible. Mais vous voyez bien que plus nous attendons, moins il est probable qu’on en aura un où la transition pourra être facile. Je pense qu’on en est arrivé au point où on peut laisser tomber le "facile". Ça va être soit dur, soit catastrophique et il va falloir que nous choisissions si vous voulons encore gaspiller notre temps, et si nous voulons qu’au bout de ça survienne la catastrophe. Alors plus on attend, plus ce sera difficile, et au passage, vous avez posé la question de savoir pourquoi tant de ces gens s’étaient présentés. Ils savent que ces projets clandestins, beaucoup de ces gens de l’armée et qui viennent de sociétés sont assis sur ce genre de technologies, et j’ai eu un homme qui était assez vieux pour être mon père, ou mon grand-père, qui disait : "Vous savez, j’ai sincèrement…" (C’est ce qu’il disait) "… J’ai sincèrement cru que tout cela deviendrait public, que ce serait révélé dans les années soixante." Et je l’ai regardé et j’ai -

    GN : Et fonctionnant, probablement !

    SG : Oui, et au fur et à mesure que les décennies passaient, il a été de plus en plus consterné par le fait que nous en étions toujours à creuser au même point qu’avant, avec les guerres pour le pétrole et tout le reste. La question est par conséquent grave, et on ne peut vraiment pas parler de mythe à propos de l’existence de ces technologies. Il y a d’abondants documents scientifiques et des données qui concernent tout ça, et les gens disaient sans arrêt : "Eh bien, comment êtes-vous passé des OVNIs à l’énergie ?" Et moi je disais : "Eh bien, une des principales raisons du secret qui entoure les OVNIs, c’est que les systèmes de production d’énergie et de propulsion qui sont derrière ça n’utilisent clairement pas d’énergies fossiles ou d’énergie nucléaire. Ils utilisent des domaines de la physique entièrement nouveaux et révolutionnaires, qui feraient de cette planète un immense jardin de roses si nous étions capables de les utiliser pacifiquement et, voyez, c’est là que je pense finalement que ça représentera une grave crise spirituelle pour l’humanité, parce que ces technologies auront à être utilisées pacifiquement et - ou elles seront aussi destructives que n’importe quelle nouvelle technologie, et même si nous ne les laissons pas advenir, nous allons vers l’autodestruction avec les technologies actuelles. On est par conséquent dans une situation de crise où, d’une manière ou d’une autre, on aura en tant que peuple à décider de vivre en paix tous ensemble, et de la mise en commun de moyens internationaux pour avoir une paix applicable. Je pense malheureusement que cette paix sera pour quelques temps celle que procurent des chiens enchaînés.

    GN : Eh bien, que se passera-t-il -

    SG : Il y a tant d’humains qui sont prêts à se trancher la gorge pour les trucs les plus ridicules, mais -

    GN : C’est en train de devenir une calamité planétaire qui va tous nous plonger dans le même bain, c’est ça qui est triste. Vous savez, aujourd’hui-

    SG : [Rires] oui, il semblerait que les humains n’apprennent pas vite, n’est-ce
    pas ?

    GN : Vous savez, aujourd’hui, (et je ne suis pas un adepte des vaccinations) et les gens - j’ai reçu des e-mails de gens qui disaient : "Si un de mes amis meurt à cause de ce que vous avez dit sur un vaccin, je viens vous casser la gueule." Et je n’arrête pas de dire : "Attendez une minute ! Je n’ai pas dit à la moindre personne de ne pas se faire vacciner. Pas la moindre."

    SG : C’est vrai.

    GN : Je dis au gens que je ne me fais pas vacciner. Je ne me fais pas vacciner contre la grippe, et actuellement, vous ne pouvez de toute façon pas vous faire vacciner contre votre volonté.

    SG : Pas contre votre volonté, ouais.

    GN : Ils disaient en ce moment, des experts ont dit qu’ils prévoient qu’un milliard de gens pourraient mourir de la grippe sur cette planète, et je regarde ça en me disant que ça fait un sixième de la population mondiale. C’est impossible ! Il doit y avoir autour de nous quelque sinistre puissance qui veut supprimer un milliard de gens sur cette planète, parce que je ne vois pas la grippe faire ça. Je n’y crois
    pas !

    SG : Eh bien, le chiffre que j’ai en fait entendu était de quatre milliards, mais - et ça nous amène à des choses que la plupart des gens ne veulent pas que nous abordions.

    GN : Ouais, revenons-en maintenant à l’énergie et aux OVNIs.

    SG : D’accord, mais le fait est qu’il y a des gens qui ont des ordres du jour qui sont vraiment dingues. Je veux dire que c’est du genre "fin du monde", de  l’ordre de l’eschatologie, des trucs de cinglés, et il y a certaines personnes qui ont le sentiment, eh bien ! Vous savez, que si on n’a pas quelque chose comme ça qui arrive, on n’aura pas le retour du Christ sur une soucoupe volante ou quoi que ce soit d’autre. Le problème, c’est par conséquent que ça se rapporte à des perceptions erronées et, si on peut utiliser le terme d’"ignorance" ou que sais-je encore, et les superstitions qui nous ont mis dans la situation actuelle. Ce ne sera qu’à travers un certain degré de connaissances et d’éclaircissements, et de raison et…

    GN : Et de tragédie !

    SG : … De véritable, à mon avis de véritable spiritualité, en tant qu’opposé de la religiosité, parce que j’ai malheureusement découvert que religiosité et spiritualité sont inversement proportionnelles.

    GN : Vous croyez à la fin des temps ?

    SG : Eh bien, je crois que chaque jour est un temps qui se termine. Je veux dire que je crois que nous sommes dans un cycle. Voilà ce que je crois. Je crois que nous sommes à la fin d’un très long cycle d’évolution de l’humanité et au commencement d’un autre, alors quand les gens disent : "Oh, c’est la fin du monde !" Eh bien, c’est la fin d’une ère de notre civilisation et le commencement de toute une autre période.

    GN : C’est aussi ce que je crois. Je suis d’accord avec ça.

    SG : Et c’est là qu’on en est, et nous sommes à cette sorte de tournant crucial, ce point où tout est en train de basculer, et il faut que nous soyons pour ainsi dire les sages-femmes, si vous voulez, de cette espèce de nouveau bébé qui se présente, dont je crois, de la façon dont je vois ça, qu’il symbolise une civilisation qui connaîtra des centaines de milliers d’années d’existence pacifique, et que nous irons vraiment dans l’espace et deviendrons sur cette planète un peuple véritablement éclairé pour les milliers d’années à venir. Mais nous sommes également la génération qui doit en quelque sorte veiller à coucher dans la tombe cette vieille époque qui est à bout de souffle et qui tente de mourir. Il faut par conséquent que nous fassions les deux avec compassion - et je sais bien que je suis ici en train d’utiliser des analogies médicales, mais je suis médecin, je n’y peux rien. Mais je crois que c’est de cette façon qu’il faut que nous le voyions et ça devra être avec sagesse, avec compassion et amour, veiller à ce que l’une s’en aille le plus tranquillement possible - et ce n’est pas trop de le dire - mais aussi pas en arriver au point de nous faire sortir les yeux de la tête. Avec tous les trucs dont les gens parlent qui sont vraiment effroyables, et toutes les choses horribles qui sont en train de se passer, ce que je vois, et c’est ma propre vision des choses, ce sont des technologies et des connaissances qui se rejoignent en un point où la Terre pourrait véritablement être on ne peut plus belle, où il n’y aurait pas de manque ni de pauvreté, pas de pollution et une civilisation durable dont le futur s’étendrait sur des milliers d’années, et qu’avec ces technologies-là, on pourrait aller dans l’espace. Vous savez, Ben Rich, qui était à la tête des ateliers interdits de chez Lockheed, nous a dit avant de mourir, que nous avions déjà, cadenassées dans les tiroirs des projets hyper secrets de chez Lockheed, des technologies qui pourraient nous amener au-delà des étoiles plus rapidement qu’à la vitesse de la lumière, mais il disait : "Il faudrait une action divine pour que l’humanité puisse en bénéficier". Et il était très triste en disant ça. Alors maintenant, ce que je vois, c’est que ça finira par arriver et que nous sommes la génération, d’un côté, qui a pour ainsi dire un pied dans cette vieille époque qui est en quelque sorte en train de mourir - c’est dans ce sens-là que vous pouvez l’appeler "fin des temps" - mais également, que nous avons un pied dans cette autre époque que nous avons en perspective, vers laquelle nous sommes réellement en train de nous diriger très rapidement, et elle est véritablement en train de s’épanouir comme une fleur tout autour de nous de bien, bien des façons. J’ai par conséquent une vision optimiste à très long terme, mais je ne suis en même temps pas "béât" devant tout ça. Je pense qu’il faut que les gens se ressaisissent, travaillent ensemble, et essayent de faire en sorte que ça se fasse parce que ça ne va pas se faire comme par magie. Ça se fera par l’intermédiaire de gens qui s’uniront en vue de cette rude tâche.

    GN : Mais vous savez, avant que vous ne répariez la route, vous allez encore en perdre, des pneus, dans ces nids de poule.

    SG : Ouais, c’est vrai et -

    GN : Je veux dire que c’est ce qui va nous arriver -

    SG : - et des pneus, on en a déjà perdus, malheureusement.

    GN : - et je pense qu’il y a encore des tas de choses qui vont arriver, à ce propos-là.

    SG : Oui, c’est très probable.

    GN : Vous savez, les gens ne sont vraiment concernés que par deux ou trois trucs, Steven, quand on en vient à l’énergie et ça, c’est leurs maisons…

    SG : Oui.

    GN : … Et leurs voitures, et ces deux choses-là, il me semble qu’on pourrait très facilement y remédier. Je veux dire qu’on peux passer à un carburant alternatif pour les voitures. Ils sont juste en train de faire de la rétention à ce propos-là. Et je vois également le jour arriver (j’espère) où chaque maison aura son unité autonome, pas vous ?

    SG : Eh bien, celles que nous avons vues pourraient littéralement faire ça. En fait, celle que nous allons améliorer très rapidement, ici, qui produit plus d’une centaine de kilowatts, est trop grande pour une maison, mais elle pourrait être faite à plus petite échelle pour qu’on ait une unité adaptée à une maison, et chaque maison aurait ainsi sa propre source de courant. Vous n’auriez pas ces lignes électriques qui sont si laides.

    GN : Où est-ce que vous la mettriez ? Derrière la maison ou quelque chose comme
    ça ? A l’extérieur ?

    SG : Chaque système est différent. Ce système particulier pourrait en fait être dans votre cave et n’aurait pas du tout besoin d’être relié à l’environnement extérieur, et il est vraiment plutôt robuste. D’autres que j’ai vus auraient d’une certaine manière à être relié à l’extérieur. Il y a différents types, mais les solutions sont là et elles sont en train d’arriver. La SEAS - seaspower.com - est le site internet de notre société, et j’encourage tous ceux qui sont inventeurs autour de nous, et qui pensent disposer d’une avancée significative là-dessus, à nous contacter parce que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir, une fois que nous aurons testé et reproduit un système qui soit valable, pour le diffuser. Et vous savez, les gens disent : "Mais, vous ne serez pas menacé ?" Et je dis : "Eh bien, des menaces, ça fait quatorze ans que j’en ai." Et j’ai dit : "Pour être plutôt franc, il faudra qu’ils me collent dans un cercueil pour m’arrêter dans ce que je suis en train de faire." Et c’est vraiment ce que je pense, et tous ceux qui me connaissent savent que je suis sincère par rapport à ça. Par conséquent, il faudrait que tous ceux qui disposent de ça prennent contact avec nous par le biais du site internet de la société, seaspower.com. Mais pour la voiture, le système de propulsion pour les voitures, vous pouvez avoir des blocs d’alimentation basés sur ce même type de technologies qui seront relativement bien adaptés et pour lesquels, laissez tomber le carburant de substitution, vous n’auriez pas de carburant du tout et ça ferait marcher la voiture.

    GN : Quel est son principe de fonctionnement ? C’est comme un aimant, ou qu’est-ce qui se passe ?

    SG : A la base, eh bien, il y a différentes approches, vous savez, et si vous regardez - le Dr. Bearden est un type tellement génial. Il a sorti un livre qui a été publié l’année dernière, qui fait à peu près mille pages et qui s’appelle "Energy from the Vacuum" ("De l’énergie à partir du vide"). Je le recommande fortement aux gens qui veulent se plonger sérieusement là-dedans. Mais il y a autour de dix-huit ou dix-neuf différentes manières d’extraire cette énergie libre du vide quantique ou champ de l’énergie du point zéro, qui sont apparues au cours des années. Malheureusement, la plupart de ces systèmes sont soit confisqués, et ils sont perdus pour la postérité, soit les inventeurs sont assassinés ou menacés -

    GN : Est-ce qu’on les achète dans certains cas ?

    SG : Ouais, la plupart d’entre eux se font acheter. Je veux dire que j’ai parlé à un homme - j’ai un témoin qui a fait toute sa carrière aux Labos "Bell". Il a dit que pendant qu’il était là-bas, il y a eu vingt-huit ou vingt-neuf de ces systèmes vraiment novateurs, tout simplement trouvés par des inventeurs civils, que cette société avait rachetés et mis au placard.

    GN : Donnez-leur juste un chèque, et il n’y a plus personne.

    SG : Oui. Et tout ça dure bien sûr depuis très longtemps, et si on les aborde pour leur parler, par des sortes d’allusions, de ce type de représailles et de menaces au cas où ils ne coopéreraient pas, et de l’immense fortune qu’ils recevraient s’ils acceptaient de vendre ça pour que ce soit mis de côté. Maintenant, ce que je voudrais dire aux inventeurs, c’est : ne faites pas ça ! Nous avons besoin qu’elles soient -

    GN : C’est tentant pour eux, vous ne croyez pas ?

    SG : Bien sûr que c’est tentant et, pour être plutôt franc, je connais des types qui l’ont fait, je connais personnellement des types qui l’ont fait. Ce que j’ai dit aux gens, c’est que si quelqu’un m’offrait cent milliards de dollars, je lui montrerais la porte et je lui dirais que ça ne m’intéresse pas. Ce qui nous intéresse, c’est d’obtenir ces informations…

    GN : Allez, vous refuseriez de prendre un chèque de cent milliards de dollars, Steven ?

