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    Après une longue période de sécheresse au Pays du Cèdre, des grêlons gros comme des noix sont tombés sur des villages du sud du pays, aidant ainsi au déminage des petites bombes encore dispersées dans ce secteur. L'orage a ainsi provoqué une série d'explosions, rapporte l'agence de presse publique NNA.

     

    Dalya Farran, une porte-parole du Centre de coordination de la lutte antimines des Nations unies (MACC), a confirmé que "plusieurs bombes à sous-munition" ont explosé mardi après avoir été frappés par la grêle dans des villages proches de Marjayoun.

     

    Plus de 30 personnes ont été tuées par des sous-munitions depuis le conflit de l'été 2006 entre le mouvement chiite du Hezbollah et Israël. Les Nations unies et les associations de défense des droits de l'Homme accusent l'armée israélienne d'avoir larguée environ quatre millions de bombes à sous-munitions, dont un million n'ont pas explosé et mettent aujourd'hui en danger les civils.

     

    Quand une bombe à sous-munition est larguée, elle s'ouvre et éjecte des dizaines ou des centaines de petites bombes qui se dispersent sur le sol et la végétation, souvent sur des surfaces très importantes. Certaines n'explosent pas au moment de l'impact et peuvent se déclencher bien plus tard lorsqu'elles sont déplacées.


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    Dix jours après la scène, le 10 novembre au 17e Sommet ibéro-américain, déjà plus de 500.000 personnes ont téléchargé une sonnerie reprenant la phrase "Por qué no te callas?", ce qui a rapporté environ 1,5 million d'euros aux entreprises du secteur, rapporte "El Pais" sur son site internet.

     

    Des T-shirts ou des tasses arborant l'inscription fleurissent aussi, pendant que le film de l'altercation continue de connaître un grand succès sur les sites de partage de vidéos en ligne.

     

    L'interjection connaît aussi un grand succès au Venezuela, avec un message plus politique: le "no" ("non") est imprimé en majuscules et appelle en fait à voter contre les réformes constitutionnelles proposées par Hugo chavez, qui entend renforcer son pouvoir. "Le roi a dit ce que beaucoup de Vénézuéliens voulaient dire en face de Chavez depuis longtemps", affirme Jenny Romero, une étudiante de Caracas qui porte ce T-shirt.

     

    L'altercation a commencé quand Chavez a traité l'ancien Premier ministre espagnol Jose Maria Aznar de "fasciste". Alors que l'actuel Premier ministre Jose Luis Rodriquez Zapatero lui demandait ensuite de démontrer plus de respect pour les autres dirigeants élus, Chavez a tenté, à plusieurs reprises, de l'interrompre, poussant le roi à intervenir et à lancer: "Pourquoi tu ne te tais pas?"

     


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    Le clocher de l'édifice présente 67 impacts de balle. "Après en avoir trouvé quelques uns, j'ai trouvé ça amusant, mais lorsqu'on a vu qu'il y en avait tellement, j'ai commencé à les compter", raconte l'entrepreneur Dennis Dockum en charge de la restauration.

     

    Les habitant évoquent plusieurs hypothèses pour expliquer ces marques. L'église a été reconstruite en 1878 après avoir été incendiée durant la guerre de Sécession, et les perforations étaient peut-être déjà présentes dans le bois utilisé le clocher. Des impacts ont peut-être été également causés par des tireurs ayant pris pour cible des pigeons qui auraient infesté jadis le clocher.

     

    Mais certaines balles à l'origine des marques étaient beaucoup plus grosses que celles normalement employées pour tuer les pigeons. "Certains trous étaient assez gros pour qu'on puisse y rentrer le petit doigt", précise M. Dockum.

     

    Une autre thèse est celle d'un tireur d'élite, qui dans la période tumultueuse qui a suivi la guerre de Sécession, s'est amusé à tirer sur le clocher. "On peut dire en voyant certaines traces que les tirs venaient d'une grande distance car ils sont entrés de manière assez droite", a souligné M. Dockum. "Je dirais que ces arches auraient fait une bonne cible."

     


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