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    Caroline Otis, de Québec, a eu droit à toute une surprise, vendredi après-midi, alors qu'elle participait à une émission spéciale de "TVA en direct.com" sur la mission des militaires de Valcartier en Afghanistan.

    En direct de Kandahar, son ami de coeur, le caporal-chef Jocelyn Paré, l'a demandée en mariage. Emue aux larmes, madame Otis a évidemment répondu par un OUI à la demande de son amoureux.

    Le caporal-chef Paré, un policier militaire qui est parti en août dernier pour l'Afghanistan, avait préparé sa surprise de longue date: il avait même sur lui une bague de fiançailles, qu'il a pu montrer à l'amour de sa vie.

    Il dit revenir au pays sous peu et Caroline Otis prévoit maintenant que son retour sera l'occasion d'une double fête.

    L'émission sera rediffusée le 23 décembre, à 18h30, sur les ondes de LCN.


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    "El Gordo", premier prix de la loterie de Noël en Espagne dotée de la plus grosse cagnotte du monde, est allé vendredi aux détenteurs des billets portant le numéro 20297. Le numéro magique a été tiré peu avant 10h locales (9h GMT), moins d'une heure après l'ouverture de la loterie dotée cette année de la somme de 2,14 milliards d'euros contre 1,8 milliard l'an dernier.

     



     

    Jusqu'à 1.800 billets portent le numéro gagnant, chaque détenteur devant recevoir 300.000 euros. Les billets ont été vendus dans huit villes: Vitoria, Alicante, Benidorm, Onil, Fuenlabrada, Santiponce, Almazan et Valence, selon les organisateurs du jeu de hasard. Et à l'annonce des cinq chiffres, des centaines d'Espagnols ont laissé éclater leur joie, descendant dans les rues pour célébrer la nouvelle à coup de verres de mousseux. Dans le petit village de Rebollo de Duero -proche d'Almazan-qui compte seulement 25 habitants, l'heure était à la liesse.

     

     

    "J'ai acheté pour 1.200 euros de billets pour Rebollo de Duero", a confié un fonctionnaire enthousiaste, se présentant seulement sous le prénom d'Octavio, à la radio Cadena Ser. "Chacun (des 25 habitants) a décroché au moins (le premier prix)". "J'ai quitté mon travail et je vais maintenant aller dans le village sonner les cloches", a-t-il ajouté, précisant qu'il était lui-même détenteur de deux billets portant le numéro 20297 et qu'il allait du même coup empocher 600.000 euros.

     

     

    De son côté, Maria Mercedes Mira Reig, maire d'Onil, a expliqué que les 45 millions d'euros remportés dans sa localité revenaient à l'équivalent de 6.000 euros pour chacun de ses 7.500 habitants. "C'est une grande joie", a lancé aux journalistes l'élue, qui ne figurait cependant pas parmi les détenteurs de billets. "Même si tout le monde dans la commune n'en a pas acheté, c'est un grand jour que nous ayons gagné à Onil un million de pesetas (ancienne monnaie espagnole) pour chaque habitant".

     

     

    Comme tous les ans, les Espagnols étaient rivés à leurs postes de radio et de télévision à l'annonce des numéros gagnants dans le cadre de cet événement considéré comme le coup d'envoi officiel des fêtes de Noël.

     

     

    Selon les estimations, trois Espagnols sur quatre et des milliers d'étrangers achètent des billets dans l'espoir de décrocher le gros lot, "El Gordo" ("le gros", surnom de cette loterie), suivant une tradition datant de 1812, que la radio et la télévision relaient aujourd'hui chaque année pendant plus de trois heures.

     

     

    A 9h (8h GMT), 36 enfants de l'école San Ildefonso de Madrid ont commencé à égrener les numéros et les gains correspondants.

     

     

    Si d'autres loteries sont dotées de prix individuels plus importants, "El Gordo" s'impose comme celle dotée de la plus grosse cagnotte au monde. Suivant le tirage, les gains vont des 20 euros investis dans un billet jusqu'au premier prix, "El Gordo", la richesse prenant, entre ces deux extrémités, la forme d'autres prix.


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    La police britannique peut désormais compter sur une nouvelle unité d'élite civile: la brigade d'intervention des sacs à main.