    SG : Oui, je refuserais.

    GN : Vous êtes un des derniers, alors.

    SG : Je refuserais absolument.

    GN : Je me demande combien de personnes refuseraient -

    SG : Vous pouvez faire analyser ma voix, je refuserais absolument, absolument. -

    GN : On fait analyser votre voix, d’accord ?

    SG : Vous pouvez me traîner jusqu’à un détecteur de mensonge. Aucune somme d’argent, et quelque soit le nombre de menaces. Et j’ai dit à un des principaux responsables d’émissions d’informations d’une des plus grosses chaînes, alors que je lui parlais de ça ; il dit comme ça : "Si vous disposez de l’un de ceux-ci et qu’il a été vérifié par quelques-uns de vos contacts universitaires, je vous invite à l’émission." Et il dit : "Mais, vous savez, il se pourrait - il se pourrait que vous soyez sous le coup d’un de ces décrets du gouvernement, un décret concernant la Sécurité Nationale, vous ordonnant de ne pas le faire." Et j’ai dit : "Ah ouais ? Eh bien, vous pouvez vous préparez à ce que je le déchire devant tout le monde, et peu m’importent les millions de téléspectateurs qui seront en train de regarder l’émission. Je le déchirerai.

    GN : Qu’est-ce qu’il faudrait pour avoir - pour vraiment avoir - cette énergie, et que ça fonctionne dans les maisons, dans les voitures, prête à l’emploi ?

    SG : Eh bien, je pense que ça nous relie à tout un tas de problèmes. Avant toute chose, il faut que vous ayez un système valable, qui soit construit, qui n’ait pas disparu ou été - ce que j’appelle le syndrome du "cassé-pour-toujours", où il est tombé en pièce détachées et vous ne pouvez plus en disposer. Par conséquent, une fois que nous en découvrons un de ce type, où l’inventeur a la volonté de suivre et de coopérer, ou au moins de le mettre à disposition et de le rendre public, la première chose que nous aurons à faire c’est de reproduire ça scientifiquement dans divers cadres où ce sera prouvé, où les scientifiques et les financiers, et les média verront que ce n’est pas un canular ou des foutaises. Il faut que vous fassiez vraiment bien les choses, il faut que vous soyez -

    GN : C’est sûr.

    SG : - scientifique. Une fois que nous aurons fait ça, notre intention est de faire des révélations massives à propos de cette technologie, je veux dire que ça ferait passer le Disclosure Project de 2001 pour une plaisanterie, et nous ferons ça de manière à ce que le public sache que ça existe, et ensuite nous le ferons passer par un stade accéléré de R & D [recherche et développement] pour le perfectionner et le mettre à la disposition du public. Je suis en ce moment en train de travailler avec une société qui a fait du High Tech de pointe et des adaptations rapides au point qu’en l’espace de six à neuf mois, il peuvent prendre un prototype et faire en sorte qu’il sorte à la chaîne par milliers, voire même par millions d’unités. Par conséquent, tout ça est faisable, mais il faut d’abord que vous ayez un système valable, que vous remédiiez à ses défauts, qu’il soit contrôlé indépendamment et reproductible de façon à ce que sa validité ne fasse aucun doute, et ensuite vous pouvez le faire passer par les étapes qui le mettront à la disposition du public. Mais bien avant qu’ils ne soient vendus au public, nous voudrions que ce public soit informé de tout ça. Je veux dire que si je suis à nouveau accueilli dans cette émission, je reviendrai dans votre émission en vous ayant déjà fait venir voir par vous-même qu’il fonctionnait. J’irai sur ABC, j’irai partout où il faudra pour dire : "Regardez, il faut que les gens sachent qu’il y a de la lumière au bout du tunnel, et en voici la preuve." Pour autant, nous n’avons pas eu quoi que ce soit qui me semble assez robuste pour l’exposer aux yeux du grand public sur ce mode-là. Mais nous pensons que ce n’est pas si éloigné que ça. Il y a quelques technologies vraiment prometteuses que nous examinerons cet automne et je suis d’un optimisme prudent quant à l’arrivée de tout ça. J’aurais aimé que tout ça soit déjà arrivé. Mais, hé ! Je ne peux pas tout contrôler. Il y a un tas de choses qui ont interféré avec tous ces progrès. Mais je pense en définitive que la manière la plus radicale pour être certain que ces technologies soient connues, c’est qu’une fois que vous les avez mises en sécurité et dupliquées dans des endroits sûrs, c’est d’avoir des millions et des millions de gens tout autour du monde qui sachent que ça existe, parce qu’à ce moment-là, le gouvernement ou ces groupes clandestins ne seront plus en mesure de le supprimer. Une fois que les gens sauront que ça existe, ils vont vouloir en disposer.

    GN : Absolument.

    SG : Le marché - vous savez quoi ? L’économiste qui est le bras droit d’Alan Greenspan m’a répondu, il y a quelques années de ça, alors que nous étions en train de parler de ça, que, elle a dit comme ça : "Vous savez, Dr. Greer. C’est le marché qui s’en chargera. Si vous pouvez arriver à le sortir et faire en sorte que ça soit prouvé, ça suivra à ce moment-là tout simplement -

    GN : C’est sûr.

    SG : - son cours." Mais vous savez, c’est d’en arriver là qui est difficile. En général, ces systèmes sont interceptés avant que le grand public n’en soit largement conscient, et ce que nous voulons par conséquent faire, c’est de le faire rapidement passer du stade de la découverte et de la vérification scientifique à la prise de conscience par le grand public, et vos auditeurs seraient à mon avis l’élément clé d’un tel processus, parce qu’avec internet et la radio et d’autres trucs, l’information peut très rapidement faire le tour du globe.

    GN : Comment le Disclosure Project est-il passé de la dissimulation sur les OVNIs à l’énergie du point zéro, et à l’énergie en général ?

    SG : J’ai suivi le domaine des nouvelles énergies parce qu’il est évident que ça implique la question des OVNIs. Quand le 11 septembre s’est produit, j’ai téléphoné, bien sûr, à ma femme, et à ma fille qui était dans le D.C. (District of Columbia) pour essayer de lui faire quitter la ville, et le troisième appel a été pour mon conseiller militaire et mon conseiller scientifique et, au fond, c’est surtout à eux que j’ai parlé. J’ai dit : "Vous savez quoi ? C’est le signe qu’il va falloir que nous nous passions au domaine de l’énergie, parce que c’est avec lui que tout ça est en rapport." Et c’est ça que je leur ai dit. Ça peut paraître quelque peu effrayant, mais ce sont littéralement les propos que j’ai tenus le 11 septembre, et en l’espace d’un mois, on avait créé seaspower.com, et c’est bien sûr depuis ce moment-là qu’on examine attentivement des systèmes et qu’on les teste parce que nous savions que le secret que cachaient les OVNIs était largement (pas totalement, je veux dire qu’il y avait aussi des causes religieuses et autres), mais alors largement centré autour de l’économie, du pouvoir géopolitique et de l’énergie, et que nous étions tout simplement allés trop loin en gardant ces trucs secrets, et ce qu’on a dit dans notre groupe, c’est : "Regardez, voilà maintenant la direction qu’il faut que nous prenions."

    GN : Très bien, restez avec nous, Steven. Nous serons de retour dans un instant pour encore une heure. Nous allons ouvrir le standard pour vous donner la possibilité de parler avec le Dr. Steven Greer et aussi, une chose que je voudrais vous demander, Steven, quand nous serons de retour, parce qu’il se pourrait que vous soyez au courant. Il y a tant de gens qui rapportent avoir vu cet immense objet en forme de triangle. On en voit partout. Pour la plupart d’entre eux, c’était à côté de bases militaires. Je voudrais avoir votre point de vue là-dessus. C’est une question que je n’ai jamais pu vous poser.
    C’est George Noory qui vous parle. Nous serons de retour avec vous et avec le Dr. Steven Greer dans un instant, ici même sur Coast To Coast A.M.


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    Version originale en anglais à:
    http://www.geocities.com/Area51/Hollow/4354/venus.htm
    Traduction José Frendelvel

    ------------------------------------------------------------

    DOSSIER TOP SECRET

    FORM INFRA D.I.P. PROJECT MARXEN UF088

    DOCUMENT OFFICIEL DU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES INTERPLANÉTAIRES /TRANS ENVATE/PROJECT MARXEN 
    informations incluses DE-CLASSIFIEES le 01 JANVIER 1989 INEREN CLEARANCE BY S. E. MAR 

    SUJET: OVNI ET RENCONTRES EXTRATERRESTRES RAPPORTEES A MAUI SUR L'ILE D'HAWAÏ. CLASSIFICATION DE JANVIER 1970 A DECEMBRE 1989.
    Anciennement TOP SECRET O.V.N.I., ENTITE BIOLOGIQUE EXTRATERRESTRE, et EXTRATERRESTRE.
    INFORMATIONS ET COMMUNICATIONS OFFICIELLES ENTRE CETTE AGENCE ET LES OFFICIELS, ANCIENS OU EN ACTIVITE, REPRESENTANT L'ORGANISATION DES NATIONS UNIES, LES AGENCES DE RENSEIGNEMENTS MILITAIRES, LE PROGRAMME SPATIAL DE LA NASA AINSI QUE LES RESEAUX ET COMITES CIVILS D'ETUDES SCIENTIFIQUES DES OVNIS ET LES DOSSIERS DE M.I.N.D. INTERNATIONAL.

    COMPILE PAR S.E. MAR, DIRECTEUR DU DEPARTEMENT DES AFFAIRES INTERPLANETAIRES DE JANVIER A MAI 1972 ET EN 1990.

     

    Version originale en anglais à:
    http://www.geocities.com/Area51/Hollow/4354/venus.htm
    Traduction José Frendelvel

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    DOSSIER TOP SECRET

    FORM INFRA D.I.P. PROJECT MARXEN UF088

    DOCUMENT OFFICIEL DU DÉPARTEMENT DES AFFAIRES INTERPLANÉTAIRES /TRANS ENVATE/PROJECT MARXEN 
    informations incluses DE-CLASSIFIEES le 01 JANVIER 1989 INEREN CLEARANCE BY S. E. MAR 

    SUJET: OVNI ET RENCONTRES EXTRATERRESTRES RAPPORTEES A MAUI SUR L'ILE D'HAWAÏ. CLASSIFICATION DE JANVIER 1970 A DECEMBRE 1989.
    Anciennement TOP SECRET O.V.N.I., ENTITE BIOLOGIQUE EXTRATERRESTRE, et EXTRATERRESTRE.
    INFORMATIONS ET COMMUNICATIONS OFFICIELLES ENTRE CETTE AGENCE ET LES OFFICIELS, ANCIENS OU EN ACTIVITE, REPRESENTANT L'ORGANISATION DES NATIONS UNIES, LES AGENCES DE RENSEIGNEMENTS MILITAIRES, LE PROGRAMME SPATIAL DE LA NASA AINSI QUE LES RESEAUX ET COMITES CIVILS D'ETUDES SCIENTIFIQUES DES OVNIS ET LES DOSSIERS DE M.I.N.D. INTERNATIONAL.

    COMPILE PAR S.E. MAR, DIRECTEUR DU DEPARTEMENT DES AFFAIRES INTERPLANETAIRES DE JANVIER A MAI 1972 ET EN 1990.

     

     

      

    Il est scientifiquement possible pour des êtres sur un plan matériel de vivre dans une atmosphère sur une autre planète qui serait trop chaude ou fatale chimiquement aux humains de la Terre, en construisant des bases souterraines ou des cités avec air-conditionné et protégées des éléments de la surface. Il est aussi tout à fait réalisable de créer, sur la surface d'autres planètes, des dômes avec une climatisation générant une atmosphère artificielle identique à celle de la Terre. Les scientifiques américains admettent qu'ils ont déjà la technologie et les plans pour créer ces bases sur Mars ou sur la Lune. Par conséquent, des extraterrestres possédant la technologie supérieure pour créer les OVNI en forme de disque qui sont détaillés dans des douzaines de photos et documents dans les fichiers du Projet Bluebook que l'U.S. Air Force a publiés, peuvent logiquement posséder la science avancée pour créer de telles bases sur la surface de Vénus.

    Les physiciens William Plummer et John Strong ont établi que Vénus pouvait avoir de grandes zones ayant des températures supportables. Les régions proches des pôles vénusiens nord et sud seraient beaucoup plus froides que les zones examinées par les sondes spatiales. En outre, selon le professeur Alexander Lebedinsky d'Union Soviétique, dans les données dissimulées par le complexe du Pentagone des Etats-Unis, la température usuelle de surface d'une bonne partie de Vénus doit être environ de 43 degrés Celsius, bien que les mesures "radio-électriques" aient indiquées 700 degrés ou plus. Des observations similaires peuvent être faites sur les surfaces relativement froides des tubes de gaz qui sont utilisés dans les enseignes au néon, parce que l'équivalent radio-électrique de ces tubes est effectivement de plusieurs centaines de degrés !

    Par ailleurs, des dauphins hautement intelligents, avec une capacité cérébrale plus grande que les humains, vivent sous l'eau dans un environnement qui nous tuerait rapidement, nous les humains, sans un équipement de plongée et un apport d'oxygène. Ces dauphins mourraient également en moins d'une demi-heure dans notre atmosphère, laquelle leur est mortelle ! Cela prouve que des créatures intelligentes, physiques, de chair et de sang, peuvent vivre dans un environnement qui nous tuerait et vice versa ! Donc, comment des soi-disant "experts" peuvent-ils affirmer que la vie intelligente ne peut absolument pas vivre dans un autre style d'atmosphère sur une planète différente ? De plus, à 2000 mètres sous l'océan, sous des pressions qui nous écraseraient instantanément sans un puissant équipement de plongée, des biologistes ont trouvé des crabes, des crevettes, des escargots, des vers vivants sous des températures de 275 degrés Celsius ainsi que des grands vers vivants dans des substances chimiques toxiques sortant des cheminées éruptives du fond de la mer. Ces créatures se nourrissent de produits chimiques mortels pour le vivant (Honolulu Advertiser newspaper, juin 1990) ! Cette découverte prouve que chaleur, pression et substances chimiques qui nous tueraient sont parfaitement vivables à certains types d'êtres physiques. Donc pourquoi des créatures ne pourraient pas vivre sur la surface de Vénus, là où les officiels du programme spatial de la NASA qui ont trompé le public sur la vérité des vaisseaux interplanétaires, racontent au public que c'est trop chaud pour la vie physique avec une atmosphère trop dense et des gaz dangereux ?

