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23 mars 2014 - Les experts locaux n'avaient pas été en mesure d'identifier la maladie , dont les symptômes sont la diarrhée , des vomissements et des saignements , depuis qu'ils ont été identifiés il ya environ six semaines. Cependant, les échantillons de laboratoire ont été envoyés à des scientifiques dans la ville française de Lyon , qui a confirmé qu'il était Ebola .

Le ministère de la Santé guinéen a déclaré 49 cas de la maladie ont été identifiées à ce jour avec 34 décès dans quatre préfectures .

«Nous sommes submergés dans le domaine , nous nous battons contre cette épidémie avec tous les moyens que nous avons à notre disposition avec l'aide de nos partenaires, mais il est difficile . Mais nous allons y arriver », a déclaré chef de la prévention des maladies du ministère de la Santé guinéen , Sakobo Keita .


Groupe d'aide médicale Médecins Sans Frontières ( MSF ) a dit qu'il enverrait des renforts pour aider ses équipes de 24 médecins, infirmières et spécialistes de la santé déjà en Guinée . L'organisation a mis en place des unités d'isolement dans la région sud de Nzérékoré et il est la recherche de personnes qui pourraient avoir été en contact avec des personnes infectées .

MSF a également dit qu'il envoyait quelque 33 tonnes de médicaments , ainsi que l'isolement , de l'assainissement et de l'équipement de protection .

Les craintes de contagion transfrontalière

Voisin médecin-chef de la Sierra Leone , M. Brima Kargbo , déclaré que les autorités de son pays enquêtait sur le cas d'un garçon de 14 ans qui y était mort après le retour de l'enterrement de l'une des victimes de la maladie en Guinée . Kargbo a indiqué qu'une équipe médicale avait été envoyé pour tester ceux qui sont venus en contact avec l'enfant avant sa mort .

Ebola est l'un des du monde la plus virulente et est donc contagions mortelles et l'on craint qu'il pourrait être utilisé comme une arme biologique . Il est normalement transmet par contact direct avec les fluides corporels et la manipulation sans protection de cadavres contaminés .

Les tests sont nécessaires pour la distinguer de la fièvre hémorragique de Marburg ou la fièvre de Lassa , qui peuvent avoir des symptômes similaires .

Il n'existe aucun traitement ou vaccin pour le virus Ebola , qui peut tuer n'importe quoi entre 25 et 90 pour cent de ceux qui tombent malades après avoir été contaminés.

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