     



     

    Les forces de l'ordre britanniques sont actuellement à la recherche de trois drôles de dames qui, uniquement armées de leur sac à main, ont permis l'arrestation d'un homme recherché. Ces trois femmes n'ont pas donné leur identité après leur exploit.

     

     

    Le 14 décembre, des policiers en tenue et d'autres en civil poursuivaient depuis plusieurs minutes un homme suspecté de possession d'armes et d'agression contre trois agents sur un pont de la ville de Worcester, dans le centre de l'Angleterre.

     

     

    Des images de caméras de surveillance ont alors enregistré l'heureuse contribution de ces trois femmes. La première a bloqué le trottoir, forçant le fugitif à courir dans la rue. La deuxième l'a frappé avec son sac à main, avant que la troisième se joigne à elle. Le suspect a alors été contraint de fuir et s'est retrouvé coincé par un homme posté au bout de la rue, qui l'a immobilisé jusqu'à l'arrivée de la police.

     

     

    "Elles étaient toutes là, vaquant à leurs propres occupations, lorsqu'elles se sont rendues compte en même temps qu'il fallait agir", a expliqué à l'Associated Press Richard Bull, porte-parole de la police de West Mercia. "Elles ne se connaissaient pas, mais elles ont toutes pensé à la même chose".

     

     

    Malgré l'aide utile de ces trois femmes de choc, Richard Bull explique que la police n'encourage pas la population à participer à l'arrestation de suspects, qui peuvent être dangereux. Mais, dit-il, "nous admirons vraiment ce qu'elles ont fait".


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    Que fait un énorme père Noël en plastique au milieu de palmiers dans une ville du bord de mer en Turquie? Réponse du maire de la localité: il est rentré chez lui.

     



     

    Suleyman Topcu, maire de Demre, explique avoir fait construire cette statue il y a un an pour honorer le fils le plus célèbre de cette ville des rives de la Méditerranée: Saint Nicolas, personnage à l'origine de la légende du Père Noël.

     

     

    Sa décision a pourtant provoqué la colère de certains habitants, furieux de voir cette statue géante remplacer une sculpture plus solennelle de Saint Nicolas avec une auréole et une bible ouverte, qui avait été offerte par la communauté chrétienne orthodoxe de la ville.

     

     

    "La statue moderne ressemble à un jouet pas cher, elle n'a aucune valeur artistique", déplore Ayse Uslusaydam, pharmacien à Demre. "L'ancienne avait du style".

     

     

    Saint Nicolas était évêque de Demre au IVe siècle de notre ère. C'est de là qu'est partie la légende autour de sa générosité, avant de se répandre dans le monde entier et de se mêler à celle du Père Noël et de ses cadeaux.

     

     

    Pour beaucoup d'orthodoxes d'origine russe, Saint Nicolas est une figure de culte beaucoup plus profonde que le Père Noël, adoré et connu par des centaines de millions de personnes dans le monde.

     

     

    Suleyman Topcu reconnaît que la nouvelle statue agace certains. "Je ne peux pas dire que 100% des gens sont satisfaits. Les touristes, dont les Russes, ont également réagi", explique-t-il. "S'il le faut, on pourra remettre la statue de Saint Nicolas".

     


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    Parfois, plus on est de fous, moins on rit. Une femme de Hong Kong a récemment été arrêtée pour cruauté envers des animaux, a rapporté vendredi un quotidien du territoire: elle gardait dans son appartement pas moins de 113 animaux.

    La police a découvert chez elle 31 chats, 26 tortues, 13 oiseaux, 10 chiens, 32 hamsters et un lapin... Le tout dans un appartement de 45 mètres carrés, selon le quotidien "Ming Pao". Tous ces animaux étaient gardés dans des cages bleues toutes identiques.

     

     

    La police est intervenue après avoir été alertée par les voisins, qui se plaignaient de l'odeur, émanant d'un hamster mort et des déjections des animaux.

     

     

    La locataire des lieux, âgée de 52 ans, a été libérée en échange du versement d'une caution équivalant à environ 390 euros, selon la police. Ses animaux sont actuellement examinés par les services vétérinaires du gouvernement, a précisé Donald Lam, porte-parole du département à l'Agriculture et à la pêche.

     

     

    La femme encourt jusqu'à trois ans de prison et une amende d'environ 19.000 euros.

     


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