    Pourquoi de nombreuses sondes américaines en orbite transmettent des données que la Terre elle-même est trop chaude pour la vie humaine avec une atmosphère mortelle, une insuffisance d'oxygène, des éléments hostiles, et ensuite ils nous demandent de croire que leurs données des sondes vénusiennes sont précises ? Des températures de 1000 degrés ont été enregistrées dans l'ionosphère de la Terre à 300 kilomètres d'altitude. Se pourrait-il que la température officielle de la NASA lue sur Vénus soit domiciliée dans l'ionosphère vénusienne.

    Les températures données au public à partir des sondes vénusiennes soviétiques et américaines sont en contradictions les unes des autres de plusieurs centaines de degrés, tout comme les températures données par différentes sondes américaines sur Vénus sont également contradictoires. Tout cela prouve que cette donnée est très sujette à caution. Si un satellite orbitant la Terre renvoie une mesure de température de l'Alaska aussi contradictoire que les données de Vénus, on pourrait dire qu'il y avait là-bas 100 degrés dans la glace !

    On nous a dit que l'atmosphère de Vénus est au moins 100 fois plus dense que sur Terre, donc comment serait-il possible d'utiliser un parachute pour ralentir l'atterrissage d'un vaisseau sur Vénus, lorsque dans des pressions de cette importance, l'engin spatial descendrait lentement à la surface sans le besoin d'un parachute, comme des bateaux sombrant dans un océan ? Cette pression est comme d'essayer de parachuter le vaisseau à 600 mètres au fond de l'océan ! Pourquoi également la NASA contredit-elle ces affirmations en déclarant qu'un parachute ne fonctionnerait pas sur la lune Titan, parce que là-bas l'atmosphère (similaire à Vénus) est trop dense (juste comme Vénus). Cette information a été publié dans la presse le 12 décembre 1980 avec l'expert spatial James Murphy.

    Lorsque les soviétiques ont posé leur sonde Vénéra sur la surface de Vénus, celle-ci a envoyé d'excellentes photographies montrant un panorama clair de collines et rochers, ressemblant beaucoup à nos déserts sur Terre alors qu'on s'attendait qu'une atmosphère de cette densité produise des photos d'une totale obscurité. Comment Vénus a-t-elle pu être cartographiée par les radars dans une telle densité d'atmosphère, l'équivalent de l'utilisation du radar pour cartographier le fond de nos océans à une profondeur qui est impossible ?

    Des scientifiques canadiens contactent Vénus
    Projet gouvernemental

    En janvier 1972, le Département des Affaires Interplanétaires fut créé dans un objectif de recherche et d'investigation scientifique des OVNI ainsi que pour tenter de contacter des occupants d'OVNI si possible. Des dossiers importants sur les rapports d'atterrissages d'OVNI, d'observations et contacts à Hawaï ont été aussitôt accumulés. On s’est aperçu que beaucoup de chercheurs ufologues désiraient nos rapports et on a commencé à échanger des informations. On a été étonné lorsque des anciens officiels du gouvernement secret et des agences des services de renseignements militaires sont venus à notre bureau en nous offrant d'échanger ce qu'ILS SAVAIENT contre ce que nous savions. L'information était souvent classée TOP SECRET et au-delà. Ils admettaient le secret gouvernemental et militaire concernant les OVNI ; beaucoup d’informations nous ont alors alarmé ! Qu'ils viennent de la NASA, qu'ils soient des scientifiques civils commissionnés du gouvernement, des pilotes militaires agents des services secrets, ou des Nations unies, ILS ONT TOUS RACONTE LES MEMES DETAILS AHURISSANTS. Il n'y avait pas de contradiction dans ces rapports à propos de bases aliens sur Terre, sur d'autres planètes, de soucoupes volantes crashées et récupérées avec des corps et des contacts secrets gouvernement-alien. Par ailleurs, la plupart de ces informateurs, qui souhaitaient rester anonymes à cause des menaces d'assassinat, amendes, procès, ou disparitions mystérieuses, nous ont prévenu que nous pourrions avoir de gros ennuis si nous révélions publiquement ce qu'ils nous ont dit !

    Au début des années cinquante, le gouvernement canadien a mis en place le PROJECT MAGNET [Projet Aimant] pour l'étude des OVNI. Le directeur de ce projet, Wilburt B. Smith, a écrit publiquement qu'un officiel très haut placé du Pentagone US a dit que les OVNI étaient le plus grand secret qu'ils avaient, même plus grand que celui de la bombe-H (l'arme ultime de l'époque). Il nous a été possible d'obtenir une copie de la recherche de Wilburt B. Smith sur le Project Magnet.

    Cette recherche était si alarmante que Smith aurait pu vraisemblablement être assassiné s'il la publiait, aussi elle ne nous a pas été disponible jusqu'à sa mort. Le « PROJECT MAGNET » a pu fonctionné avec des scientifiques canadiens qui avaient continué à travailler sur les inventions de Nikola Tesla, l'un des plus éminents scientifiques de l'histoire. Tesla, qui a inventé le courant électrique alternatif/continu, qui a aidé l'invention du radar et de nombreuses technologies militaires, était l'auteur de centaines d'inventions fructueuses brevetées. Il avait dit à certains de ses associés et amis qu'il avait inventé un système de communication interplanétaire grâce à des idées qui lui avaient été données par des Vénusiens.

    Le « PROJECT MAGNET » a pris Tesla au sérieux. Ce rapport détaille un site expérimental d'atterrissage d'OVNI complètement secret construit par le gouvernement canadien durant leurs tentatives de contacter les OVNI que leurs forces aériennes avaient détecté dans le ciel. L'ex-ministre de la défense canadienne, Paul Hellyear, a admis publiquement plus tard que ce projet a existé. Cependant, il n'a pas mentionné ce que Smith a rapporté. Le projet avait en fait détecté un OVNI réel grâce à leur équipement scientifique. Plus tard, un groupe de recherche scientifique qu'il a dirigé, a établi des communications avec un vaisseau interplanétaire posé au sol qui était, selon ses pilotes, de Vénus. Arthur Matthews, qui a été à une époque l'assistant scientifique le plus proche de Tesla, était impliqué dans ce contact. Le Project Magnet rapporte en plus que, alors que Matthews était en train de parachever certaines inventions incomplètes de Tesla, les Vénusiens l'ont aidé avec des instructions pour finir ce travail. Le rapport énonce également plusieurs inventions que les Vénusiens ont données au Project Magnet par le biais du comité du Dr. Matthews, lesquelles ont été testées et ont fonctionné à la perfection. Les Vénusiens se sentaient également sérieusement concernés par la dégradation de notre environnement ainsi que par les dangers des énergies fossiles et des tests nucléaires. Ils ont alarmé le gouvernement pour essayer d'arrêter ces pratiques. Ils ont offert des systèmes d'énergie alternative non polluante et pratiquement gratuite que les leaders du gouvernement, qui conservent le pouvoir grâce aux multi-milliards de dollars du pétrole, du gaz, du charbon et des industries de guerre, ont tous rejeté pour "raisons économiques".

    Des Vénusiens contactent des scientifiques

    Un vaisseau interplanétaire de Vénus est descendu au dessus du laboratoire scientifique, l'alarme de détection Tesla a résonné, puis l'atterrissage a eu lieu. Arthur Matthews est sorti pour regarder cet incroyable vaisseau spatial. Deux êtres sont sortis à l'extérieur du vaisseau et se sont dirigés vers le scientifique. Il a noté qu'ils avaient une taille d'environ 1,80 mètre, il pouvait discerner leurs cheveux dorés et leurs yeux bleus lumineux dans la clarté des étoiles. Il émanait d'eux une aura de bonheur et de santé parfaite. Il pouvait ressentir une vibration irrésistible de bonté en provenance des Vénusiens. Les hommes de l'espace ont alors dit à Matthews qu'ils venaient jeter un coup d’oeil sur la machine à rayons cosmiques de Tesla dont il était en train de poursuivre le développement. Après un dialogue d'échange scientifique, Matthews a accepté une visite du vaisseau, lequel avait un anneau métallique distant d'environ 6 mètres du corps central métallique et n'était connecté au corps du vaisseau par aucun système visible, mais plutôt par magnétisme. Ce vaisseau avait environ 210 mètres de diamètre et environ 90 mètres de haut. Il n'y avait aucun système de contrôle visible dans la salle de contrôle. Au centre il y avait une grande plate-forme circulaire avec une zone équipée de sièges. Quatre Vénusiens y étaient assis avec leurs dos tournés vers le centre et faisant face respectivement au nord, au sud, à l'est et à l'ouest.

    Ces pilotes étaient spécialement choisis pour leur puissance d'esprit sur la matière et ils faisaient fonctionner le vaisseau par le contrôle de la pensée, ce qui théoriquement peut être accompli en projetant les ondes du cerveau dans un ordinateur qui régit le fonctionnement du vaisseau. Deux de ces pilotes étaient des femmes et il a rencontré une vénusienne d'une beauté sans âge qui avait de longs cheveux dorés, une belle peau bronzée de soleil, un beau visage indescriptible reflétant une profonde paix intérieure et un bonheur suprême ainsi que des yeux bleus de saphir miroitant d’où émanait une sagesse cosmique. Par elle, il a beaucoup appris à propos de la vie sur Vénus.

    Avant que nous détaillons la vie sur Vénus dans une section ultérieure de cette étude, on aimerait faire remarquer que cette information ne provient pas d'un adepte planant pur et dur et aux yeux égarés, ou bien d'un fanatique cherchant des frères de l'espace pour le sauver, ou encore d'un dépravé saoul ou drogué. Cette information a été écrite par l'un des plus grands scientifiques du 20ème siècle, Wilburt B. Smith, qui était directeur du Project Magnet, le comité d'étude scientifique des OVNI du gouvernement canadien. Cet éminent scientifique était extrêmement respecté, crédité de nombreuses inventions technologiques, avait une excellente réputation publique et possédait de prestigieux diplômes, prix et brevets d'inventions. On peut dire que Smith était le plus grand scientifique canadien de son temps, tout comme on peut dire que Tesla et Einstein furent les deux plus grands scientifiques de leur époque, au regard de l'évidence des inventions brevetées.

    On aimerait aussi souligner que les détails de Vénus et de son peuple dans ce rapport ne contredisent en aucune façon les détails que nous avons obtenu depuis des sources totalement différentes.

    Description de Vénus

    Le scientifique canadien a ensuite fait une excursion sur la planète Vénus. Il s'est retrouvé sur Vénus debout près de grands piliers de basalte parfaitement polis. Une chute d'eau considérable tombait d'une falaise noire d'ébène de plusieurs centaines de mètres de hauteur. Les rives étaient d'une belle eau écumante, alors que le lac central était une masse parfaitement lisse ressemblant à un dôme de verre multi-coloré. Ce n'était pas de l'eau comme nous la connaissons, car des réflexions de lumière de toutes les couleurs imaginables recouvraient la surface brillante du dôme d'eau, se transformant en arc-en-ciel de couleurs. Elles se mélangeaient en paillettes vertes, roses et violettes. Tout ce décor de splendeur aboutissait à une large étendue d'herbe verte émeraude, parsemée ici et là de palmiers gracieux aux feuilles miroitantes de gouttes d'eau comme des diamants.

    Dans le ciel vénusien, au dessus de la chute d'eau, il y avait une boule de cristal transparente. Elle ressemblait à une énorme bulle de savon aux couleurs d'arc-en-ciel. Autour du centre du vaisseau il y avait une bande de métal d'or et aux pôles il y avait des projections d'or. Autour de la bande dorée se trouvait les fenêtres. (Note: Onec a décrit aussi un voyage dans ces vaisseaux bulles dans son livre "From Venus I Came" [De Vénus je viens])

    La campagne, aux apparences d'un joli parc, s'étalait plus loin. Une montagne coiffée de neige s'élevait et une grande rivière s'étirait dans l'arrière plan. Plus tard Mathews est entré dans une cité vénusienne. Les bâtiments avaient des toits ellipsoïdaux en prisme de cristal sur des colonnades circulaires de piliers de marbre. Entre les constructions c'était un paradis de végétation verte. Au dessus des maisons de cristal de couleur il y avait des vaisseaux multi-colorés transparents. En haut des colonnes de basalte, longeant une rivière majestueuse, des groupes de Vénusiens se tenaient gracieusement sur les falaises. A un niveau plus haut, il y avait une grande construction avec un dôme en prisme de cristal de couleur qui servait de lieu de réunion sur Vénus.

    Il y avait une vaste avenue de palmiers majestueux qui menait au grand hall des assemblées, avec un grand amphithéâtre entouré de gradins et de sièges de marbre. Un lac circulaire était rempli d'eau colorée qui était suspendue en l'air de sorte que vous pouviez marcher en dessous.

    Dans le Palais de la Vérité les Vénusiens expliquaient comment ils avaient transformé leur planète en un paradis d'abondance agricole, de contrôle climatique, de prévention des désastres naturels, de la sorte qu’ils menaient une vie de parfait confort.

    L'intérieur des vaisseaux était divisé en différents niveaux, le niveau inférieur contenait 24 vaisseaux éclaireurs, des véhicules de surfaces et des équipements. Le second niveau contenait des jardins, des zones de séjour, des salles de distractions, des aires d'études, ainsi qu’un hall de réunion. Le plancher était couvert d'une sorte de substance souple comme du plastique tandis que les murs étaient ornés de beaux tableaux. Les Vénusiens faisaient pousser leurs fruits et légumes frais dans le vaisseau en utilisant une énergie solaire. Une paroi transparente permettait aux voyageurs d'avoir une vue complète de l'espace.

    L'armée et le secret de l'atterrissage d'un vaisseau vénusien à Oahu.

