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Si la NASA est de faire de grands progrès dans son programme de vols habités, il doit aller grand ou rentrer à la maison - et obtenir à la surface de Mars, selon un nouveau rapport mandaté par le Congrès.

Mais le rapport 285-page du Conseil national de recherches continue à dire l'agence ne réussira que si elle le fait d'une manière bien planifiée à puce, de s'aventurer au-delà de la Station spatiale internationale en orbite terrestre basse à l'aide de , un plan étape par étape clair.


Le rapport demande aux États-Unis pour régler un ambitieux (mais pas trop loin-out) objectif d'atteindre la surface de la planète rouge en mettant en place la technologie et l'expertise nécessaires dans une série de missions d'exploration humaine. Ce plan tremplin pourrait inclure la visite d'un astéroïde ou d'établir un avant-poste sur la lune.

Énoncés les objectifs de l'administration Obama pour l'exploration humaine de l'espace sont utilisées pour envoyer un homme sur un astéroïde d'ici 2025, et de Mars, au milieu des années 2030. Mais maintenant, les auteurs du rapport dit, les États-Unis a été un peu perdu dans l'espace, fonctionnant sans un plan solide.

"Il n'est vraiment pas une direction forte au programme de vols habités au-delà de l'ISS elle-même, qui est dans la phase de maturité", a déclaré Jonathan Lunine de l'Université Cornell, co-président du comité qui a rédigé le rapport.

Le rapport, mandaté par le Congrès de la Loi d'autorisation de la NASA 2010, ne recommande pas de plan précis, mais présente trois exemples «parcours» aux États-Unis peut prendre pour aller sur Mars, chacun avec son propre ensemble de forces et les faiblesses.

Une option commence essentiellement avec la mission de la NASA prévue pour rediriger un astéroïde en orbite autour de la Terre, puis se déplace vers la visite des lunes martiennes Phobos et Deimos. Un autre utilise la lune comme un tremplin intermédiaire, qui pourrait impliquer la construction d'une base lunaire. Un troisième va à beaucoup de ces endroits - un astéroïde, la lune, les lunes martiennes, et puis certains - en tournée essentiellement tous les endroits à proximité dans le système solaire.

Ce troisième option serait probablement le plus cher mais aussi tenir le moins de risque de développement parce qu'il y aurait beaucoup de missions avec des améliorations technologiques graduelles, alimentant les projets suivants, a déclaré John C. Sommerer, président du comité technique du rapport et directeur de la technologie à Applied Physics Laboratory, dans le Maryland.

"Un programme digne de ce risque et digne de ce coût doit être ambitieux - et Mars doit être l'objectif", a déclaré l'autre co-président du comité, Mitch Daniels Jr., président de l'Université Purdue et un ancien gouverneur de l'Indiana.