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    Vidéo dédiée à tous les "petits soldats de Lumière", mes Divins Frères et Sœurs d'Urantia-Gaïa.

    Mon éternelle gratitude envers les 32 Anges d'ღmour, symbole d'Unité et de Reliance avec TOUTES les Énergies Féminine de la Terre, qui ont lu d'UNE seule Voix cet humble message du Cœur.

     



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  • waitakerepihan 1 The Oldest Living Organism

     

    Pins Bristlecone sont les plus vieux arbres vivants dans le monde. Il est également considéré comme l'organisme le plus fort qui vivent dans la planète pour elle a survécu aux plus rudes conditions de vie sur terre.

    En 1957, un scientifique nommé Edmund Schulman a découvert l'organisme vivant le plus ancien dans l'histoire de la terre - le pin Bristlecone. Il a nommé sa découverte "Mathusalem". Le nom fait venue d'un personnage biblique du même nom qui était connu pour être la personne la plus longue durée mentionnés dans les Écritures.

    Cet arbre est estimé à 5000 ans. Imaginez qu'il était déjà un vieil arbre les Egyptiens étaient la construction des pyramides.

    Le pin de Bristlecone peut être trouvé au sommet de la montagne de l'Ouest de Etats-Unis et pousse à une altitude de plus de 10.000 pieds. L'arbre a survécu aux plus rudes conditions de vie sur terre: en dessous de la température de zéro, les vents musclé, une petite quantité de précipitations et d'oxygène mince.

    Tribulations dans la vie d'un homme va lui donner de caractère. En tant que tel, les difficultés que nous rencontrerons peut effectivement être bon pour nous. Adversités sont des ingrédients importants du processus de la vie qui va produire de bons résultats dans nos vies. Tout comme les fiers «Mathusalem», l'arbre qui a survécu à l'environnement hostile de la nature.


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    Next-up organisation nous emmène sur les traces Champs électromagnétiques de l’univers.

    Next-up est un organisme d’intérêt général à caractère philanthropique, concourant à la Défense de l’Environnement Naturel et tout ce qui est en rapport avec l’Électro-Hyper-sensibilité et les dévalorisations des patrimoines dues à une source de pollution identifiée en Champs Electromagnétiques. Voir next-up.org.

    Les rayons cosmiques sont des flux de particules, souvent de protons et de noyaux atomiques qui circulent dans le vide interstellaire. Certaines de ces particules, qu’elles soient de sources solaires, galactiques ou extragalactiques peuvent nous traverser, interférer avec notre ADN, traverser la roche et les bâtiments et profondément pénétrer les sols et sous-sol planétaires.

    La NASA vient de mettre en évidence des effets néfastes majeurs pour notre santé ainsi que pour celle de nos cosmonautes. Le LHC, Large Hadron Collider, est un accélérateur de particules mis en fonctionnement le 10 septembre 2008 au CERN qui est l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire. Au sein de ce dernier, des protons sont accélérés jusqu’à une énergie de 7 TeV (Électron-volt), soit près de 7 500 fois leur énergie de masse pour produire des collisions. Le LHC sera aussi utilisé pour accélérer des ions lourds, comme le plomb, avec une énergie de collision de 1 150 TeV pour le noyau dans son ensemble, donc environ 2,75 TeV par nucléon qu’il contient. Le LHC fait 26,659 km de circonférence et a été construit au même endroit que son prédécesseur, le LEP.

    Comme un aimant, le champ magnétique naturel terrestre produit entre ces pôles des lignes de force invisibles de champs magnétiques. Quand le vent solaire rencontre ce champ magnétique terrestre, il le comprime dans une cavité aplatie côté soleil et étirée côté nuit. C’est cette cavité que l’on appelle la magnétosphère. Cette magnétosphère terrestre arrête les rayons cosmiques dans leur traversée de l’atmosphère et les désintègres en particules moins énergétiques, mais une centaine d’entre elles nous traversent quand même chaque seconde.

    Toute planète dotée d'un champ magnétique (la Terre, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune) possède sa propre magnétosphère. La magnétosphère terrestre est située au-delà de l'ionosphère, donc au-dessus de 800 à 1 000 km d'altitude.

    Ce reportage a pour but d’informer la population sur les effets perturbateurs que peuvent avoir les champs magnétiques terrestres artificiels crées par l’homme depuis quelques décennies, car ils sont maintenant plus d’un milliard de fois supérieur aux champs magnétiques naturels terrestres. Cette pollution électromagnétique chauffe l’ionosphère et change sa densité. Elle touche la magnétosphère à sa limite basse située au-delà de l’atmosphère dans l’ionosphère.

    Déméter est un satellite d'observation, il a été mis sur orbite le 29 juin 2004 par une fusée Dnepr-LV. Depuis une orbite polaire à 710 km d'altitude, ce satellite doit mesurer pendant une année, en permanence, les signaux électromagnétiques en provenance de la Terre et permettre de vérifier l'existence d'une corrélation avec l'activité sismique au sol. Il doit fournir aussi des informations sur les perturbations électromagnétiques liées à l'activité humaine. (Source : Wikipédia).

    Jusqu’à présent, on pensait que l’énergie de photons issue des rayonnements non ionisants était trop faible pour provoquer la rupture de l’ADN. Mais à haute intensité, les radios fréquences micro-ondes peuvent provoquer l’ionisation des systèmes biologiques de l’être vivant. Les irradiations par ces radios fréquences modifient les réactions chimiques et induisent des courants électriques perturbateurs et nocifs dans nos tissus et nos cellules. (url=http://fr.wikibooks.org/wiki/Effets_des_rayonnements_%C3%A9lectromagn%C3%A9tiques_sur_le_vivant/Annexes]wikibooks.org[/url] - Voir en bas de la page, annexe six).

    Les explosions solaires projettent aussi des radiations mortelles, le champ magnétique terrestre nous protège bien entendu. En 1969, les astronautes de la mission Apollo 11 ont vu des éclairs lumineux dans leurs pupilles. De retour sur notre sol planétaire, ils se sont empressés de signaler ces drôles de flash au centre de contrôle. Le physicien Lawrence Binsky se penche sur la question. Selon lui, ces éclaires sont peut-être nocifs, mais ce n’est que lors de la mission Apollo 16 qu’il organise un test. Les astronautes couvrent leur yeux et décrivent les flashs lumineux et Lawrence Binsky comprend que leur yeux ne sont pas touchés par la lumière, mais par des radiations cosmiques. Chaque fois que la rétine de l’astronaute est atteinte par un rayon, le cerveau l’identifie à tort comme une lumière.

    Pas de problème pour ces astronautes au début, mais plus tard la NASA établie qu’un ancien astronaute sur six souffre d’une cataracte, ce qui est très élevé. Mais si les rayons traversent nos yeux, quels effets ont-ils sur notre cerveau ?

    Le docteur Marcelo Vasquez reproduit en laboratoire les rayons cosmiques pour voir l’effet qu’ils peuvent avoir sur notre cerveau. Après avoir mis en culture des cellules d’un cerveau, il s’est rendu compte que les rayons les traversaient complètement, comme s’il n’y avait aucun obstacle, voici la preuve que ces derniers sont toxiques pour notre cerveau.


     


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