    En 1972 il y a eu des centaines de rapports de vaisseaux volants au dessus de Maui, d’atterrissages dans les zones reculées de l'île ainsi que quelques contacts. Nous avons mis en place le bureau du Département des Affaires Interplanétaires, à Lahaina, pour étudier ces rapports et tenter de contacter ces visiteurs. Ceci afin de glaner de l'information avancée pour résoudre les problèmes mondiaux et comment évoluer. Plusieurs témoins ont rapporté avoir vu des vaisseaux en forme de soucoupe avec des dômes et des hublots, similaires aux photos d'OVNI supposés de type vénusien prises par des personnes en Angleterre et en Amérique, les convainquant ainsi que ces photos dans nos dossiers n'étaient pas truquées. D'autres témoins ont rapportés avoir vu un vaisseau en forme de cigare allongé larguant un vaisseau éclaireur plus petit au dessus du Cratère Haleaka et stationnant au dessus d'autres parties d'Hawaï ensuite, ce qui corroborait les descriptions que nous avons maintenant par Onec.

    Cette année là on a reçu certaines informations incroyables du Sergent Willard Wannall, lequel a servi dans les services de renseignements de l'armée à Oahu dans les années cinquante alors qu'il enquêtait sur les OVNI. Il a affirmé avoir connaissance du secret officiel OVNI du gouvernement et cela incluait des visiteurs de Vénus. On a rencontré cet homme deux fois et on a échangé des informations sur les recherches OVNI et E.T. Il nous a mis en garde à propos de tous les hommes qui ont été assassinés et réduits au silence d'une manière ou d'une autre, par les autorités militaires, pour avoir trop parlé au sujet de l'activité OVNI secrète. Il nous a semblé avoir été quelque peu réduit au silence lui-même, après avoir été sévèrement harassé par l'armée pour ses recherches et ses contacts. Aujourd'hui Wannall n'a pas encore fait de présentation publique de sa recherche stupéfiante et de ses contacts, il nous a prévenu de faire attention avec la nôtre.

    Wannall a raconté comment, par deux fois, il a été contacté et pris à bord d'un vaisseau ayant atterri dans des zones boisées reculées à Oahu. Après un de ces contacts, qu'il a détaillé dans un long rapport écrit que j'ai dans mes dossiers, Wannall a établi qu'il avait été emmené à Retz, la cité capitale de Vénus, à des fins d'enseignements. Il a rapporté qu'il avait atterri dans un Centre Energie situé sur la surface de la planète dans une structure qui comportait de nombreuses pièces, dont la plupart étaient circulaires. Cet édifice était la partie centrale d'une Métropole chatoyante composée entièrement de bâtiments en forme de dôme et disposés en une structure circulaire. L'aspect translucide des bâtiments et l'agréable effet de modelé étaient créés spontanément en isolant des sections d'énergie-lumière, puis en ajustant le taux vibratoire de cette zone spécifique. Le matériau radiant qui en résultait donnait l'impression que le bâtiment était en mouvement, bien qu'il était solide au toucher. Ces bâtiments ne pouvaient être "démantelés" que par une modification de la relativité du temps dans la fréquence vibratoire fixé, ainsi le matériau énergie retournait aux forces cosmiques. La plupart des objets sur Vénus étaient amenés sur le plan de la manifestation par ce procédé. Il a décrit toutes les belles peintures sur les murs intérieures, principalement des paysages, avec beaucoup de NOUVELLES nuances de luminosité inhabituelles joliment mêlées. Il y avait une profusion de fleurs aux senteurs plaisantes avec de belles musiques. Les Vénusiens qui étaient là portaient de longues robes amples et seyantes, ils ne semblaient pas très différents des humains de la Terre, par contre tout paraissait en harmonie.

    On nous a montré des photos incroyablement nettes et détaillées d'énormes vaisseaux argentés au-delà de notre atmosphère. Farida Iskiovet, qui enquêtait alors sur les OVNI pour le Président de l'Assemblée Générale des Nations unies, m'a dit que l'expérience de Wannall était vraie.

    En 1973 nous avons rencontré le Dr. Frank Stranges, Directeur du Comité d'Enquête National sur les Objets Volants Non-Identifiés, qui était également un membre de notre Département des Affaires Interplanétaires. Il a rapporté des détails sur comment il a été contacté par un diplomate vénusien au Pentagone en 1959, Val Thor, qui avait atterri avec un vaisseau à l'extérieur de Washington D.C., pour rencontrer le Président Eisenhower. Ultérieurement, le Dr. Stranges a déclaré qu'il y avait eu plus tard une rencontre avec feu le sénateur Robert Kennedy. Farida Iskiovet était totalement convaincue de la réalité de Val Thor et de ces contacts. Il y a eu une rencontre qui avait été proposée entre le diplomate des Nations unies et le Vénusien, dont nous n'avons jamais reçu de détails.

    Une Vénusienne débarque

    Le 11 mai 1991, l'une des plus incroyables nouvelles du siècle est apparue dans les principaux journaux des Etats-Unis. Dans la sérieuse et factuelle section des actualités générales du quotidien HONOLULU ADVERTISER, il y avait un article intitulé "LA CONFERENCE OVNI A UN INTERLOCUTEUR DE VENUS". Il déclarait en outre : "Omnec Onec, qui est arrivée de Chicago, parle de sa vie sur sa planète natale Vénus qui n'est pas tant que ça différente de la vie sur Terre. Ici c'est comme un désert. C'est étonnant à quel point l'espèce humaine est adaptable". L'article continuait, "Onec, l'un des 30 orateurs à la Conférence Mondiale OVNI a atterri ici ce mois-ci. Onec qui dans sa vie sur Terre demeure à Chicago et est connue en tant que Sheila Gipson, a dit qu'elle est originaire de Teutonia sur Vénus".

    En tant que directeur du Département des Affaires Interplanétaires, j'étais déjà familier avec cette présumée femme vénusienne puisque je lui avais déjà parlé personnellement au téléphone. Elle racontait qu'elle était née sur Vénus et qu'elle avait été préparée et éduquée depuis 8 ans pour sa mission sur Terre. Puis elle est a embarqué depuis la cité physique de Retz, qui est la capitale de Vénus, dans un vaisseau en forme de soucoupe. Onec a décrit Retz comme un port spatial entouré d'un désert chaud et sec qui ressemble au désert du sud-ouest des Etats-Unis. Elle a mentionné qu'elle est montée à bord d'un vaisseau interplanétaire en forme de long cylindre orbitant Vénus. Elle a aussi décrit en détails le vol vers la Terre où elle est sortie dans un vaisseau plus petit en forme de disque pour atterrir dans les hauteurs des montagnes himalayennes du Tibet. Là où il lui serait plus facile de s'ajuster à la Terre sans le choc culturel et l'inconfort atmosphérique. Leurs corps ressemblent à des êtres humains exceptionnellement attrayants, mais en apparence seulement car ils sont beaucoup plus lumineux, moins denses, avec une consistance moléculaire et une fréquence différente de celles de nos corps terrestres. Ce qui fait que notre atmosphère est dangereuse pour les Vénusiens tout comme leur atmosphère est mortelle pour nos formes. Par conséquent, Onec a dû subir une sorte de transformation de densité physique par certaines technologies avant qu'elle puisse débarquer sur Terre.

    Onec a écrit qu'elle a étudié la culture de la Terre qui est si primitive, si violente et si polluée comparée à celle de Vénus, qu'il était difficile de s'y adapter. Elle a trouvé qu'il était très difficile de s'habituer à marcher dans notre étrange atmosphère, à respirer notre air, et manger nos nourritures dégueulasses !

    Nos étranges nourritures avaient mauvais goût comparé à ce à quoi elle était habituée et, dans notre atmosphère, elle ressentait son corps comme encombrant, lourd et inconfortable. Elle a étudié notre planète avec des maîtres spirituels dans un monastère du Tibet durant quelques semaines, avant de monter à bord d'un vaisseau et de voler vers le Névada où ils ont atterri dans le désert au milieu d'une nuit en 1955. Après qu'elle ait quitté la soucoupe dans un paysage ressemblant à la zone de Retz, elle a retrouvé un Vénusien et un autre extraterrestre au volant d’une automobile neuve de marque Cadillac qui l'ont conduite à Tennessee pour être progressivement conditionnée à notre civilisation retardée. Elle a trouvé le déplacement de la voiture chaotique et ses fumées polluantes, presque insupportable, comparé aux véhicules vénusiens silencieux et non-polluants. Onec a fait connaissance avec les restaurants, la nourriture américaine et les gens qui lui ont paru grossiers. Elle devait garder ses origines secrètes et vivre incognito parmi les gens de la Terre. Elle a adopté le nom de Sheila pour s'intégrer sur Terre et elle a été éduquée par une femme dans le Tennessee sous d'étranges relations diplomatiques dont on n'a pas la place de détailler ici. Sa mission sur Terre était la plupart du temps de rester discrète dans les coulisses jusqu'à cette année avec la publication d'un livre qu'elle a dicté au sujet de l'histoire de Vénus. Cet ouvrage expose comment chaque problème que l’on connaît sur Terre aujourd'hui est un problème que Vénus a autrefois connu et résolu. On peut apprendre beaucoup d'eux et de leur façon de vivre. J'ai demandé la permission à Onec d'utiliser certaines de ses informations dans mes conférences publiques sur les OVNI à Maui et elle m'a donné son consentement. Roméo et Dean, deux membres de l'agence « Xian International » qui gère le département des Affaires Interplanétaires, ont rencontré Onec.

    Un échange d'information a résulté de ces rencontres ainsi que des conseils que nous utilisons pour planifier le futur. Elle les a convaincu également au-delà du doute qu'elle est vraiment de Vénus. Onec a aussi convaincu Mark Huber, un ancien Commandant dans les services de renseignements de la Marine et un expert de premier plan sur le secret OVNI, qui fourni des dossiers secrets d'OVNI au Département des Affaires Interplanétaires, qu’elle est vraiment une Vénusienne.

    Brad Steiger, l'une des autorités mondiales de premier plan sur les OVNI et auteur de nombreux livres célèbres sur les OVNI et les E.T. a également rencontré Onec. Il a écrit qu'elle affirme être l'un des milliers d'extraterrestres vivant maintenant sur Terre. Elle dit que des scientifiques, des docteurs, des éducateurs, des artistes, des ingénieurs ainsi que des citoyens ordinaires vivent et travaillent secrètement parmi les gens de la Terre. Steiger qui a donné beaucoup de conférences publiques sur les OVNI, l'a décrite ayant de grands yeux bleus brillants, des cheveux platines, des manières charmantes et des robes diaphanes. On a des photos d'elle dans nos dossiers. Et elle semble bien plus jeune que son âge devrait laisser paraître si elle a atterri ici en 1955.

    En 1972, le département des Affaires Interplanétaires a reçu un livre rare et épuisé intitulé "The Venusian Secret Science [La science secrète vénusienne]", qui décrivait les sciences cosmiques de Vénus, l’aspect de leur planète, leur système de culture et croyances, leur apparence et habillement ainsi que leur mission sur notre planète. La plupart de l'information était si différente de tout ce qu'on nous avions jamais lu jusque-là, que cela nous a impressionné comme des données ufoligiques étonnamment originales. Plus tard on a comparé cette connaissance avec l'information d'Onec, la femme vénusienne, ainsi qu'avec le rapport canadien du Project Magnet et les infos du Sergent Willard Wannall. Finalement on a trouvé beaucoup de similarités mais aucune contradiction !

    Un Vénusien à Maui ?

    La méthode de communication interplanétaire implique l'utilisation d'un cristal appelé un Telolith, une forme de télépathie pour les communications interdimensionnelles nommée télépensée, ainsi qu’un symbole vénusien que nous avions brodé sur nos vêtements (on l'a d’ailleurs peint dans nos bureaux et sur le toit de notre voiture). Incroyablement, tous les Xiens et notre personnel ayant utilisé cette association, ont rapporté avoir vu des objets volants qu'ils ont pensé être des vaisseaux ; certains ont raconté avoir eu des contacts télépathiques !

    "The Venusian Secret Science" a été écrit par Michael X. (Barton) de Californie. Cet auteur a rapporté que l'information venait d'un vaisseau vénusien avec lequel il a eu un contact dans les années cinquante au milieu des collines derrière Santa Barbara. Il a décrit le pilote comme étant de grande taille et portant un uniforme d'une pièce unique. Son visage était celui d'un homme extraordinairement intelligent, rayonnant une force masculine et un air décidé, mais qui exprimait aussi une qualité de paix intérieure, une bienveillance et de la compassion. Le Vénusien avait de longs cheveux dorés, des yeux bleus clairs qui brillaient comme des bijoux précieux et sa peau était agréablement bronzée. Il reflétait la santé parfaite. La profondeur du regard du vénusien donnait à Barton l'impression de regarder dans un océan profond et de voir l'univers entier.

    Une belle femme vénusienne est alors sortie du vaisseau. Elle avait de longs cheveux blonds dorés, une belle peau bronzée de soleil et des yeux violets avec des éclats d'or. Sa silhouette était joliment proportionnée et elle portait une ceinture dorée autour de la taille. Ses chaussures étaient d'une matière souple, tressée et dorée.

    Cette narration m'a rappelé les anciens écrits en hiéroglyphes dans le Temple du Soleil, à Tiahuanaco dans les Andes, décrivant comment un vaisseau doré en provenance de Vénus avait atterri là dans des temps reculés. Les anciens écrits disent comment une belle femme vénusienne, Oréjona, est sortie du vaisseau et a enseigné aux anciens les bases de l'agriculture ainsi que le savoir-faire pour démarrer une civilisation. Les Vénusiens sont venus sur Terre dans les temps anciens pour enseigner l'agriculture, les textiles, l'exploitation minière, l'architecture et d'autres compétences, selon des histoires écrites laissées par les Babyloniens, les Sumériens, les Égyptiens, les Phéniciens, les Chaldéens, les Mayas, les Aztèques, les Ariens, les Assyriens, tout comme les habitants de l'ancienne Inde et du Tibet. Pourquoi ne croirions nous pas ces anciens écrits comme ces personnes l'ont certainement fait aussi !

