La trentaine d'étudiants du Pitzer College inscrits se retrouvent en classe mais travaillent pour l'essentiel en ligne, examinant le contenu du site et notant leurs commentaires. Les cours sont également diffusés sur le Web et les étudiants sont encouragés à poster eux-mêmes des vidéos. L'un d'eux a par exemple diffusé une séquence d'une minute et demie le montrant en train de jongler.

Alexandra Juhasz, professeur spécialisé dans l'étude des médias, souligne que le contenu de YouTube l'a laissée sur sa faim mais qu'elle a quand même mis sur pied le cours, intitulé "Apprendre avec YouTube", pour explorer le rôle de ce site populaire. Elle espère que le cours soulèvera des questions sérieuses.

"J'aimerais que (les étudiants) soient des consommateurs et des producteurs plus avertis au sein de la culture des médias dont ils ont hérité", a-t-elle expliqué au "Inland Valley Daily Bulletin".

Le Conseil national électoral avait proposé d'interdire "les noms qui exposent (les enfants) au ridicule, sont extravagants ou difficiles à prononcer". Ou encore ceux créent l'incertitude sur le fait de savoir si l'enfant est un garçon ou une fille.

Le Conseil a également proposé de dresser une liste de prénoms traditionnels pour servir de "référence" aux parents. Mais la clause interdisant les noms étranges a été supprimée, des responsables de la protection de l'enfance ayant estimé qu'elle risquait de violer "le droit à la liberté", selon Sandra Oblitas, membre du Conseil, citée par l'agence BNA.

De nombreux Vénézuéliens semblent enclins à donner à leurs enfants des prénoms non traditionnels. Certains sont inspirés de noms anglais comme "Maikel" ou "Jhonny", mais d'autres ont une origine plus incertaine comme "Edis" ou "Orlayny".

Lorsque les adversaires du président Hugo Chavez ont mis en doute l'an dernier l'exactitude des listes électorales, ils ont noté qu'un "Superman" était inscrit. Les autorités électorales ont par la suite confirmé que deux citoyens vénézuéliens portant ce prénom étaient inscrits.

Les adjoints du shérif du comté de Clarendon ont reçu une information indiquant qu'Amber Renee Helton était au volant d'une voiture dérobée, a précisé le principal adjoint, Joe Bradham. Ils l'ont arrêtés au moment où elle sortait du véhicule.

Mme Helton, 21 ans, et un passager, ont été accusés de possession de véhicule volé, et la jeune femme été mise sous les verrous mercredi. Le vol avait été signalé le 28 août dans le Tennessee. Mme Helton avait comparu devant un tribunal moins d'une semaine avant et avait été reconnue coupable de conduite sans permis.

L'avis de décès rapportant la mort et la crémation de Shawnda Hatfield a été faxé au juge Robert Barnet Jr. qui officie dans un tribunal du Delaware. Mais Mme Hatfield, 41 ans, a plus tard été découverte à son domicile et arrêtée... Le juge Barnet l'a condamnée jeudi à quatre ans de prison pour avoir falsifié un chèque.

Elle a affirmé ne pas savoir comment sa nécrologie avait pu se retrouver dans le "Star Press". Selon Kathy Whittenburg, employée du service des petites annonces du journal, l'avis de décès a été publié après le coup de téléphone d'une femme se présentant comme la nièce de Mme Hatfield.

La justice s'est saisie de l'affaire. Le substitut du procureur Joe Orick a averti Mme Hatfield que si l'enquête démontrait l'implication de membres de sa famille dans la supercherie, ils pourraient la rejoindre en prison.

Pour faire bonne mesure, ils ont ajouté un autocollant "J'aime Barack Obama", étoile montante du parti démocrate en course pour l'investiture de son parti à la présidentielle de 2008, et deux aigles en peluche sur le coffre.

Et, sans doute par souci d'équilibre politique, ils ont également placé un éléphant en peluche sur le capot, animal symbole du parti républicain. M. Rove qui a récemment annoncé son départ de la Maison Blanche, avait laissé sa voiture dans l'allée le temps d'une visite au Texas et d'un déplacement avec M. Bush.

Il a regagné la Maison Blanche mercredi soir, et prenant visiblement la chose avec humour, a commencé à "déballer" son véhicule en arborant un large sourire. Et avec l'aide de quelques enfants, qui passaient par là pour assister à l'arrivée du président en hélicoptère.

Le stratège politique de M. Bush semblait avoir sa petite idée sur l'identité du plaisantin: alors que les enfants déchiraient le plastique, il a malicieusement pointé du doigt Al Hubbard, le responsable du Conseil national économique...