    Barton a rapporté que les Vénusiens qu'il a rencontré portaient le même symbole sur leurs combinaisons spatiales, un symbole de communications interplanétaires, que les Xiens utilisaient maintenant pour essayer de contacter les êtres de l'espace. J'ai décidé de broder le symbole sur un tee-shirt avec des symboles vénusiens en rapport en-dessous et d'utiliser les cristaux Telolith ainsi que la télépathie télépensée pour tenter d'entrer en contact avec les Vénusiens. Au début j'étais très sceptique. Cependant, immédiatement, j'ai commencé à voir des OVNI que je n'ai pas pu identifier.

    Un matin de bonne heure à Lahaina, après une nuit presque blanche à lire "The Venusian Secret Science", j'étais assis seul sur un banc au bord de la mer, quand un mystérieux étranger s'est approché lentement et s'est assis juste à côté de moi. Il est resté assis durant plusieurs minutes ne disant rien. J’ai commencé à être un peu mal à l'aise, aussi je me suis tourné pour regarder cette personne. Il avait des cheveux blonds mi-longs avec une teinte de doré, des yeux bleus clairs profonds et il était exceptionnellement beau.

    Je ne me souviens pas les mots exacts dans les conversations suivantes, cela a du être quelque chose comme ça au mieux de ma mémoire. J'ai dit "bonjour", il a souri et m'a salué. Je lui ai demandé d'où il était et il a parlé de quelque chose à propos d'une visite récente dans les Montagnes Rocheuses où il a séjourné au Temple Blanc de la Grande Fraternité Blanche. Cette déclaration m'a très surpris, parce que cela est supposé être le gouvernement spirituel cosmique de notre planète, constitué de maîtres cosmiques, et qui agit dans les coulisses pour aider et guider notre destin en tant que race sur Terre. J'ai commencé à me demander si j'avais en fait contacté un vrai maître vivant, alors il a souri et a dit que non. Cependant, il a dit qu'il avait été envoyé à Maui par les maîtres du Temple Blanc, en mission pour se renseigner au sujet des Xiens et nous offrir la possibilité d'une guidance.

    Les Xiens sont une civilisation de personnes sur Terre qui se considèrent terriens ou citoyens de la planète Terre, plutôt que d'un pays quelconque comme Américains, Allemands, Russes, etc.

    Les Xiens pensent que la planète entière devrait idéalement être une seule nation en paix au lieu de douzaines de nations, de religions, de systèmes politiques en conflits et combats. En 1972 les Xiens étaient basés à Maui dans une tentative de créer une civilisation futuriste pour le siècle prochain en unifiant les gens avec toutes les compétences nécessaires du monde entier. Le Département des Affaires Interplanétaires était l'un des 14 départements de la Conférence Planétaire Xien et notre mission était de renseigner s'il était possible de contacter des civilisations supérieures d'autres planètes. Des civilisations qui auraient résolu elles-mêmes sur leurs propres planètes tous les problèmes que nous connaissons sur Terre et qui pourraient nous offrir des conseils, des technologies ainsi que des idées du comment évoluer en tant que race. Dans les années 70, au moins une douzaine de membres de ce département avaient rapporté qu'ils avaient eu des contacts physiques avec des êtres extraterrestres et reçu des conseils. Jusque-là je n'avais pas été contacté, bien que j'étais le directeur.

    J'étais alors habitué aux personnes étrangères qui m'approchaient, me questionnaient à propos des Xiens, des OVNI et du Département des Affaires Interplanétaires. Il m'a demandé de décrire ce que sont les Xiens. Je lui ai dit que nous étions des citoyens planétaires de la planète Terre qui nous accordions pour vivre une vie de paix et de fraternité mondiale en tant que citoyens planétaires. J'ai ajouté que cela m'intéressait de trouver de nouveaux Xiens et je lui ai demandé s'il était intéressé de devenir un Xien ?

    L'étranger a souri à cette question et a répliqué..."et si je suis d'une autre planète ?"

    Cette réponse m'a ébranlé. Je suis resté silencieux le temps de rassembler mes pensées et de retrouver mon calme. Puis je lui ai demandé s'il était vraiment d'une autre planète et il a répondu que oui. Je lui ai demandé si ça ne le dérangeait pas de me dire de quelle planète il venait et il a répondu Vénus.

    Je l'ai regardé attentivement et j'ai remarqué qu'il avait l'apparence physique des Vénusiens décrits par Michael Barton, par le Project Magnet OVNI du gouvernement canadien ainsi que par des douzaines d'autres contactés que j'avais lu !

    Il m'a donné son nom après que j'ai promis de ne le révéler à qui que ce soit sans sa permission. Il m'a dit qu'il était l’un des nombreux Vénusiens déguisés ici en habitant de la Terre en missions et agissants incognito. Il m'a demandé de ne pas l'identifier à quiconque sans sa permission. Il a dit qu'il était en mission ici pour se renseigner sur notre département des Affaires Interplanétaires.

    J'ai décidé de le questionner sur sa connaissance de Vénus. Je l'ai interrogé sur des connaissances insolites et détaillées que j'avais lu dans "The Venusian Secret Science", une publication extrêmement rare, il a donné les réponses absolument parfaites à toutes les questions. Cela m'a étonné ! Ces informations détaillées ne se trouvaient tout simplement pas dans quoique ce soit d'autre que j'ai jamais lu ou vu. Il a aussi expliqué de manière adéquate les secrets de la propulsion des vaisseaux interplanétaires et des vaisseaux éclaireurs. Cela corroborait les détails que nous avions eu par le Project Magnet et d'autres sources. Il était très instructif et il utilisait le nom Rich Evers en public. Je l'ai présenté aux autres dans notre département qui sont tous devenus convaincu qu'il était un Vénusien. On l'a emmené à une réunion populeuse sur les OVNI à Lahaina. Durant la réunion plusieurs OVNI ont été vu au-dessus et plusieurs personnes affirmaient que c'était des vaisseaux spatiaux. Ces OVNI ont survolé Lahaina après la réunion où de nombreuses personnes ont rapporté aux journaux ainsi qu’à nos agents qu'ils avaient vu des "vaisseaux" et OVNI. Mon père était un de ces témoins qui était convaincu qu'il en a vu un après qu'il ait rencontré cette personne.

    Le diplomate de l'assemblée générale des Nations unies, Adam Malik, qui étudiait les OVNI pour le président des Nations unies, est arrivé à Maui et a voulu rencontrer ce Vénusien. J'ai personnellement arrangé la réunion privée dans une maison particulière à Napili où Maureen Maharry vivait (Maureen a été assassinée à Kauai par un agent de la CIA, elle était autrefois ma secrétaire pour les Affaires Interplanétaires qui publiaient alors beaucoup d'informations). Les personnes présentes à cette réunion ont observé par la fenêtre un OVNI brillant qui virevoltait.

    Le visiteur est resté dans notre quartier général durant quelques nuits et une activité OVNI nocturne a été constatée au-dessus. Au cours de l'une de ces nuits, avec le "Vénusien" et deux membres de notre département (Paul Groover et Nick Edwarks), nous étions assis à une table bien après minuit à Lahaina. Paul et Nick se sont exclamés qu'il y avait un vaisseau au-dessus. J'ai regardé en l'air et on a tous vu un OVNI. Le visiteur a expliquer calmement que c'était son vaisseau et qu'il l'avait piloté durant le voyage autour du Soleil afin de venir à Maui.

    Le journal "Universe Sun", que j'ai publié, contenait un tas d'information qu'il nous avait donné. Nous en avions beaucoup d'autres, mais nous avions décidé que c'était trop détaillé pour être publier.
    Le diplomate des Nations unies était convaincu que cette personne était réellement un vrai Vénusien. Le Major Wayne S. Aho, un investigateur OVNI, ancien des services de renseignements de l'armée, en était convaincu également.

    Selon les propos de Michael Barton, lequel a rapporté qu'il avait été contacté par un disque spatial vénusien ayant atterri dans une zone reculée de Californie dans les années cinquante, la capitale vénusienne est basée sur la structure d'un atome avec trois constructions circulaires de base sous forme de dômes de matière cristalline. S'étendant depuis le noyau central, comme des rayons émergeant de l'axe d'une roue, 8 grandes voies mènent à 8 grandes cités. Chacune de ces cités possède 4 voies rayonnant vers 4 autres cités et chacune de ces dernières a une structure géométrique de rayons concentriques menant à deux autres cités. Cette structure continue autour de la planète.

    Entre les cités se trouvent de grandes forêts, des rivières et des montagnes. Les vallées sont remplies d'une belle végétation et toutes les couleurs sont vives. Ici et là, dans la végétation luxuriante, s'élèvent des maisons en forme de dômes faites d'un cristal translucide. Les océans vénusiens sont similaires à ceux de la Terre, mais plus petit, plus profond et de plus belle couleur.

    Sur les grandes routes des voitures se déplacent au moyen d'énergies magnétiques de lumière. Ces véhicules sont complètement silencieux et tirent leur puissance de l'énergie solaire. Les voitures solaires sont entourées d'un champ de force électromagnétique qui protège les passagers des collisions quelque soit la vitesse. L'air sur Vénus est beaucoup plus électrifié que sur Terre. Il y a une luminosité sur la planète similaire à nos aurores polaires, avec un rayonnement frais. Il y a une atmosphère aux couleurs de l'arc-en-ciel (il est à noter qu'un tableau du village vénusien de Teutonia réalisé par Onec montre également un ciel aux couleurs d'arc-en-ciel). De 3000 kilomètres dans l'espace il apparaît une lumière blanche brillante. A 500 kilomètres d'altitude c'est l'obscurité. Et au-dessus des cités il y a une lumière due à un effet de halo.

    La criminalité n'existe pas sur Vénus et elle est inconcevable pour une telle race hautement évolué. Il n'y a pas d'hôpitaux puisque les Vénusiens sont en parfaite santé. Les gens passent la plupart de leur temps à l'extérieur et se nourrissent uniquement d'aliments frais et nutritifs.

    J'ai parlé à Michael Barton en 1973, alors qu'il avait été "réduit au silence" selon Gabriel Green, un expert OVNI, qui le connaissait bien. Barton a peu rajouté à son histoire alors. Cependant, l'information que j'avais par ses écrits était en complète harmonie avec les détails du sergent Willard Wannall et d'Onec ainsi qu’avec ceux du Project Magnet du gouvernement canadien.

    Onec a décrit du sable doré sur les plages vénusiennes, des montagnes pourpres et des jardins d'Eden paradisiaques occupants une bonne partie du paysage.

    D'autres ont décrit des eaux aux couleurs d'arc-en-ciel sur Vénus et une mer ayant l'apparence de milliards de diamants scintillants.... Bon nombre de ces effets de paysage ont été créés par les Vénusiens eux-mêmes, ceci grâce à leur science cosmique supérieure ainsi qu'à leur psychisme et leur mental incroyables. Il est dit qu'une bonne partie de ce qui est sur la surface de Vénus, est légèrement au-delà de la gamme de fréquences limitée de la vision humaine, interdimensionnelle et invisible à beaucoup de personnes de la Terre.

    Le rapport suivant a été publié dans le journal "Press-Gazette" de Green Bay dans le Wisconsin en date du 26 juin 1959 à la page Rubrique Familiale.

    Une famille voit une soucoupe volante : le père discute avec le passager

    Quelque part le long de la rive du lac Huron, j'ai trouvé une histoire que je n'ai pas pu rejeter. J'avais fait une halte avec mon petit canoë et marché à travers champ jusqu'à une station service. Le propriétaire de la station m'a invité à prendre une tasse de café à sa maison à proximité où j'ai fait connaissance de son fils de 12 ans et de sa jolie femme.

    Après une discussion d'ordre général de nos expériences, il m'a demandé si j'avais déjà vu des objets volants non-identifiés. J'ai fait un grand sourire. "Allez ! ce n'est pas si amusant que çà. Vous voyez cette île là-bas ?" (il a indiqué une petite île au-delà de la berge), "c'est un lieu d'atterrissage fréquent d'une soucoupe volante". Il avait l’air sérieux, son attitude et ses paroles étaient sensées. Je l'ai questionné davantage. Je dois admettre qu'à ce point j'étais sceptique, mais mon informateur avait tous les signes d'un homme de bon sens et d'un jugement correcte. "Oui, je suis allé sur l'île pour voir les soucoupes volantes atterrir et décoller. Je les ai vues de nombreuses fois, ma femme et mon fils aussi". J'ai tourné le regard vers eux et tous les deux m'ont "confirmé" d'un hochement de tête. "Avez-vous vu les créatures dans les soucoupes volantes ?", ai-je demandé. "Oui, bien sûr. Je connais l'un d'entre eux. Ils ressemblent à vous et moi. Ils peuvent parler anglais parfaitement malgré une sorte d'accent un peu chantant. Ils sont grands et vraiment forts, ils vivent des centaines d'années. "D'où viennent-ils ?" ai-je demandé. "Ceux-là viennent de Vénus", dit il. "Ils ont des amis sur Terre, comme moi, et ils nous visitent. Ceux qui peuvent croire ont été sélectionnés par un procédé qu'eux seuls connaissent. Les sceptiques ne sont pas retenus. Ils veulent propager la paix. Ils s'intéressent de manière vitale à nos objectifs et tentatives de voyages interplanétaires, puisque tout ce qui se passe sur notre planète affecte d'autres planètes.

    Il a ajouté qu'environ 25 Vénusiens étaient à bord de la soucoupe et il les a vus de nombreuses fois. Sa femme et son fils ont solennellement déclaré qu'ils les avaient vus aussi.

    D'anciens écrits sur les contacts de Vénus :

    Vénus était similaire à la Terre il y a longtemps

    Des scientifiques ont émis l'hypothèse que Vénus, autrefois, a pu avoir une atmosphère comme celle de la Terre aujourd'hui, avant un énorme "effet de serre" qui a grandement modifié l'atmosphère et élevé les températures. Pourquoi la plupart des civilisations anciennes de nos livres d'histoire scolaires ont laissé des archives écrites établissant clairement qu'ils étaient en contact avec des visiteurs venant de Vénus ? Les Sumériens, Babyloniens, Phéniciens, Chaldéens, Egyptiens, Assyriens, Grecques, Aztèques, Mayas, Hopis, les habitants préhistoriques des Andes ainsi que ceux de l'ancienne Inde et du Tibet, ont tous affirmé qu'ils avaient été enseigné par une civilisation céleste, des personnes et des dieux venus de Vénus en machines volantes. C'était avant qu'il y ait des services secrets gouvernementaux et militaires pour "cacher la vérité". Robert Charroux, un grand préhistorien français, qui a passé des dizaines d'années de par le monde entier à étudier des écrits anciens, a raconté les anciennes colonisations vénusiennes sur Terre et leur intervention avec l'évolution humaine d'ici-bas, en six tomes littéraires qui sont en fait si réprimés qu'ils ne sont pas disponibles aux Etats-Unis, ni dans les librairies, ni par commande. J'ai étudié ces livres de manière détaillée. Ils sont illustrés de schémas ou dessins trouvés dans de nombreux pays, figurant des technologies avancées et des voyages spatiaux. Dans des bibliothèques nationales asiatiques on trouve aussi beaucoup d'histoires anciennes, jusqu'à 4000 ans dans le passé, qui expliquent de manière détaillée les vaisseaux vénusiens, leurs pilotes, leurs missions sur Terre, les interventions dans les affaires de la Terre et l'implication dans les anciennes guerres interplanétaires dont le combat a continué sur Terre. Certains de ces écrits expliquent la méthode de propulsion de ces vaisseaux étrangers avec beaucoup de détails technologiques, qui semblaient des légendes jusqu'aux découvertes scientifiques récentes qui ont prouvées que cette science était précise. Parmi ces anciens écrits il y a : BOOK OF DZYAN, VAIMANIKA SASTRA, VYMANIKA SHAASTRA, MAOSOLA PURVA, etc. De plus, un célèbre anthropologue/archéologue des années 50, le docteur George Hunt Williamson, a publié une recherche décrivant comment il a étudié des anciens manuscrits cachés dans un temple en altitude dans les Andes d'Amérique du Sud, détaillant des atterrissages vénusiens, des contacts et l'entremêlement avec les Terriens dans les temps anciens.

    En altitude dans la Cordillère des Andes se trouvent les ruines de l'une des plus anciennes cités jamais découvertes, Tiahuanaco, avec des vestiges monolithiques si incroyablement construits que les archéologues ne peuvent pas expliquer comment il a été possible pour les anciens de les édifier. Les inscriptions trouvées là ont été traduites et indiquent qu'à l'aube de la civilisation un vaisseau doré de Vénus a atterri là. Les occupants sont sortis du vaisseau et une belle femme vénusienne a entrepris d'enseigner aux Indiens primitifs le savoir-faire de base d'une civilisation ! (voir le livre de Charroux "Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans ").

    Pourquoi y a-t-il tant de "dieux" aux apparences humaines relatés dans les anciennes cultures et sensés venir de Vénus ?
    Pourquoi les Vénusiens sont-ils décrits habituellement comme étant de type nordique, beaux, yeux bleus, blonds et grands ?

    Quelque immense cataclysme aurait-il détruit la civilisation et l'atmosphère sur la surface de Vénus, contraignant les survivants à fuir vers la Terre où ils auraient essayer de coloniser la Terre et de contrôler la population indigène en se faisant passer pour des dieux ? Les anciens souverains des temps primitifs de la Terre et leurs sujets ont-ils cru que les Vénusiens étaient des dieux, des anges et autres super-êtres, parce qu’ils ne pouvaient pas comprendre les technologies ultra-avancées de l'age spatial qui semblaient des "miracles" à leur esprit primitif ? La technologie vénusienne aurait-elle détruit une atmosphère similaire à la nôtre et créé un emballement de l'effet de serre que la NASA rapporte aujourd'hui et dont nos scientifiques admettent "qu'il pourrait également avoir lieu sur Terre" ? Et la technologie vénusienne était-elle suffisamment avancée pour pouvoir pratiquer les voyages interplanétaires depuis quatre mille ans (et même depuis 18 millions d'années dans certains anciens manuscrits) ainsi que d'être capable de construire des bases souterraines en profondeur ou même des cités sur Vénus, protégés de l'atmosphère de la surface d'aujourd'hui, à partir desquelles ils envoient des OVNI vers la Terre ?

    Peut-on croire ce que la NASA dit au public à propos des conditions sur Vénus, lorsque cette agence civile créée (contrôlée) et financée par le gouvernement publie des données au sujet de Vénus qui contredisent fortement ce que les sondes soviétiques ont retransmises de là-bas ainsi que ce que des scientifiques universitaires ont publiés ? Pourquoi y a-t-il de si grands désaccords entre les scientifiques concernant les températures, la pression atmosphérique et la composition de l'air vénusien, prouvant en conséquence que soit les sondes spatiales renvoient des données imprécises soit un camouflage délibéré de la vérité au sujet de Vénus par le même gouvernement qui cache la vérité à propos des OVNI. De manière répétitive il a été prouvé que la CIA, l'Air Force et la NASA ont menti à propos des OVNI, à cause de centaines d'articles de presses contradictoires et scientifiquement impossible qu'ils ont publié à propos d'observations particulières ainsi que par les nombreux directeurs de recherches qui, fatigués, ont alors raconté publiquement la vérité dans des livres, des conférences et des interviews. Il y a des centaines de documents, livres, vidéos, fournis par ces ex-officiels, agents secrets, chefs à la NASA et agences de recherches à la bibliothèque du Congrès à Washington D.C., que n'importe quel citoyen est libre de consulter. Vous pouvez aussi vous documenter à propos des secrets gouvernementaux, camouflages, et croire aux vaisseaux extraterrestres en mettant en avant l'Acte de la Liberté d'Information et en demandant le Project Bluebook, Project Sign, Project Grudge, MJ-12, le manuel d'instruction des pilotes de l'Académie de l'Air Force des années 60, etc., tous prouvent que des vaisseaux considérés comme étant d'un autre monde viennent sur Terre ! Il s'ensuit que s'il y a un camouflage de l'existence des soucoupes volantes, il y aurait aussi un camouflage de leurs provenances, incluant une base sur Vénus.

    Concrètement, un moyen facile de dissimuler une quelconque découverte d'êtres spatiaux avancés sur la planète Vénus, serait de dire au public que la vie est impossible sur Vénus parce qu'il y fait trop chaud avec une atmosphère écrasante et un air sulfurique. La plupart du public est facile à duper et croira ce que la presse publie car ils croient leur gouvernement, en dépit du fait qu'il a été surpris à mentir des milliers de fois par le biais des grands journaux ! Puisque la plupart des Américains ne font pas de recherches scientifiques, ni de recherches d'informations universitaires pour chercher les faits et les contradictions, ils ne sont donc pas conscients que plusieurs experts scientifiques ont contredit les données de la NASA au sujet de Vénus. Et combien d'Américains se souviennent du moment où leur Secrétaire Assistant de la Défense, Arthur Sylvester, a dit à la presse que le gouvernement a le droit de mentir au peuple américain dans "l'intérêt de la sécurité nationale".

    Dans cette étude nous, le Département des Affaires Interplanétaires, expliquerons nos 35 années de recherches partout dans le monde sur toutes les contradictions et impossibilités scientifiques à propos de ce que la NASA a dit de Vénus, nos interviews personnels avec d'anciens officiels des Nations unies, d'agences de services de renseignements militaires, des programmes spatiaux de la NASA et directeurs d'agences civiles de recherches scientifiques sur les OVNI, qui ont admis que des aliens de la planète Vénus ont contacté le plus haut niveau du gouvernement depuis 1950. Depuis des bases sur Vénus, ils opèrent sur Terre déguisés en humains terrestres, ils ont contacté, parfois aidé, des scientifiques et inventeurs (comme Nikola Tesla). Cette information donne en plus des rapports documentés de Vénusiens offrant secrètement à la Terre une solution à tous les problèmes mondiaux et des apports en technologies, en échange d'un traité que tous les gouvernements ont rejetés parce que les leaders mondiaux perdraient tout leur pouvoir, leur contrôle et leurs fortunes dues au commerce, l'économie s'effondrerait et ils croyaient que les citoyens paniqueraient. Nous documenterons des articles de presses publics de données scientifiques sur les températures de Vénus montrant des contradictions de plus de 800 degrés. Nous discuterons de détails de la vie sur Vénus obtenus du gouvernement canadien qui a soutenu le Project Magnet, d'anciens chercheurs des services secrets de renseignements de l'armée sur les OVNI, de plusieurs contacts physiques avec des civils qui ont reçu des indices inexplicables et des présumés Vénusiens vivants sur Terre que nous avons interviewé... Nous n'avons trouvé aucune contradiction dans ces informations venant de sources ne se connaissant pas les unes des autres.

    Je n'ai jamais été consciemment sur Vénus dans cette vie donc je transmets l'information que j'ai obtenue de différents enquêteurs et officiels. Elle est aussi précise que leurs mots. Jugez par vous-mêmes. Je demande seulement que les lecteurs finissent ce dossier entier avant de tirer leurs conclusions et je défie les sceptiques de prouver que cette information est fausse.

    Après que le Project Magnet ait conclu à l'existence des vaisseaux extraterrestres, Wilburt Smith a rencontré les agents Top Secret OVNI du Pentagone connectés avec le M J-12 qui lui ont dit que la présence OVNI était le plus grand secret des Etats-Unis, bien plus élevé que celui de la bombe H (l'arme ultime d'alors). Donc les Vénusiens auraient-ils contacté le Pentagone ?

    Du fait de tous les secrets entre les gouvernements qui disent aux témoins de contacts E.T. ou aux détenteurs de documents que cela était secret à cause du public qui paniquerait (version officielle), les Vénusiens ont dû trouver une autre méthode pour prouver leur présence. Le 4 juillet 1952, jour de la Fête de l'Indépendance, ils ont défilé dans le célèbre show aérien OVNI au dessus de Washington D.C. en volant en formation pour le congrès, le Pentagone, le Président et la presse nationale, au-dessus de la maison blanche ! Cette observation a fait les gros titres des journaux du monde entier et des infos de la télévision nationale ! La séquence vidéo est passée sur la TV nationale !
    L'incident a été largement cru par le public jusqu'à ce que le MJ-12 (l'Ambassade Interplanétaire du gouvernement secret) ait embauché l'éminent astronome Menzel pour inventer un canular expliquant l'observation avec de nombreux témoins. La désinformation a été transmise à la presse pour cacher la vérité en disant que les OVNI volants en formations triangulaires étaient une "inversion de température", une illusion atmosphérique de réflexions de lumière provoquée par des couches d'air de différentes températures interposées avec les nuages. La plupart des Américains, qui par manque de recherches sont ignorants et crédules, ont gobé cette histoire. Tous ce que les gens ont besoin de faire pour apprendre la vérité c'est d'aller dans n'importe quelle bibliothèque et de scruter une photo d'une inversion de température à côté d'une coupure de presse des formations d'OVNI et de voir la grande différence... une apparence totalement différente ! Et n'importe quel enquêteur intelligent a du se poser la question de pourquoi est-ce que l'Air Force a paniqué et envoyé des avions à réactions à la chasse et essayer d'intercepter une inversion de température ? Comment une inversion de température peut-elle voler en formation triangulaire parfaite à vitesse supersonique, esquivant et défiant les manœuvres des avions à réaction à leur poursuite, effectuant des virages à angle droit à haute vitesse et larguant des lumières volantes en formes de disques obéissant à un curieux contrôle intelligent ?

    Puisque l'Air Force nommait ces vaisseaux soucoupes en forme de cloche avec des dômes et des hublots: gaz des marais, météorites, la planète Vénus, oiseaux qui brillent, feux follets et autres non-sens prouvables que les gens ont cru, les Vénusiens n'ont donc pas réussi à convaincre le public malgré de nombreuses approches à basse altitude au dessus des villes. Les Vénusiens auraient alors fait faire plusieurs douzaines d'excursions à des Américains pour prouver leur existence, incluant quelques célèbres scientifiques, mais le public a rigolé de ces contactés quand ceux-ci ont retransmis les messages vénusiens. Les scientifiques furent effrayés de parler en public par crainte que les gens rigolent d'eux et que le ridicule ruine leur carrière !

    Il y eut cependant une exception notable en la personne du Docteur George Hunt Williamson, un éminent archéologue/anthropologue qui au début était impliqué, avec Lyman Streeter, dans les communications radiotélégraphiques avec les Vénusiens. Cela a été publié dans les années 50, mais réprimé par les agents du contrôle des médias. Williamson a également passé plus de dix ans à vivre avec les Incas dans les Andes, ainsi qu’avec beaucoup d'autres cultures indiennes d'Amérique du Nord et du sud, qui lui ont dit qu'ils avaient été contactés par les Vénusiens dans les temps anciens. Le chef des Hopis a parlé des contacts OVNI, anciens et modernes, des Hopis avec les Vénusiens. Il a raconté comment une de leurs soucoupes a atterri dans la réserve Hopi dans les années 1950. Les Aztèques ont parlé des sacrifices humains à une de leurs pyramides et comment un vaisseau vénusien est arrivé, puis a donné aux prêtres un mois lunaire pour arrêter tous les sacrifices humains. Au bout d'un mois les Aztèques n'ont pas réussi à suivre les suggestions vénusiennes et ont choisi de suivre d'autres dieux (aliens gris ?). Aussi un rayon de lumière a été émis de la soucoupe et a détruit la pyramide sacrificielle !

    Comment se fait-il que les Mayas avaient un calendrier vénusien tout à fait précis lorsque les conquistadors espagnols ont envahi leurs terres... Un calendrier que la science moderne n'a pas pu prouver et connaître la précision jusque dans les années cinquante ! [NDT: ce n'est qu'en 1962, puis plus précisément en 1965, qu'on découvrit la véritable période de rotation de la planète Vénus grâce à la radioastronomie qui à l'aide des échos radar détermina une rotation rétrograde en 243 jours terrestres d'où une journée solaire (cycle jour/nuit) sur Vénus de 117 jours terrestres] Les Incas ont parlé d'un vaisseau doré qui avait atterri dans les Andes et leur avait enseigné la civilisation. L'armée d'invasion de Pizarro a rapporté cette histoire au Roi et à la Reine et elle a été censurée parce que "ce n'était pas dans la Bible". Dans son livre "Les gîtes secrets du lion", le Dr George Hunt Williamson a raconté comment il avait trouvé un vieux manuscrit, dans un ancien temple en altitude dans les Andes, qui racontait les colonies vénusiennes et l'assistance à la Terre dans les époques anciennes et préhistoriques. Il a rapporté également comment certains de leurs vaisseaux ont sauvé des survivants éclairés des tremblements de terre, raz de marée, inondations et basculement des pôles. La croyance dans les Vénusiens était courante et normale dans les temps anciens avant la censure religieuse (Vatican) et gouvernementale !

    Donc pourquoi les Vénusiens n'atterrissent pas sur la pelouse de la Maison Blanche ?
    Selon les Vénusiens, lors des tentatives d'atterrir dans les villes, il s'est trouvé des Terriens essayant de tuer ou capturer les Vénusiens, tirant sur leur vaisseau et essayant de le prendre pour en acquérir la technologie. Les gens "locaux" de la Terre sont trop souvent hostiles, inamicaux et dangereux. Atterririez-vous dans une énorme tribu de sauvages chasseurs de têtes et cannibales en Amazonie, qui vous accueilleraient avec à l'esprit des idées de repas et de têtes rétrécies, pour les aider ?
    Ils décocheraient leurs fléchettes et poseraient des questions plus tard, comme de nombreux missionnaires morts l'ont appris ! Est-il certain que les Vénusiens peuvent riposter et avoir le dessus avec leur canons à rayons ? Les Vénusiens cependant disent qu'ils sont totalement non-violents et qu'ils préfèrent observer et aider à distance plutôt que de combattre. La plupart d'entre eux n'ont pas de karma sur Terre et la violence leur en donnerait un ici ! Ils résolvent les problèmes avec l'amour... pas par la guerre ! En tant que corps humains sur ce plan ils peuvent vraiment être tués par nos armes. Donc il leur est nécessaire de faire des démonstrations spectaculaires en public pour prouver leur existence... pas pour le plaisir de leur propre ego, mais pour délivrer leur important message de bannir toutes les armes nucléaires, proscrire la guerre, éliminer toute pollution et porter la paix sur Terre comme ils l'ont fait sur leur propre planète. Les gouvernements n'ont pas tenu compte de leurs conseils... donc ils s'adressent au peuple.

    En 1952 la plus grande histoire de contact OVNI de l'époque moderne a fait les gros titres des nouvelles à la radio, à la télévision et dans les principaux magazines. Ce contact était étayé par tant de preuves apparentes et troublantes que le complexe CIA/Pentagone/MJ-12 a eu une tâche très difficile pour tenter de l'expliquer avec leurs explications stupides habituelles que les gens croient trop souvent.

    Si vous étiez un Vénusien, comment choisiriez-vous un ambassadeur sur Terre ? Chercheriez-vous un adepte fanatique d'un culte ou un religieux zélé, un officiel gouvernemental qui tient à sa réputation et à sa paye, ou quelqu'un sans aucune base pour une telle mission ? Ou bien choisiriez-vous un homme intellectuellement dévoué, cohérent, organisé, pourvu de dévotion et d’un bon cœur ?

    George Adamski, un astronome amateur au Mont Palomar était de loin plus loyal que votre Américain moyen. Il a passé des nuits blanches au Mont Palomar durant des mois et des années avec des appareils photos à chercher des OVNI. Il dormait le jour, et la nuit il cherchait des OVNI avec son télescope. Au début des années cinquante il a commencé à voir des lumières mystérieuses qui au fil des mois grandissaient et s'approchaient de plus en plus, jusqu'à ce qu'Adamski prenne en fait des photos d'OVNI qui étaient si bonne qu'elles ont alarmé le Pentagone. Des prises de vues nettes et rapprochées en lumière diurne de vaisseaux métalliques en forme de soucoupe avec des dômes, des hublots, des systèmes d'atterrissages, et toutes prises bien cadrées ! Des vaisseaux mères en forme de long cigares larguant des vaisseaux éclaireurs... toutes trop nettes et trop proches pour pouvoir être appelées ballons météorologiques, météores, oiseaux, gaz des marais, etc., par le Project Bluebook - l'investigation publique des OVNI de l'Air Force - qui était en fait une agence de désinformation publique selon son ancien directeur scientifique le Dr J. Allen Hyneck.

    Ces photos étaient si bonnes que l'agence Air Force n'a pas réussi à trouver une explication vraisemblable pour elles.

    Adamski a alors déclaré qu'il était contacté télépathiquement par les pilotes qui lui ont donné comme mission de prouver la présence vénusienne et de transmettre le message au monde. Il aurait rassemblé cinq témoins, dont le Dr George Hunt Williamson (listé dans Who's Who In America), et ils sont allés vers le Mojave Desert pour la preuve. Le groupe a vu un vaisseau mère au loin près de Desert Center (Californie), ils se sont alors engagés dans un chemin où un vaisseau éclaireur est arrivé et a atterri à proximité. Adamski a été abordé par un Vénusien jeune et beau d'apparence, portant des cheveux blonds mi-longs, qu'il a décrit en ces termes : "La beauté de sa personne dépassait tout ce que j'avais jamais vu. L'affabilité de son visage m'a libéré de toutes pensées de mon moi personnel. Je me suis senti comme un petit enfant en face d'un être d'une grande sagesse dont émanait un grand amour. Une sensation de bonté et de compréhension infinie rayonnait de sa personne avec une humilité suprême".
    Ne serait-ce pas là l'archétype opposé d'un directeur de la CIA ou d'un général du Pentagone ? Et que ne ferait pas ces gens pour faire croire que cette divine mission est un canular ? Soyons logique !

    Pour essayer de discerner le vrai du faux j'ai visité personnellement la demeure où vivait George Adamski à Valley Center en Californie et j'ai interviewé Alice Wells l'un des témoins. D'autres dans notre département ont interviewé Adamski lui-même, chose que les sceptiques ont ignoré. Les experts en photographies truquées de chez KODAK ont conclu dans leur laboratoire de Washington DC, après analyse par des spécialistes des truquages, que les photos montraient un vrai vaisseau matériel en sustentation à la distance et avec les dimensions qu'Adamski avait décrit. Ils n'ont pu trouver aucun indice de fraude ! Bien sûr, le CFR/MJ-12 a exercé son contrôle sur les agences de presses nationales qui ont supprimé cette découverte. Adamski a aussi filmé les soucoupes volantes en 16 mm et suffisamment proche qu'on peut voir que ce sont des vaisseaux spatiaux. Les experts nationaux en photographie truquée, Walt Disney Studios, qui ont produit "Fantasia" et d'autres films sur l'espace, ont été incapables de détecter le moindre indice de fraude !

    Comme preuve supplémentaire, Adamski et les témoins (qui ont tous faits des déclarations écrites légales sous serment que tout cela avait bien eu lieu) ont reçu un morceau de métal inconnu des scientifiques terrestres (lequel malheureusement a été volé par les analystes militaires sans qu'aucune conclusion n'ait été publiée). Et que dire de ceci, des avions à réaction de l'U.S. Air Force ont été vu tournant au-dessus de leurs têtes et observant ce contact ! Naturellement, ils n'allaient pas dire cela au public. Le pilote de la soucoupe avait également des chaussures étranges. Leurs semelles ont laissé des hiéroglyphes clairement indentés dans le sable du désert, le docteur George Hunt Williamson en a réalisé des moulages de plâtre (nous avons ces glyphes). Évidemment, l'U.S. Air Force a essayé de dire au public que Mr Williamson avait inventé ces glyphes. Cette possibilité s'est évanouie dans les années soixante-dix lorsque des explorateurs ont découverts des glyphes IDENTIQUES sur une très ancienne ruine dans les profondeurs de la jungle amazonienne, exprimant un langage inconnu à notre science. Les hiéroglyphes étaient parait-ils les "clefs du cosmos" et indiquait, dans les grandes lignes, comment construire un système électromagnétique de propulsion par anti-gravité pour un vaisseau interplanétaire, basé sur les Quatre Forces Primaires de l'Univers qui sont à la base de toute matière et énergie. Et la THÉORIE DES CHAMPS UNIFIES d'Einstein s'est trouvée complétée. Il a été dit que les glyphes se trouvent dans des diagrammes quadri-dimensionnels dans le Temple du plus haut savoir dans la capitale de Vénus.

    Le Vénusien aurait dit à Adamski d'avertir le public que l'énergie atomique était beaucoup plus dangereuse que ce qu'on avait amené le public à croire et tous les essais nucléaires devraient être bannis... suivi de messages pour la paix sur Terre et pour l'Amour universel, etc.

    En novembre 1952 ce contact constituait des nouvelles phénoménales dans les médias internationaux et une grande partie du public a cru qu'un contact historique avait réellement été réalisé avec une autre planète. Des photos nettes ont été publiées dans de nombreux journaux et magazines, et Adamski a été traité comme un héros lors de ses voyages dans les capitales étrangères où de nombreux leaders mondiaux l'ont accueilli. Tel n'a pas été le cas dans la capitale des États-Unis et aux Nations unies.

    Incapable d'apporter les preuves d'un canular, le Pentagone a simplement manié le discours facile en traitant Adamski de menteur sans aucun élément pour justifier cette accusation. Plus d'un mandataire ont certifié qu'avec un peu de chance, Adamski pourrait rétablir lui-même la vérité auprès de la Cour Suprême. Par la suite, dans les années soixante-dix, l'Air Force a déclaré à la presse qu'Adamski avait photographié et filmé le couvercle d'un refroidisseur de bouteille de fabrication anglaise. Cela a fait les nouvelles du monde entier. Cependant, l'homme qui a INVENTE CE DIT REFROIDISSEUR DE BOUTEILLES A INDIQUER QUE CELUI-CI N'EXISTAIT PAS EN 1952 ! Puisqu'il n'avait été inventé qu'en 1959. Cependant les principaux services de presse ont publié cette précision dans un petit article dissimulé en dernière page entre des publicités où bien peu de gens l'ont vue.

    Adamski a affirmé que plus tard le Vénusien est revenu et l'a emmené en excursion dans un vaisseau voir l'arrière de la Lune et Mars, etc. Un livre a été écrit par Desmond Leslie, complété par des photos de soucoupes planant au dessus de la Lune et d'Adamski regardant par un hublot depuis l'INTÉRIEUR d'une soucoupe. Dans un livre, Adamski décrit en grands détails les choses qu'il a vu dans l'espace et sur la face cachée de la Lune que personne n'avait la possibilité de savoir dans la période 1952-1956, puisque les premiers satellites terrestres se sont satellisés autour de la Lune et se sont approchés de cet astre seulement dans les années soixante ! Les photos et les observations des astronautes ont permis de vérifier que les informations d'Adamski étaient précises. Adamski a également décrit des lacs, de la végétation verte, des nuages sur la face cachée de la Lune ainsi que des habitants. Des photos officielles de la NASA prises par la sonde Lunar Orbiter I et par les astronautes d'Apollo ont prouvé que ces choses sont vraies.

    La NASA n'a pas fourni ces photos à la presse, cependant des chercheurs, présentant les qualifications exigées, peuvent les obtenir de la NASA. Des photos montrant des grands lacs et des étangs sur la Lune ont été prises par Lunar Orbiter 4 (photo numéro HR128, HR151-3, et des nuages sur HR161-3 ainsi que des tas de nuages blancs clairs sur la photo MR81 de Lunar Orbiter 5). Des plaques de brouillard peuvent être vues sur la photo 16-758 de la mission Apollo 16. De nombreux astronomes amateurs et professionnels ont rapporté avoir vu des flashs lumineux, des luminosités en forme de croix ou de triangles, des lumières mobiles et d'étranges murs ou passerelles sur la Lune durant les 150 dernières années, tout cela a été rapporté dans les journaux et les magazines scientifiques. Soit qu'ils n'ont jamais été lus, soit qu'ils ont été oubliés par le public, mais ils sont toujours dans les cartons de la bibliothèque du Congrès disponible pour n'importe quel chercheur. Les photos des sondes Lunar Orbiter et Ranger montrent également clairement des dômes, des spirales, des routes, et des murs sur la Lune lorsqu'elles sont agrandies en taille ! La NASA nous dit officiellement que la Lune est un monde mort sans vie d'aucune sorte et sans météorologie... ni nuages, ni brouillards, ni eau de surface. Les photos nous montre le contraire et Adamski avait raison.

    Un autre problème avec le discrédit jeté sur Adamski est : pourquoi d'autres soucoupes ressemblant exactement à celles de ses photos ont été photographiées par d'autres civils ne se connaissant pas les uns les autres, dans d'autres états ou nations et à différentes époques, et souvent accompagnés de leurs propres témoins. Des OVNI semblables aux photos d'Adamski ont été vus au-dessus de Maui dans les années soixante-dix par de nombreux témoins. Un type de vaisseau mère en forme de cigare a été vu par une foule nombreuse à Lahaina en 1970 et photographié. Il ressemblait à l’un de ceux photographiés par Adamski dans les années cinquante. L'Air Force a essayer de l'expliquer comme étant un missile guidé lancé de Kaui. Cependant les missiles ne sont pas supposés volés au dessus de Lahaina, de plus ils n'ont jamais ressemblé aux vaisseaux mères de ces photos. Un de ces OVNI de type vaisseau mère a été filmé à Maui en 1970 par un producteur de cinéma d'Hollywood, Chuck Wein. Un autre de ces soi-disant missiles de l'Air Force a été vu en train de larguer un vaisseau exploreur plus petit au dessus de Haleakala Crater à Maui en 1972, par Marama B. et son amie Ruth qui faisaient des recherches pour notre département. Une soucoupe de type vénusienne en forme de cloche est descendue à basse altitude sur Lahaina en Mai 1972 avec de nombreux témoins. Madellein Kodeffer a pris une photo nette d'un vaisseau exploreur vénusien identique à celui d'Adamski à Silver Springs dans le Maryland en 1965 (NOUS L'AVONS EN DOSSIER). Tom O'Bannon a photographié un de ces vaisseaux-cloches en 1957 près de Winona dans le Missouri. De son côté monsieur Bill Clenderson a été témoin d'un vaisseau similaire. De nombreux témoins dans différents endroits du monde - et les enquêteurs ont prouvé qu'ils ne se connaissaient pas entre eux - ont dessiné ces vaisseaux-cloches de manière précise après les avoir vus de façon rapprochée. Le 15 février 1954, deux jeunes anglais ont photographié un de ces vaisseaux-cloches (Stephen Darbisher était l'un d'eux). On pourrait continuer ainsi indéfiniment. Il y a tout simplement de trop nombreuses photos du même type de vaisseau, de trop d'observateurs différents, dans trop d'endroits différents, durant trop d'années, pour pouvoir les ignorer... Tout ce que l'Air Force peut faire c'est de tout ignorer en espérant que vous êtes trop occupé pour faire votre propre recherche et votre propre opinion.

    L'air Force a eu également beaucoup de difficultés à gérer des hommes éminents comme WILBURT B. SMITH du Projet Magnet qu'ils ont choisi d'ignorer et le docteur George Hunt Williamson qu'ils ont essayer en vain de discréditer. Son associé Lyman Streeter avait été contraint au silence par la CIA, jusqu'à ce que Williamson fut parait-il sur une "hit liste" de 17 hommes qui "en savaient trop et parlaient trop". Williamson s'est enfui dans les montagnes des Andes dans les années 60 et 70 pour s'échapper, selon Alice Wells (témoin d'Adamski) il revint en Amérique en 1975 en utilisant un déguisement. Malgré une rumeur que Williamson (déguisé en frère Philippe d'un monastère des Andes) était mort, il a contacté en 1973 le directeur de notre Département des Affaires Interplanétaires, Gabriel Green, dans le milieu des années 70 et résidait de manière discrète à Santa Barbara en Californie. Où est-il maintenant ? Nous ne savons pas. Selon un enquêteur OVNI des services secrets de l'armée durant les années 50 à OAHU, le sergent Willard Wannall, Williamson s'est enfui en Amérique du Sud pour échapper à l'assassinat de la CIA dont les 16 autres personnes ont été victimes. Pourquoi Williamson, qui affirmait être en contact avec une base secrète vénusienne en Amérique du Sud et avec Adamski, a-t-il été contraint au silence, à s'enfuir, et à utiliser un déguisement si ce cas n'était pas vrai ?

     

    Un Vénusien au Pentagone

    J’ai voyagé en Californie avec Farida Iskiovet, une enquêtrice OVNI des Nations unies, et Adam Malik, un assistant du président de l’assemblée générale des Nations unies enquêtant les OVNI pour le président lui-même. J’étais accompagné par Phil Geiger, directeur du service de renseignement pour notre département et de mon frère Fred Swegles, ancien agent de presse du président Nixon et d’Henry Kissinger à la Maison Blanche. Nous sommes allé voir Gabriel GREEN qui était le président d’AFSCA, la plus grande agence civile d’investigation des OVNI dans le monde à l’époque. Green a dit qu’il avait été contacté par les Vénusiens. Dans ses dossiers il y avait une histoire de deux Vénusiens qui sont allés au journal le LOS ANGELES TIMES avec un message au monde et ils ont été flanqués hors du bureau ! Il avait aussi des rapports d’astronomes soviétiques traquant de nombreux OVNI en vol vers Vénus. Nous avons décidé d’aller voir le Dr. Frank Stranges. C’est l’homme qui s’était occupé au Pentagone du contact secret, en 1959, entre le Président Eisenhower et un ambassadeur extraterrestre de Vénus. Le Dr. Stranges était le président du " NATIONAL INVESTIGATIONS COMMITTEE ON UNIDENTIFIED FLYING OBJECTS" [Comité d’investigation national des objets volants non-identifiés]. Il était également membre de notre Département des Affaires Interplanétaires parce qu’il voulait divulguer la vérité. Il nous a montré des dossiers OVNI impressionnants et des photos incroyablement nettes, dont des photos d’un pilote Vénusien appelé VAL THOR.

    Il a ajouté que Thor le Vénusien avait une base secrète souterraine dans le désert du Névada et, si nous le désirions, il nous y emmènerait pour rencontrer Thor. Farida voulait y aller, mais je devais rentrer à Honolulu pour un rendez-vous d’affaire important et j’ai loupé la rencontre. Selon le Dr. Stranges le Vénusien est venu en mission pour offrir de l’aide si notre gouvernement était d’accord pour éliminer toutes les pollutions de carburants, les bombes nucléaires, son économie et gouvernement corrompus… Proposition que le président a rejeté parce que le Vénusien a refusé de lui donné une quelconque science ou technologie de vaisseau qui pourrait être utilisée par les militaires et d’autre part le pétrole était une manne de dollars pour son gouvernement. Le Vénusien avait atterri dans un vaisseau exploreur à High Bridge dans le New Jersey en 1959. Là, avec trois membres d’équipages, ils sont allés à une conférence OVNI publique déguisés en humains de la Terre en portant des vêtements terrestres. Après avoir observé l’intérêt du groupe pour les OVNI, les hommes de l’espace sont retournés à leur vaisseau, ont redécollé, et plus tard ont atterri de nouveau à l’écart de la ville d’Alexandria en Virginie. Thor a quitté le vaisseau et c’est alors qu’il a rencontré deux policiers d’états qui ont braqué leur arme sur lui, le Vénusien a utilisé la télépathie pour les inonder de sentiments de bienveillance. Les policiers l’ont alors installé sur la banquette arrière de leur voiture et, violant toutes règles régissant les limites d’états, l’ont conduit au Pentagone où il a rencontré le Secrétaire de la Défense et un groupe de 7 témoins. Au même moment trois vaisseaux éclaireurs vénusiens ont atterri à la base Edwards de l’Air Force pour un contact secret avec des officiels. Ces vaisseaux étaient contrôlés à distance. L’objectif était de montrer qu’on pouvait apprendre beaucoup des Vénusiens. Les scientifiques ont été incapables de pénétrer à l’intérieur des vaisseaux, même avec des lasers.

    Le Vénusien a alarmé les officiels du Pentagone en n’ayant aucun passeport ou visa (à l’insu de la loi et en position d’état d’arrestation) ni aucune empreinte digitale ! L’introduction, présentée au Président, était écrite par le Haut Conseil Vénusien, elle n’était pas écrite dans un quelconque langage terrestre choquant ainsi les officiels. Val Thor fut autorisé à suivre six gardes armés dans un ascenseur de transfert à un réseau de transport souterrain qui les a emmené au bâtiment du Capitole. Les agents des services de renseignements l’ont escorté ensuite jusqu’au Président. Tandis qu’il entrait dans la pièce où Eisenhower attendait, un air de désolation fut observé sur le visage du Président. Même les hommes des services de renseignements étaient nerveux. Eisenhower s’est alors levé de son bureau tandis que le groupe marchait vers lui. Le Vénusien a tendu sa main pour serrer celle du Président et immédiatement 3 agents des services de renseignements ont braqué leurs armes à feu en les pointant sur Thor.

    Le Président à alors nerveusement fait signe de baisser les armes et a dit ensuite :

    - Vous savez nous avons suspendu toutes les règles de protocole. J’ai un bon feeling pour vous. S’il vous plait, monsieur, quel est votre nom ?

    Le Vénusien a répondu :
    - Valiant.
    Le Président a demandé :
    - Et d’où venez-vous ?
    - Je viens de la planète que votre bible appelle l’étoile du soir et du matin, Vénus, répondit Thor.
    - Pouvez-vous prouver cela ? demanda le Président.
    Thor répliqua :
    - Que considérez-vous comme preuve ?
    - Je ne sais pas, répondit à la hâte le Président.
    Puis Thor a offert comme preuve au président d’aller voir son vaisseau posé au sol, mais Eisenhower a répondu en disant :
    - Mon ami, je ne peux pas aller et venir comme bon me semble. Il y a des comités à consulter et des mesures de sécurité à respecter. S’il vous plait, passez quelques temps avec nous ici. Faisons connaissance plus longuement… apprenons plus l’un sur l’autre, et peut-être nous verrons.

    Thor a ensuite dit au Président que notre nation a été sous surveillance rapprochée par les Vénusiens depuis le premier essai d’explosion d’une bombe A en 1945. Cependant, les officiels du Pentagone ne considéraient pas Val comme quelqu’un étant en position de force (ce qu’ils ne font en aucune façon) et Val a refusé de donner à leurs scientifiques les secrets de la propulsion des soucoupes. Le Président a conclu que le Vénusien….. ( la suite de ce paragraphe n’a pas pu être retrouvé, désolé).

    A ce qu’on prétend, un journaliste qui avait appris que cette rencontre avait eu lieu a été réduit au silence par la CIA. Le Dr. Stranges a raconté comment lui-même a été kidnappé plus tard par trois hommes mystérieux en costumes noirs, emmené dans le désert du Névada, vraisemblablement pour une tentative d’assassinat, puis finalement sauvé par un vaisseau éclaireur vénusien qui a atterri devant la voiture noire.

    Farida, l’enquêtrice OVNI des Nations unies, croyait ce que le Dr. Stranges nous disait. Je laisserai le soin au lecteur de se déterminer lui-même au sujet de l’histoire du Dr. Stranges.

    Quant à Adamski, après que l’Air Force n’ait pas réussi à prouver que ses films et photos étaient faux, une rumeur a circulé que le vaisseau vénusien était en fait un modèle de ballon utilisé par la CIA pour le duper et que le Vénusien était en fait un agent du gouvernement. Cette théorie s’est répandue après que de nombreux chercheurs éminents en OVNI ont prouvé qu’il avait bien photographié un grand objet solide qui volait vraiment et qu’ils n’avaient pu trouver aucune fraude.

    Tout d’abord, quelle logique s’exprime ici ? Pourquoi la CIA aurait fait croire à George qu’il a été contacté par des Vénusiens et puis renie plus tard que cela se soit jamais passé ? Que cela signifie-t-il ? Adamski a également décrit qu’il émanait des yeux du Vénusien une grande sagesse et amour, et que sa beauté surpassait tout ce qu’il avait jamais vu... Un agent du gouvernement ! De plus, une photo particulièrement ultra nette et rapprochée d’un vaisseau à l'évidence mécanique avec des hublots, est trop claire et détaillée pour pouvoir être un ballon. D’autre part les vitesses, les trajectoires ainsi que les manœuvres rapportées de ces objets vus et photographiés dans différents endroits du monde étaient impossible à réaliser pour un ballon ! D’autres ont théorisé que les soucoupes qu’ils ont vu étaient des vaisseaux expérimentaux secrets du gouvernement U.S.

    Cependant, les chercheurs, les occupants (pilotes), les essayeurs ainsi que les témoins de ces vaisseaux expérimentaux de l’Air Force et de la Navy ont admis qu’à cette époque, soit ils se crashaient, ou ils ne fonctionnaient pas, ou échouaient totalement. Donc les projets étaient infructueux prouvant ainsi qu’Adamski n’avait pas vu un vaisseau gouvernemental secret durant ces expériences de 1951 à 1953. Il est vrai que le gouvernement a développer et fait voler des disques soucoupes fonctionnant à l’énergie nucléaire, mais c’était 15 ans plus tard ! Et les photos de ces vaisseaux secrets ne ressemblent pas au type de vaisseau d’Adamski. Plus tard, personne n’a été capable d’expliquer comment Adamski savait des détails occultes à propos de la face cachée de la Lune et des petits aérolithes verts miniatures circulant dans l’espace qui n’ont été découverts par les astronautes que 15 ans plus tard, tout comme d’autres détails de l’espace extérieur. Il est maintenant largement accepté par d’éminents chercheurs que George a vraiment photographié de grands objets volants réels.

    En 1970 est sorti le film hollywoodien « RAINBOW BRIDGE », filmé à Maui avec la star Jimi HENDRIX. Vers la fin du film les stars sont dans une cabine à Haleakala Crater discutant d’OVNI avec Jimi Hendrix, lorsque Charlotte Blodgett (la secrétaire d’Adamski), dit à l’audience mondiale que les Vénusiens sont entrés secrètement en contact avec le gouvernement des Etats-Unis. Ils ont offert un système d’énergie gratuit et non polluant, ce qui s’avérait être une menace pour les plus grands comptes bancaires mondiaux (pétrole, électricité…) et une raison pour le secret. D’après une lettre de 1971 aux chercheurs de Maui, Charlotte aurait été kidnappée par des agents du gouvernement de la CIA et d’INTERPOL pour avoir fait ce rapport et elle a été conduite dans une route boisée pour y être assassinée, mais elle a été sauvée par un vaisseau éclaireur vénusien qui a atterri, comme celui photographié par Adamski !

    Phylis Dixon, responsable de notre Département des Affaires Interplanétaires en Nouvelle Zélande, a écrit qu’elle avait été attaquée en 1977 par des petits aliens humains négatifs de type abducteur et qu’elle a été sauvée par des Vénusiens. Selon le Dr. Wilbert B. Smith du Projet Magnet, les Vénusiens disent qu’ils ont une sorte de force de police cosmique utilisée pour protéger des personnages clefs.

    Ce rapport est rempli de ce que « d’autres personnes » m’ont dit ou écrit. Je vous demande de tirer vos propres conclusions sur ce qu’ils « ont dit et écrit » puis d’établir votre opinion personnelle, puisque je ne vous dirai pas mes propres conclusions ici ! Décidez par vous-mêmes et surtout faites votre propre travail en toute objectivité !

    En ce jour spécifique, le 13 mai 1954, à l’aéroport national de Washington D.C., nos écrans radars ont commencé à repérer un objet en haute altitude et des images de taille anormale. Les radars les uns après les autres ont été allumés et le cheminement des mêmes objets est apparu sur tous les écrans. Notre lecture informatique a déterminé que la taille de ces objets était supérieure à 75 mètres et, en première lecture, leur altitude était de 24 à 29 kilomètres au dessus de Washington. Les objets étaient à Washington. Avant la tombée de la nuit, il y eut des rapports authentifiés de ces vaisseaux en forme d’ovales planant carrément au dessus du Capitole, de la Maison Blanche et du Pentagone.


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